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Cahiers Yves Navarre, n°2 | Les théâtres secrets d’Yves Navarre (I)
« Du romanesque à l’autobiographique »
dimanche 1er mai 2016
Parution ce printemps 2016 du second volume des Cahiers Yves Navarre aux éditions H&O, sous le titre : « Du romanesque à l’autobiographique », et qui reprend les communications du deuxième colloque Yves Navarre, organisé par Sylvie Lannergrand en novembre 2015.
J’y formule quelques hypothèses sur le théâtre de l’auteur.
— Site des Cahiers Yves Navarre
— Lien vers le numéro 2
Présentation du numéro
Lire Yves Navarre, c’est avant tout accepter de se laisser entraîner par lui dans l’enchevêtrement de ses œuvres, voyages au long cours dont les navires laissent derrière eux des sillages d’impressions qui nous troublent longtemps après avoir refermé l’ouvrage. Au fil des lectures, une sensation de déjà-vu, ou plutôt de déjà-lu, s’impose au lecteur. Tout au long de ces textes, on retrouve tel ou tel caractère, endossé par des personnages successifs, telle ou telle situation, évoquée, oubliée puis retrouvée au fil des livres, telle ou telle phrase reprise, avec ou sans variantes ; tout cela formant la substantifique moelle de l’œuvre. Une évidence s’impose alors : la frontière entre le romanesque et l’autobiographique est ici des plus ténues. Cette piste de travail fut le fil rouge du deuxième colloque international Yves Navarre qui s’est déroulé à l’École des Ingénieurs de la Ville de Paris les 9 et 10 novembre 2015 et dont les participants présentèrent différents aspects de cette particularité. En voici le témoignage.
Sommaire du numéro
— « De l’art de se perdre dans la forêt navarrienne », la Rédaction.
— « Dans la mémoire vive », Jocelyne François.
— « Un roman intitulé Biographie », Dominique Dussidour.
— « L‘Etoile rose de Dominique Fernandez et Biographie d’Yves Navarre : deux cheminements différents », Patrick Dubuis.
— « Présentation de La Fibre des mots », Julian Lembke.
— « Yves Navarre, un mélomane à l’écriture mélodieuse »,
Philippe Leconte.
— « (Hors) le lieu des luttes », Bruno Bisaro.
— « Mettre en scène une pièce d’Yves Navarre », Margaux Palluet.
— « Ce sont amis que vent emporte, une lecture », Anna Gonzalez.
— « Mots imprimés, parole vive : Yves Navarre et ses lecteurs »,
Karine Baudoin.
— « Une invitation au voyage » , Angèle Bonvalet.
— « Quand l’autobiographie joue avec la fiction : Yves Navarre écrit pour les enfants », Sylvie Lannegrand.
— « Les théâtres secrets d’Yves Navarre », Arnaud Maïsetti.
— « La mise en scène du quotidien chez Yves Navarre », Anne de Tienda.
— Ainsi donc, ou la sonate en do majeur dite facile de W.A.M., texte rare d’Yves Navarre.