Quiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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Articles
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F. Kafka | « entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
Deleuze / Parnet | « S’affecter de joie »
5 juin 2019, par arnaud maïsettidialogues, 1977
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DADA | « et doré de corps d’archanges, de son âme »
5 novembre 2013, par arnaud maïsettidégoût dadaïste
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regarde le ciel (et le Mistral tomber)
22 mai 2013, par arnaud maïsettije t’en supplie
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fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019
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silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017
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Avignon, journal de l’épuisement : et du ravage
21 juillet 2015, par arnaud maïsettiAvignon est partout, une ville comme on voudrait la fuir et comme à chaque pas on la rencontre et sait lui appartenir pour relever d’elle : à la butée de ses murailles, trouver son ombre qui glisse contre elles et dessine sur leur peau l’inappartenance qui la fonde. Alors participer malgré soi de son absurde vacuité, de sa vitalité impossible – et puis partout depuis deux semaines maintenant une chaleur qui écrase et ralentit, rend le sommeil introuvable et le matin épuisé. On cherche les mots qui (...)
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dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici peut-être, mieux (...) -
quand s’ouvrent les premières Eucharis
21 mars 2014, par arnaud maïsettiDepuis lors, la Lune entendit les chacals piaulant par les déserts de thym, — et les églogues en sabots grognant dans le verger. Puis, dans la futaie violette, bourgeonnante, Eucharis me dit que c’était le printemps.
Rimb. Après le déluge C’est le jour où le soleil bascule dans l’hémisphère nord — ou est-ce l’hémisphère nord qui pivote et s’oriente vers le soleil ? C’est le lieu, plutôt, où la lumière passe ; frappe à l’inclinaison la plus proche. C’est l’espace qui sépare la lumière du jour. C’est la (...) -
À un ami | « Le moi m’a toujours laissé de glace »
28 septembre 2014troisième extrait