_folies

Articles

• William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience, le projet
  9 juin 2013, par arnaud maïsetti

  pourquoi, et pour quoi

• Layla, à présent je suis au fond du monde, avec Jérémie Scheidler | Éditions Esse Que
  20 décembre 2016, par arnaud maïsetti

  Théâtre
  Esse que
  décembre 2016

• Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
  8 septembre 2014, par arnaud maïsetti

  sommes-nous si loin

• Layla | reprise à la Loge, Paris
  9 octobre 2017, par arnaud maïsetti

  la route qui continue

• Détruire le ciel
  26 mai 2019, par arnaud maïsetti

  impossibilité des corneilles

• Layla, à présent je suis au fond du monde | Résidence La Traverse
  28 novembre 2015, par arnaud maïsetti

  Du 23 novembre au 6 décembre, le metteur en scène Jérémie Scheidler est accueilli en résidence d’écriture à la Traverse, Centre d’Art Contemporain, à Alfortville, en partenaria avec le Studio d’Arts Numériques du Théâtre Studio d’Alfortville.
  Je l’accompagne ces jours dans cette première phase de travail de l’écriture d’un spectacle destiné à une comédienne – Boutaïna El Fekkak –, et dont le projet mûri depuis près d’un an.
  Layla, à présent je suis au fond du monde, commence à s’écrire désormais, sur le mur (...)

• La Ville écrite | peut-être fous
  3 février 2017, par arnaud maïsetti

  cela seul sauverait

• Layla | RadioDrama, France Culture
  20 juin 2017, par arnaud maïsetti

  une fiction (pour la) radio

• Maxence Cyrin | Where is my Mind ?
  6 janvier 2016, par arnaud maïsetti

  Où aj-je l’esprit ? [1]
  Les pieds en l’air et la tête au sol,
  Essaie de faire ça, puis tourne, oui,
  Ta tête explosera,
  Mais elle est vide,
  Alors tu te demanderas
  Où ai-je l’esprit ?
  Il s’échappe dans l’eau,
  Vois-le nager
  Moi, je nageais dans les Caraïbes
  Des animaux se cachaient derrière les rochers
  Sauf le petit poisson
  Mais il me dit que l’Est, c’est l’Ouest
  Puis tâche de pleurer
  Où ai-je l’esprit ?
  Il s’échappe dans l’eau
  Vois-le nager (...)

• La Ville écrite | comme une ombre
  23 septembre 2011, par arnaud maïsetti

  Il faudrait tapisser la ville de cadrans solaires

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