15 février 2019
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _colère
_colère
Articles
-
le continent de l’insatiable
15 février 2019, par arnaud maïsetti -
peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
2 mai 2020, par arnaud maïsetti2 mai 2020
-
je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
-
détruire le monde
7 avril 2020, par arnaud maïsetti7 avril 2020
-
Rimbaud, une vie | Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
21 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre V.
Apprendre à lire, à cracher. -
Rimbaud, une vie | Izambard. La classe du soir
26 novembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre VI
Devenir crapules -
comme un oui vengeur [Avignon #3]
15 juillet 2018, par arnaud maïsettiIl faudrait sans doute en finir – par exemple et pour commencer avec les sens uniques, et tout ce que le sens peut unifier, avec les panneaux à l’entrée des villes interdites, et avec les villes, leurs Palais et leurs Papes : et garder quelques murs pour la seule raison qu’on pourrait avoir besoin d’eux quand il s’agira de les faire tomber ?
Il faudrait sur un coup de tête essayer de trouver comment faire de ce monde quelque chose de possible : on accumule les critiques (le mot ment : c’est (...) -
le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
7 novembre 2013, par arnaud maïsettiQue le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de la frontière ont (...)
-
les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
où sommes nous
17 janvier 2019, par arnaud maïsetti17 janvier 2019
-
mais on y rêve
16 juin 2020, par arnaud maïsetti16 juin 2020
-
rêve des conjurations
5 avril 2020, par arnaud maïsetti5 avril 2020
-
le point de sursaut et d’éveil
20 mars 2019, par arnaud maïsetti20 mars 2019
-
pour pouvoir vraiment la haïr
25 mai 2021, par arnaud maïsetti25 mai 2021
-
l’insulte faite au chien
2 mars 2015, par arnaud maïsettiSans doute il avait tout essayé : les imprécations silencieuses d’abord, puis les râleries à voix hautes, et très vite les appels et les cris, mais rien n’y fait ; alors le vendredi soir, frapper à la porte, au milieu de la nuit. Poussé dans ces dernières extrémités, il fallait bien faire quelque chose : c’est humain. Mais personne ne répond que le chien, et il n’y a pas de sonnette. Que faire ? Il faut comprendre cet homme.
De l’expression « impossible » pour qualifier un homme : « il est vraiment (...) -
si bien que tu dois travailler comme un fou
14 avril 2020, par arnaud maïsetti14 avril 2020
-
sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
2 août 2016, par arnaud maïsetti2 août 2016
-
sans être là
30 novembre 2018, par arnaud maïsetti30 novembre 2018
-
bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
-
devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018