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Articles
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Les villes qui n’existent pas | Villages Potemkine
30 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
Les villes qui n’existent pas | Détroit
11 septembre 2017, par arnaud maïsettihistoire de fantômes
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Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
España #3 | Tarragona & Valéncia
6 décembre 2014, par arnaud maïsettiSeulement passer
automne 14 -
Allen Ginsberg | Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticri de guerre
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la faculté d’admirer (tremblé des perspectives)
28 février 2013, par arnaud maïsettiFanfare atroce où je ne trébuche point ! chevalet féerique ! Hourra pour l’œuvre inouïe et pour le corps merveilleux, pour la première fois ! Cela commença sous les rires des enfants, cela finira par eux.
En perspective perdue, on voit la ville. Le chemin y conduit, il est vide. Tout au fond, dans la confusion du ciel ; ce n’est pas le ciel, seulement ce qui le recouvre, ce qui partout porte trace de ce qui n’arrive pas, pas encore, pas assez. Tout au fond, c’est une manière d’imminence qui brûle et (...) -
la possibilité de faire un commencement
26 avril 2020, par arnaud maïsetti26 avril 2020
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La Ville écrite | entrée des artistes
18 décembre 2018, par arnaud maïsettiaccès technique
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La ville écrite | un arb
16 décembre 2018, par arnaud maïsettià la racine
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Lieu | point-virgule #1
18 décembre 2016, par arnaud maïsettiune suite de recharges d’énergie qui, combinées à la diversité des attaques et contenus, rendent l’avancée hypnotisante.
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Lieu | à chacun sa rue Vilin #3
28 décembre 2016, par arnaud maïsettiC’est le lieu de la ville : le lieu de la rencontre et de l’écoute des signes arbitrairement laissés par les autres.
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Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton
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Lieu | Bergounioux lieu public #4
15 janvier 2017, par arnaud maïsettiC’est un texte de coulisses. Un texte sur le sas que représente chacun de ces lieux, et le très bref chemin, avec ses stations, qu’on accomplit dans l’intérieur de ce sas.
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l’histoire d’un jour
15 avril 2019, par arnaud maïsetti15 avril 2019
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l’imprédictible (savoir faire la planche)
11 septembre 2013, par arnaud maïsettichercher la poignée de la porte
De l’imprédictible. Se lever sans savoir où. Ni demain, où non plus. J’évite de regarder la ville, par superstition. De regarder le ciel (de sortir dehors être dehors). Par superstition et comme un talisman, j’évite tout simplement de prendre l’habitude d’aller, de posséder des habitudes. Je ne possède rien, ici, que certains moments du jour interrompu (j’attends l’interruption comme le jour) le désir de la montagne.
De l’irrésolu. C’est toujours quand on fait un pas de (...) -
l’éclair sans tonnerre (ou l’attente sous la Mosquée)
3 août 2013, par arnaud maïsettiSilence sur soi, silence aux autres – ces jours passent sans rien dire, il faudrait alors leur parler, ou parler en eux, je ne sais pas. Après-midi à la Mosquée dans les conversations vaines des touristes, et le courant d’air – le soir je lève les yeux, c’est le soir. Intérieurement, j’aurais été un peu plus loin que ma propre vie, moins loin que Playa Larga, c’est ainsi.
Est-ce qu’il a plu dans la Drôme la poussière rouge d’Afrique ? et sur les Caraïbes, la forme des éclairs ?
Hier, l’orage une fois ou (...) -
la ville est impossible (ciels d’ouest)
13 mars 2014, par arnaud maïsettiÀ l’ouest est une porte, là que les anciens disaient croire la mort et ils y croyaient tant qu’elle tombait sur eux, chaque jour quand le jour descendait.
Je garde pour moi les images des ruines sur lesquelles tombe le ciel, et peut-être le ciel tombe-t-il pour cela, pour elles et pour le sacrifice qu’elles implorent et que le ciel honore.
Dans cette ville, je me suis longtemps demandé pourquoi demeuraient vides le soir ces larges rues commerçantes près de la rotonde, alors qu’il y a tant de (...) -
la résistance des jours
11 février 2015, par arnaud maïsettiIncapable d’avancer autre chose qu’un jour après l’autre. Les trajets de Marseille à Aix se ressemblent : les virages, les moments où la mer arrive, je les anticipe maintenant, ce tunnel qui débouche soudain sur la ville entièrement allongée — la répétition des jours qui peinent à fabriquer autre chose que des semaines, et des mois.
L’écrire ne ferait que donner la liste des jours ; des semaines ; des mois — alors, ne pas écrire, prendre en photos de temps en temps la ville comme elle est debout. Sur le (...) -
Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
23 septembre 2017, par arnaud maïsettila terre, l’or, la boue et la cendre
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au coucher de soleil (comme une harmonie)
25 août 2013, par arnaud maïsettiDe telles matinées sont réelles, si l’on veut. Mais on y a cette exaltation où la moindre beauté nous grise et nous donne presque, quoique la réalité habituellement ne puisse pas le faire, un plaisir de rêve. La couleur juste de chaque chose vous émeut comme une harmonie, on a envie de pleurer de voir que les roses sont roses ou, si c’est l’hiver, de voir sur les troncs des arbres de belles couleurs vertes presque réfléchissantes, et si un peu de lumière vient toucher ces couleurs, comme par exemple au (...)