Oui, ce serait des bouts de ciel, immenses qu’ailleurs impossible tu lèverais la tête pour ne voir que son fragment, sa part la pus retranchée en toi et les mains, tendues comme sur un corps qui dirait je ne suis qu’une présence accordée à la pluie dans sa blessure, tu fouillerais loin les couleurs bleues de ses pensées mais tu es seul quand le monde est tout ce que tu n’es pas que c’est là unique certitude qui dit ce que tu es, et là où il y aurait finalement cette image du ciel comme une bataille, (...)
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Gazels (au fond de la nuit)
vers blancs, libres, dispersés dans l’insomnie