Un rêve : au milieu d’une foule compacte, marchant lentement au pas de la manifestation
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Articles
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un rêve #545 | mouvements de foule
25 août 2010, par arnaud maïsetti -
Hong Kong #2 | Ville Monde d’en bas
18 janvier 2016, par arnaud maïsettile 14 octobre
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anticipation #43 | stades où crier
18 octobre 2010, par arnaud maïsettiDes cris que la ville poussait plus haut qu’elle, et des endroits où elle se rassemblait pour cela, il ne restait que de la poussière entreposée au milieu des ruines, rien d’autre.
Lorsqu’on se retrouvait devant ces monuments, on ne savait pas s’il fallait entrer ou rester dehors. Au juste, où résider le monument, et où ce qui l’entourait : s’il fallait regarder les courbes, juger des hauteurs, ou pénétrer dans l’enceinte pour voir les gradins, ou la fosse — non, on ne savait pas au juste devant quoi on (...) -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | rue de la République (de la colère) #7
5 avril 2016, par arnaud maïsettiJour de grève à Marseille
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il y était presque
1er mai 2017, par arnaud maïsetti1er mai
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Aragon | J’arrive où je suis étranger
29 mars 2016, par arnaud maïsettiPour la beauté du geste ; pour toutes les jungles dont le nom sert à nommer des villes sans nom ; pour ceux qui les peuplent ; pour l’étrangeté de nature comme une essentielle relation au monde et aux autres ; pour la simplicité des départs ; pour l’évidence des arrivées qui appellent d’autres étrangetés, d’autres ailleurs ; pour la violence de partir, et celle d’arriver ; pour la légèreté d’être dans le vent simplement du vent, ce soir, tandis qu’on chasse des étrangers pour la raison qu’ils le sont.
Image (...) -
Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton
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La Ville écrite | flânage interdit
4 juin 2016, par arnaud maïsettiêtre au centre du monde et rester caché au monde
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change le monde, il en a besoin
9 avril 2018, par arnaud maïsetti9 avril 2018
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une foule d’ombres
5 juillet 2016, par arnaud maïsetti[/ Nous rencontrâmes une foule d’ombres qui s’en venaient près de la rive, et chacune nous regardait ainsi que font le soir ceux qui se croisent à la nouvelle lune ; elles clignent des yeux vers nous comme le vieux tailleur au chas de son aiguille.
Dante, La divine comédie, Chant XV, (16-21)./]
Sous le miroir ombrière face au Vieux-Port passent ceux qui passent, chaque seconde une foule de moins traverse l’image et s’éloigne, le soleil frappe ce qui nous protège de lui, et pour rien s’épuise : au (...)