22 janvier
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_Bernard-Marie Koltès
Articles
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti -
Home | « Et n’importe où maintenant »
17 novembre 2010« J’ai longtemps cherché à ressentir cette émotion
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Koltès | la fête des morts
15 avril 2017, par arnaud maïsetti28 ans après
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Koltès | « personne ne saura jamais qui a aimé qui »
21 septembre 2011La Nuit juste avant les forêts : Mama, la fille sur le pont
« moi je ne peux parler que sur les ponts ou les berges, et je ne peux aimer que là, ailleurs je suis comme morte, » -
Home | « Si un chien rencontre un chat »
17 novembre 2010« le commerce du temps »
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La Ville écrite | défense
22 avril 2011, par arnaud maïsettimoi, je suis pour la défense
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comme l’archéologie du temps
10 octobre 2014, par arnaud maïsettic’est être emporté, ne pas voir le jour ; c’est ne pas sortir la tête de l’eau ; dans la ville qui bat tout autour de moi, je me retourne — c’est une autre : Marseille, Aix, Londres, Paris, bientôt quelle encore, et Gennevilliers hier, Banlieue nord du monde, sans pôle : toujours la ville est celle qui sous les pas s’échappe ; comment la retenir, et retenir avec elle une part du temps qui saurait dire : c’est ici.
c’est donc plusieurs jours sans pouvoir dans ces pages simplement déposer cette part du (...) -
Koltès, des manières de dire | entretien inédit
6 mai 2015, par arnaud maïsettientretien inédit pour Le Monde
janvier 1981 -
Vincit qui patitur (la brume)
3 février 2014, par arnaud maïsettiJournée longue comme un arbre qui va s’effondrer.
En remontant le soir vers la ville, les affiches électorales, de nouveau, grotesques, dérisoires — quelque chose comme ce mot de foutaises, et pourtant, je pense (mais pourquoi ?) au Bachelier de Jules Vallès, et aux camarades qui dans Le Ventre de Paris s’assemblent dans ce petit café à Châtelet pour parler de la Sociale.
Grande mélancolie passant devant une banque en voyant un jeune garçon (mon âge peut-être), le visage mangé par une capuche, qui (...) -
Home | « Le mot insultant »
17 novembre 2010« Si l’on tient à désigner une catégorie d’individus »
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Koltès | « Et puis toujours la pluie »
28 août 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts : le raz-de-marée final
« il y a toujours dans ma tête, qui me reviennent tout d’un coup, des histoires de forêt » -
Bernard-Marie Koltès, une biographie | Rencontre à la librairie française de Rome [11 mai]
1er mai 2018, par arnaud maïsettiCe 11 mai, à l’invitation de la librairie française de Rome (la Libreria Stendhal) – et grand merci à Marie-Ève Venturino – grande joie de présenter la biographie de Bernard-Marie Koltès et d’échanger autour de son œuvre, en compagnie de François Koltès (et la joie est d’autant plus grande d’être à ses côtés ce soir-là), et de l’écrivain et metteur en scène Matthieu Mével, qui me fait l’amitié d’orchestrer les échanges.
La rencontre aura lieu à l’Institut Français – Centre Saint-Louis –, à 18h30.
Note du 18 mai (...) -
Koltès | Correspondances Proust
24 février 2011, par arnaud maïsettiKoltès, lecteur de Proust
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Koltès | Mambrino, et cette voix qui dialogue avec le silence
26 février 2015, par arnaud maïsettiCritique du Père Mambrino de La Nuit juste avant les forêts
Etudes -
Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une approche, oui.
La (...) -
ô tempus edax (le viaduc)
27 janvier 2014, par arnaud maïsettiAu poignet me manque depuis ce matin la montre que je porte depuis quelques années — avant elle, j’en portais d’autres aussi, comme depuis que je sais lire l’heure sans doute : et depuis ce matin, c’est comme si je portais son absence, d’un poids plus lourd encore.
Ce n’est pas tant pour l’heure, je crois, que j’aime l’avoir à mon poignet ; je la regarde finalement peu : ma montre depuis trois mois était cassée, et je savais que je devais la laisser plusieurs semaines. Étrange comme on est possédé par (...) -
et puis rentrer, mais d’où ?
14 septembre 2015, par arnaud maïsetti(jour et texte obsolètes) Les heures, tel un chariot avançant dans la fin du jour, reviennent en grinçant parmi les ombres de mes pensées. Si je lève les yeux de ma méditation, je les sens brûlants du spectacle du monde.
Pessoa, Livre de l’Intranquilité, fragment 322
Que deviennent tous ces jours passés quand on ne les écrit pas ? Tous ces jours ensemble, oui, je le sais : une masse continue de matins et de soirs qui se confondent dans le crépuscule, celui qui les écrit lentement, maintenant. Une (...) -
au-delà
20 octobre 2009, par arnaud maïsetti« Il s’arrête pour s’orienter. Tout à coup il regarde à ses pieds. Ses pieds ont disparu » V. H.
Double opacité du réel : maillage si serré qu’il étreint ; je cherche au-delà. Double formulation de cela : dans la tête d’abord, les mots tout à la fois, et la douleur en premier ; et dans la bouche ensuite, l’ordre successif que cela prend.
« Qu’ainsi, rejeté de moi, ceci, que / Je sais d’aujourd’hui, si franc, si fécond et si clair, me toise, et m’épaule à jamais sans défaillance » (V.S)
Je cherche au-delà. (...) -
Le Client #10 | « Nous ne sommes pas, vous et moi, perdus seuls au milieu des champs. »
7 août 2013, par arnaud maïsetticette dignité-là
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Home | « L’avantage provisoire du mot frère »
17 novembre 2010« l’irréversibilité et le sang »