transylvania, et au-delà
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_amour
Articles
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Csiki-Csiki | « que je meure »
1er mars 2013, par arnaud maïsetti -
Oracle #1 | Ghazal 403
11 janvier 2012, par arnaud maïsettile froc du mendiant d’amour
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsettique resterait-il d’autre
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Réservé à l’affichage électoral | astres morts
18 juin 2017, par arnaud maïsettiNos ombres mortes de la veille
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Klaus Nomi | « From beds of everlasting snow »
29 janvier 2013, par arnaud maïsetticomme la sirène
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Miossec | Comme un passage à tabac
26 mai 2015, par arnaud maïsettiUn lendemain de Pentecôte
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George Bataille | « Le monde des amants »
6 août 2013ce que la politique ne peut pas faire.
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Shannon Wright | Ways to make you see
23 février 2014, par arnaud maïsettile dépouillement
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André Breton | « À cette question que je ne vous pose pas »
5 octobre 2012C’est bientôt juin
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
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ou la vie sauvage (les territoires de l’amour)
7 octobre 2013, par arnaud maïsettiLe territoire actuel est le produit de plusieurs siècles d’opérations de police. On a refoulé le peuple hors de ses campagnes, puis hors de ses rues, puis hors de ses quartiers et finalement hors de ses halls d’immeuble, dans l’espoir dément de contenir toute vie entre les quatre murs suintants du privé. La question du territoire ne se pose pas pour nous comme pour l’État. Il ne s’agit pas de le tenir. Ce dont il s’agit, c’est de densifier localement les communes, les circulations et les solidarités à (...)
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Hurlements en faveur de soi [# 1]
24 novembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-huit variations : cris ; récits ; rêves
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Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
16 février 2014, par arnaud maïsettirien d’autre que les pensées adressées.
sur ce toit quand je suis remonté tout à l’heure, j’ai revu le ciel, celui du soir hier qui tombait, et je suis resté là, un peu.
Le ciel est un tableau noir sinistrement effacé de minute en minute par le vent, écrivait à peu près Breton ; je sais que le ciel écrit aussi lentement l’effacement pour que je puisse voir à travers les lettres.
ce qui est précieux : tout ce que je possède est ce qui ne m’appartient pas, qui est loin maintenant — dans la fatigue de ce (...) -
par où les déchirures du ciel
2 avril 2014, par arnaud maïsettiLe monde s’étire s’allonge et se retire comme un accordéon qu’une main sadique tourmente Dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie S’enfuient Et dans les trous, Les roues vertigineuses les bouches les voix Et les chiens du malheur qui aboient à nos trousses
Cendrars, proses
Il n’y aurait rien à écrire de ces jours.
Dans les déchirures du ciel seulement, les déchirures de soi — je voudrais me confier, entièrement me confier à la déchirure (pour de l’autre côté des lambeaux endosser la (...) -
quelques lignes sur la croyance du temps
2 juillet 2014, par arnaud maïsettiLe jour s’organise selon des droites nombreuses qui se coupent, se chevauchent, s’oublient et s’interrompent, reprennent parfois plus loin leurs courses ; droites en travers desquelles je vais ou que j’enjambe, ou contre lesquels je ploie de tout mon corps, et contre lesquelles, oui, je finis fatalement par m’allonger, lentement.
Hier soudain les urgences qui s’apaisent, des courses contre la montre perdues chaque jour ont cessé — dans ces délais à tenir, ces tâches à accomplir avant expiration du (...) -
dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
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si je tenais un journal (habiter le mot encore)
12 décembre 2013, par arnaud maïsettiDehors, le jour avait cette lumière : celle qui appelait à le rejoindre vite. Oui, comme un ciel qui va se lever, qui se lève déjà — et l’évidence du soir (le miracle devant une couleur qui se teinte depuis le tissu même : elle était déjà là.)
Aucun mot, dans l’éblouissement d’un ciel, quand on sait le jour ; alors s’en tenir à ce seuil de la phrase même, et s’y confier entièrement.
Si je me suis perdu dans les couloirs, je sais maintenant, plus que tout, que c’était pour entendre le Kyrie — qu’au fond c’est (...) -
Bob Dylan (& co) | « Boots of Spanish leather »
13 mai 2017, par arnaud maïsettipourquoi
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quoi qu’il advienne
16 janvier 2019, par arnaud maïsetti16 janvier 2019