« Yes because he never did a thing »
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_joie
Articles
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti -
William Blake | « L’Image Divine »
11 août 2013, par arnaud maïsettiTous prient dans leur désarroi
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J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsettile jurer
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Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsettiMarier réalisme et utopie
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William Blake | « Printemps »
19 août 2013, par arnaud maïsettides cris d’enfance
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William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
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William Blake | « La Fleur »
10 juillet 2013, par arnaud maïsettitout près de mon cœur
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Que ma joie demeure | « C’était une nuit extraordinaire »
13 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture de la joie | le début
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Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012Être seul comme l’enfant est seul
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Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
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Jean Giono | « Le geste de votre main vers mes cheveux »
26 décembre 2012Jean Giono, Que ma Joie demeure
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anticipation #49 | virginités
24 décembre 2011, par arnaud maïsettireprise des hostilités
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la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
William Blake | « Chanson pour rire »
2 août 2013, par arnaud maïsetti« Ah, ah, hi »
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André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsettiÀ la folie du jour
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d’en finir avec ces rues (et quelles ombres maintenant)
8 février 2013, par arnaud maïsettila soif de partir, la colère de n’être pas ailleurs, la faim des routes avalées pour en finir avec elles
Se dire : ce n’est qu’une manière comme une autre d’en finir avec les rues près de Saint-Lazare par exemple, ou des quais de Rivoli, et plus loin de la Meuse aussi — peut-être que certaines voix intérieures se taisent soudain quand on les entend, lâchées par d’autres. Se dire, ce n’est pas grave, c’est moins qu’une vie, si ce n’est pas la mienne tant pis, ce n’est rien — je dirai seulement : c’est la (...) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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la colère et la tendresse
28 octobre 2011, par arnaud maïsettiDerrière la vitre — mais qui est derrière la vitre : moi ; ou tout cela qui vit de l’autre côté, dans sa lumière – passent des présences affolées : je me retourne, ce n’était rien. Seulement des fantômes de ma présence passée ici, à cette même place, dans ces mêmes heures, qui disent
quelle beauté, oui, les couples en pleurs au milieu des trottoirs, les motos renversés, au matin, les ponts qui montent et descendent
Quand je reviens là, j’y suis encore par dizaines. Mes corps du passé demeurent là. Non pas (...) -
être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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merveille du dehors (des jardins dans le mirage)
21 janvier 2013, par arnaud maïsettic’est la ville entière qu’ils nous avaient laissée, vide, et nous, au contraire : tout ce blanc qui emplit : de l’avoir espéré si différente ; et alors, quoi ? marcher un peu.
Devant la demeure, arrête-toi, pleure les ruines Interroge les vestiges « Où sont les bien-aimés ? par où partirent les chameaux ? Combien et combien de déserts parcourus ? »
Le froid quand il tombe ainsi, qu’il ne prévient pas (c’est faux, déjà vendredi soir : mais très vite samedi avait tout effacé, que de la boue partout, de la (...)