10x2 (Sophie Moleta, ’Dive’, 2000)
« … après un moment elle se mit à chanter, et chanta pendant un bon moment, toujours la même chanson je crois, sans changer de position. Je ne connaissais pas la chanson, je ne l’avais jamais entendue et ne l’entendrai jamais plus. Je me rappelle seulement qu’il y était question de citronniers, ou d’orangers, je ne sais plus lesquels, et pour moi c’est un succès, d’avoir retenu qu’il y était questions de citronniers, ou d’orangers, car d’autres chansons que j’ai (...)
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_corps
Articles
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le tiers coupable
10 octobre 2010, par arnaud maïsetti -
Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
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Yann-Joël Collin | La vie en face
15 juillet 2017, par arnaud maïsettiRoberto Zucco de B.-M. Koltès et Prologue sur le théâtre de D.-G. Gabily, mis en scène par Yann-Joël Collin [Avignon In, Gymnase du Lycée St Joseph] – juillet 2017
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Bob Dylan | ain’t talkin’ (concert)
9 avril 2009, par arnaud maïsettiPoser la voix | Dylan en concert à Paris, avril 09
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Ólafur Arnalds | si près
26 février 2014, par arnaud maïsettià travers la noirceur
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement
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Arnaud des Pallières | Michael Kohlhaas
17 août 2013, par arnaud maïsettiTerreur et douceur du temps injuste
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Statuaires, paroles muettes
13 novembre 2013, par arnaud maïsetti(sta-tue) s. f. Figure entière et de plein relief, représentant un homme ou une femme, une divinité, un animal, un dieu, un cheval, un lion.
Littré
Mélancolie de l’homme : « si je suis là, c’est au même moment où tu es, si loin, et que la lumière me frappe comme pour dire : je frappe aussi celle qui est auprès d’autres corps, si loin, pour la seule raison du crépuscule, des désirs emportés. »
Songe de la femme : « je vais d’une heure à l’autre, doucement, et d’un corps d’homme à l’autre, avec les yeux, (...) -
le long couloir du jour
1er mai 2011, par arnaud maïsettiMemory lane (Elliott Smith ’From a Basement on a Hill’ 2004)
Et pourtant, et pourtant J’étais triste comme un enfant. Les rythmes du train La « moëlle chemin-de-fer » des psychiatres américains Le bruit des portes des voix des essieux grinçant sur les rails congelés Le ferlin d’or de mon avenir Mon browning le piano et les jurons des joueurs de cartes dans le compartiment d’à côté L’épatante présence de Jeanne L’homme aux lunettes bleues qui se promenait nerveusement dans le couloir et qui me regardait en (...) -
Layla, à présent je suis au fond du monde | notes dramaturgiques
11 janvier 2017, par arnaud maïsettinotes sur la création
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Lacan | ces déclarations insurrectionnelles
5 octobre 2011, par arnaud maïsettiIntervention dans le séminaire de J. Lacan
_Date inconnue -
Albane Gellé | Formes et forces des acquiescements
5 mars 2009, par arnaud maïsettiAlbane Gellé, Bougé(e), Seuil, coll. « Déplacements » – mars 2009
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De la lecture comme flux
12 décembre 2009, par arnaud maïsettice qui passe dans la lecture, les énergies et les circulations que cela opère
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Marseille | nord sud est ouest
13 juin 2022, par arnaud maïsettiRose des vents
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Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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vie dans un fauteuil (vide, et l’appel)
18 juillet 2012, par arnaud maïsettije disais : rien ne console dans ces moments-là, que la pièce vide autour, qui grandit, et puis dans l’épuisement si je regarde parfois à travers mes yeux, c’est toujours le mur blanc sur lequel le bureau s’appuie, la nuit déjà — et pourtant (dans nos ténèbres, il n’y a pas une place pour la Beauté. Toute la place est pour la Beauté)
il y a un fauteuil le mois dernier, rue tolbiac, qu’on avait apporté jusque là ; ce n’était pas un fauteuil ordinaire, mais rouge comme une chambre rouge, et les rideaux, (...) -
persistance rétinienne
20 janvier 2010, par arnaud maïsetti« Si l’œil qui regarde l’étoile se tourne rapidement de la partie opposée, il lui semblera que cette étoile se compose en une ligne courbe enflammée. Et cela arrive parce que l’œil réserve, pendant un certain espace, la similitude de la chose qui brille et parce que cette impression de l’éclat de l’étoile persiste plus longtemps dans la pupille que n’a fait le temps de son mouvement. »
Léonard de Vinci Sur le dos de la main, j’ai cette plaie qui ne cicatrice pas : qui brûle encore alors (...) -
lecture | « Où que je sois encore… (début)
16 décembre 2007, par arnaud maïsettiÀ la galerie Mycroft | coll. Déplacements
Hiver 2007 -
corps dévisagés
13 septembre 2010, par arnaud maïsetti14 photographies de statues (Collégiale Saint-Martin-de-Candes)
sept. 10