toutes images prises à Nîmes – ici, lors de la géolecture proposée par Thierry Crouzet Notes sur. Nîmes : deux journées denses de colloque et d’échanges autour de l’auteur•e à l’ère numérique organisées par Marcello Vitali-Rosati et Stéphane Vial et l’équipe PROJEKT – dans le droit fil des travaux menés à Montréal par l’équipe d’Écritures Numériques (avec aussi Servanne Monjour). Moment d’un retour amont et bribes de pensées en désordre (on sait le prix de ce mot quand il faut penser le web, et ce qu’on lui doit).
On (...)
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_lirécrire
Articles
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Écritures (numériques) | ceci n’est pas un bilan
2 avril 2018, par arnaud maïsetti -
Portraits défigurés de l’auteur sur la toile | Désœuvrer la ligne
25 mai 2016, par arnaud maïsettiaventures de lignes
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ce tombeau très loin sous la terre
29 octobre 2010, par arnaud maïsettiAll Along the Watchtower (Bob Dylan - Live Before The Flood (with the Band), [1974])
Qu’on me loue enfin ce tombeau, blanchi à la chaux avec les lignes du ciment en relief, — très loin sous la terre. Je m’accoude à la table, la lampe éclaire très vivement ces journaux que je suis idiot de relire, ces livres sans intérêt. A une distance énorme au-dessus de mon salon souterrain, les maisons s’implantent, les brumes s’assemblent. La boue est rouge ou noire. Ville monstrueuse, nuit sans fin ! Moins haut, (...) -
à lire | Le dernier des Mahigan, exploration littérature
17 septembre 2011, par arnaud maïsettiRénovation du site de Mahigan Lepage : une écriture d’exploration
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Écosystème numérique | écrire avec et dedans
19 avril 2017, par arnaud maïsetticarnets numériques
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Publie.net | Bulletin n°13
18 août 2013, par arnaud maïsettiété 2013
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pour être purs quelque part
13 avril 2011, par arnaud maïsettiIn My Room (The Last Shadow Puppets, ’The Age Of The Understatement’, 2008)
Écrire, et comme respirer ta vieille odeur insipide de gouffre, surprendre l’étincelle dans ta fourrure horripilée de louve… écrire l’aigreur de la soif… nous récoltons la fange, ici, la fange basse, pour être purs quelque part. une écriture initiale, obscène, agonique — qui se précipite, sans hâte, à sa seule sauvagerie…
Jacques Dupin, Ballast (extrait de ’Fragmes’, in Échancré, 1991)
Le rythme, cela commence au troisième coup — (...) -
ce qui commence maintenant
27 mai 2011, par arnaud maïsettiBlack Road Shines (The Apartments, ’The Evening Visits... And Stays For Years’, 1985)
Froid Dis-je Noir dis-tu Pour dire à l’unission Des dieux d’ombre,
Mais pourquoi ne pas dire Rouge et feu Les sûrs garants de la nuit Piliers de l’hiver Au porche de l’obscurité ?
André Pieyre de Mandiargues , Ruisseau des solitudes, ’Rébellion’
Je toucherai bien la fin de la ligne : aller mettre un terme à ce qu’il faudrait désirer — comme cette journée fut longue, de tant de jours et de semaines ou presque : mais (...) -
Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb
4 mars 2011, par arnaud maïsettiJe traverse une ville sans nom .Je m’égare dans une rue sans visage .Une voix éclate. Je fuis. Je trouve un passage. Je reste là, un moment. « Sur l’écran de l’ordinateur, la surface verticale possède la rectitude lisse du trottoir de ma ville ». Je repars. Je marche vite le rouge sangle mes attentes. Dans le jour, dans le bruissement de la ville je découvre vos déplacements. Marcher traverser rentrer sortir regarder attraper des visages, coller des mots fantômes sur les murs sur les entrailles de la (...)
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vitesse et précipitation
21 septembre 2011, par arnaud maïsettiAprès deux mois, je retrouve ce train à même place, monde dehors à même vitesse, mais paysage intérieur méconnaissable : ce qui a changé, impossible de le dire. La distance est la même mais pour rejoindre, impression d’en faire davantage ; le soleil est plus lent aussi. La vitre est sale ; derrière elle, le jour se lève malgré tout, par habitude sans doute : je le vois bien.
Lorsque je prends note sur l’écran de tout ce jeu en moi entre ce monde coulissé à main gauche, les livres à droite sur la table, (...) -
Rimbaud, une vie | Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
21 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre V.
Apprendre à lire, à cracher. -
Komodo 21 | Écritures numériques, scènes du moment
24 septembre 2017, par arnaud maïsettiSeptembre 2107
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toutes les lettres coupables (et rêves d’ivresse)
16 mars 2011, par arnaud maïsettiLà pas d’espérance ; Nul orietur. Science avec patience Le supplice est sûr.
Rimbe
Des six heures, enfermé, sous les grands murs de la BNF, le ciel à portée derrière les vitres jusqu’aux plafonds de dix mètres, et le jardin aux sous-sols, les lumières individuelles, la rumeur de fond de tout ce silence brassé qui me fige, retenir beaucoup de fatigue, et encore, difficilement, tant elle me file entre les doigts. Dernière session de travail avec passage aux archives pour moi. De la (...) -
Internet : entre lecteurs et auteurs — d’un site l’autre : écritures polyphoniques
13 mai 2012, par arnaud maïsettiCommunication — colloque sur relations lecteurs / auteurs
Internet comme espace d’assaut -
Thomas Vinau & Florent Lamouroux | Les Murs
23 août 2011, par arnaud maïsetti"L’horizon, c’est ce que tu dessines sur ce qui te résiste – les murs construisent des murs."
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« L’espace littéraire numérique » | Sites et écritures
26 octobre 2011, par arnaud maïsettiPublie.net
octobre 2011 -
Contre-jour aux calvaires
15 août 2011, par arnaud maïsetti12 images de Calvaires, contre le jour
été 2011 -
La Ville écrite | Laisse-moi
12 novembre 2015, par arnaud maïsettiton cœur est un temple
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le buste au livre
28 août 2013, par arnaud maïsettiPlace Saint-Georges, Paris – un buste, qui lit. Le même livre peut-être, la page est dense, elle est en pierre. L’homme qui lit lentement, lit. On ne sait pas qui c’est. Il lit toute la vie durant.
Tourner autour de l’homme qui lit ne le met guère en mouvement. On devine peu ce qu’il lit, aux fronts, aux yeux, aux plis du visage immuable. On sait qu’il lit à cause du livre, c’est tout. Le livre est tenu à pleine main, et lui, regarde-t-il ce qu’il lit (à force, il sait ce qu’il y a sur la page, le (...) -
La Ville écrite | défense
22 avril 2011, par arnaud maïsettimoi, je suis pour la défense