Au pied de la ville, son ombre portée jusqu’à moi
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_Fiction
Articles
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(au pied de la ville)
6 janvier 2012, par arnaud maïsetti -
Autre Savoir | Parler pour les siècles
11 mars 2016, par arnaud maïsettienregistrement des premiers gestes
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Aubes | XIII. (Le théâtre est vide)
9 mars 2014, par arnaud maïsettitreizième chapitre
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Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
5 mars 2014, par arnaud maïsettineuvième chapitre
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prélude
24 septembre 2004, par arnaud maïsettidu siècle passé
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Les villes qui n’existent pas | Troie
27 août 2017, par arnaud maïsettil’Histoire et son Poème
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anticipation #41 | ne pas détruire
23 août 2010, par arnaud maïsettiIl n’y a pas de « catastrophe environnemental » Il y a cette catastrophe qu’est l’environnement. L’environnement, c’est ce qu’il reste à l’homme quand il a tout perdu. […] Il n’y a que nous pour assister à notre propre anéantissement comme s’il s’agissait d’un simple changement d’atmosphère. Pour s’indigner des dernières avancées du désastre, et en dresser patiemment l’encyclopédie. […] Tant qu’il y aura l’Homme et l’Environnement, il y aura la police entre eux. Comité invisible, L’insurrection qui vient
Au (...) -
[ phrases ] #5 — rêves de départs
31 octobre 2011, par arnaud maïsettiLa hauteur des murs, le bruit du vent, le visage de quelques hommes, le corps de toutes les femmes, les reflets dans les tours, la musique partout à chaque coin de rues, des rues à chaque femme, des visages sur chaque affiche, des affiches au-dessus de chaque porte, et de la neige parfois, mais la chaleur suffocante, et du bruit toujours, et comme l’odeur de brûlé, et tant de beauté enfin qu’on s’y arrêterait pour la prendre et l’emporter loin, oui, mais loin, on y était, et c’était sans doute la (...)
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[ phrases ] #7 — rêves de draps défaits
26 février 2012, par arnaud maïsettiC’est une ville banche et grise
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le monde loin derrière nous | vers Lausanne
11 mai 2012, par arnaud maïsettichp. II — La Suisse
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Saint-Just | Anthologie française
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiune émission Radio France
9 mai 1958 -
Georges Bataille, entretien 1951 | Lire son visage #1
3 avril 2015, par arnaud maïsettideux signes comme dangereux
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adresse #10 | à la fin
7 novembre 2010, par arnaud maïsetti« Qu’importe que j’aie les yeux fermés… »
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Quand la nuit vient | Les larmes #11
28 mai 2019, par arnaud maïsettic’était souvent
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Lieu | mouvement, mais sans verbe #2
20 décembre 2016, par arnaud maïsetticomment un récit peut-il donner l’impression qu’on se déplace dans le réel qu’il représente ?
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Georges Bataille | La vérité de la nuit
28 mars 2015, par arnaud maïsettiEmission de radio sur France Culture : Une vie une œuvre
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Autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours
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Georges Bataille, entretien 1951 | Dieu, ou rien #3
23 avril 2015, par arnaud maïsettipuisqu’on s’en fout
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La Ville écrite | la nuit
19 décembre 2016, par arnaud maïsettirépandue sur le sol
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anticipation #30 | le train
3 juillet 2009, par arnaud maïsettiLe paysage était traîné sur des heures — derrière lui, il tirait le monde entier en ligne droite, horizontale, parallèle à l’avancée du train. Le front aux vitres comme les veilleurs de chagrin : mais ce qu’on veillait, c’était la longue plainte de cette ligne-là : l’horizon qu’on ne rejoignait jamais puisqu’on ne ferait que le longer à l’infini.
C’était le long défilé des terres et les bâtiments qu’on croisait l’espace d’une seconde ; espace qui finissait par les avaler la seconde suivante, on était déjà loin. (...)