Est-ce à cause de l’alcool, ce débordement du cadre ?
Ou ce geste propre à la danse, de décaler les perspectives, d’aller au-delà, d’outrepasser les convenances ?
Est-ce à cause de l’écriture, qui est l’excès même, la sauvagerie des bords, la morsure, ce qui toujours franchit, ce qui sans cesse n’est pas dedans ?
Ou est-ce Marseille, la nuit, l’urgence d’écrire, la maladresse d’être juste ?
Ou est-ce moi ?