Un rêve : porte trop étroite et trop haute ; sans fond, sans largeur et sans horizon.
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_rêves et terreurs
Articles
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un rêve #88 | porte condamnée
10 février 2010, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | Comment peut-on s’intéresser à autre chose qu’à l’Ésotérisme ?
15 août 2011, par arnaud maïsetticomment rejoindre le mystère ?
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Le monde viendra s’offrir à toi pour que tu le démasques
9 mai 2016, par arnaud maïsetti9 mai
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image fiction | dans le jour, ce qu’on emporte avec soi
23 juillet 2013, par arnaud maïsettiimage fiction du rêve, de la ville, de la mémoire
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Innocences des Kirghiz
9 avril 2010, par arnaud maïsettigeste soufflé — révolte désœuvrée
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un rêve #30| le talisman
12 décembre 2009, par arnaud maïsettiUn rêve : désemparé et littéralement perdu, oui, entre les deux portes du sommeil
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un rêve #96 | ma route
21 février 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : tout se passe dans une double vitesse, paradoxale mais qui me semble évidente
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Julien Gracq | « Habiter une forêt perdue »
22 décembre 2011Ils fumèrent un moment en silence
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mon état par défaut
4 juillet 2017, par arnaud maïsettiLa lumière et la solitude.
Ici pour nous ouvrir les yeux Seules les cendres bougent.
Eluard, L’Amour La poésie, "Comme une image" (V) Roberto Cacciapaglia, Moscow River
Par défaut, on irait dans la ville comme des déracinés, et près de la terre comme des abandonnés ; on regarderait le ciel avec nostalgie et la mer sans tristesse : par défaut on serait seuls au milieu du nombre comme des arbres, comme des immeubles : mon état par défaut : la phrase, sa question, revenait dans le rêve, et toute la (...) -
anticipation #30 | le train
3 juillet 2009, par arnaud maïsettiLe paysage était traîné sur des heures — derrière lui, il tirait le monde entier en ligne droite, horizontale, parallèle à l’avancée du train. Le front aux vitres comme les veilleurs de chagrin : mais ce qu’on veillait, c’était la longue plainte de cette ligne-là : l’horizon qu’on ne rejoignait jamais puisqu’on ne ferait que le longer à l’infini.
C’était le long défilé des terres et les bâtiments qu’on croisait l’espace d’une seconde ; espace qui finissait par les avaler la seconde suivante, on était déjà loin. (...) -
ne faire que passer
25 mars 2020, par arnaud maïsetti25 mars 2020
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[ phrases ] #6 — rêves de fraudes
6 novembre 2011, par arnaud maïsettiCouloirs comme on s’y enfonce, un couloir après l’autre et même dans l’autre engagé, étroits et plafonds bas, murs carrelés, image parfaite de la mémoire quand on veut s’imaginer sa forme, et qu’elle apparaît quand on ferme les yeux dans la nuit noire sous cette image parfaite de couloirs ainsi enfoncés les uns dans les autres, étroits, bas de plafond, murs carrelés qui tournent, et vont, descendent sans fin mais la pente est si légère qu’on dirait se décharger d’un souvenir à chaque pas tant on descend (...)
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Pecha Kucha | Saint-Just, Vingt fois la terreur (la vidéo)
20 mars 2013, par arnaud maïsettiparoles et sons
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William Blake | « Chanson pour dormir »
3 août 2013, par arnaud maïsettipenché sur moi
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contre-tendanciel
6 mars 2010, par arnaud maïsettiRegarder la réalité en face : ne pas s’écarter de cette exigence — prendre en compte la totalité des paramètres (vitesse du vent, intensité de la lumière, teneur de fatigue dans le sang, hauteur des lucarnes, gramme de violence contenue par volume d’air expiré) : et tenir les comptes à jour : à chaque secousse, le jour perd du temps sur lui-même. Lui en restera-t-il assez, à l’heure du bilan ?
Lu dans le journal :
Le séisme survenu samedi au Chili a secoué la Terre… et très légèrement modifié sa vitesse (...) -
La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
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La Ville écrite | "dans une rue intitulée « divinité de la neige »"
27 avril 2011, par arnaud maïsettiune demande formulée, brève
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Autoportrait aux yeux fermés
26 juin 2012, par arnaud maïsettidouleur
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Autre Savoir | Le cri des arbres quand ils chantent
31 mai 2014, par arnaud maïsettivoix des arbres, et du vent
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anticipation #46 | le rêve de nos pères
4 février 2011, par arnaud maïsettiCe n’était pas là le rêve que nos pères avaient fait pour nous. Partout, les mêmes villes de géants étendues sur des pays entiers, des guerres interminables, sans soldat, sans cause, sans mort visible. Des vainqueurs sans victoire, et des vaincus sans sépulture. Des dates qui ne servaient que pour des commémorations. Des chiffres qui établissaient des comptes, mais les colonnes des profits et des pertes changeaient sans cesse. Les livres, eux, n’apparaissaient dans aucune colonne. Non, ce n’était pas (...)