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_Marseille
Articles
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La Ville écrite | l’esprit qui dit
28 janvier 2017, par arnaud maïsetti -
dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
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La Ville écrite | Je bois et puis je danse
1er juillet 2017, par arnaud maïsettiles sauvages
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la flamme brûle sans savoir qu’elle existe
22 août 2018, par arnaud maïsetti22 août 2018
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à distance, écrire à l’ombre de soi-même
28 janvier 2018, par arnaud maïsettiDonne lui un homme et du temps, il en fait un cadavre, puis il le rejette sur ses bords. Il le gonfle puis il le rejette. Lui demeure
H. Michaux, « L’étang », À distance, date inconnue Yann Tiersen, « Porz Goret » (Eusa, 2016)
À distance, mais de quel siècle, et vers quel siècle s’avancer pour que ce jour revienne où ce serait possible, enfin, que le jour soit à sa place. Jour où rien ne passe que du vent et de tout son long ne fait rejoindre que de la terre, jour où il n’y a rien que (…) -
Jrnl | Le premier instant dure toujours
4 mars 2023, par arnaud maïsettiSamedi 4 mars 2023
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dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais (…) -
La Ville écrite | officielles
30 juin 2016, par arnaud maïsettipourquoi « la vie » nous avait séparés
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La Ville écrite | réponses
21 juin 2017, par arnaud maïsettifaire entendre
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Marseille - Beyrouth | Par dessus le ciel
16 décembre 2017, par arnaud maïsettid’en haut
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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La Ville écrite | Ridiculous
11 février 2016, par arnaud maïsettiThis is
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spectres, signe des temps
23 mars 2017, par arnaud maïsetti23 mars
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devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018
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Les Tables de la Plaine | Commune indienne de Marseille
24 décembre 2015, par arnaud maïsettidevenir indien
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d’une semaine l’autre : trains, correspondances et autres départs
16 octobre 2017, par arnaud maïsettiIl fallait à Persée pour poursuivre les monstres une capuche de nuages. Cette capuche nous nous la sommes tirée sur les yeux et les oreilles, pour pouvoir faire comme si les monstres n’existaient pas. [/Karl Marx, « Préface à la première édition allemande », dans Le Capital./] The Clash, « Train In Vain » (The London Calling, 1979)
D’une semaine l’autre, rien qu’un passage qui voudrait seulement trouver les endroits de passage plus denses et rapides, ceux qui conduisent d’ici à là-bas – (…) -
bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
16 février 2014, par arnaud maïsettirien d’autre que les pensées adressées.
sur ce toit quand je suis remonté tout à l’heure, j’ai revu le ciel, celui du soir hier qui tombait, et je suis resté là, un peu.
Le ciel est un tableau noir sinistrement effacé de minute en minute par le vent, écrivait à peu près Breton ; je sais que le ciel écrit aussi lentement l’effacement pour que je puisse voir à travers les lettres.
ce qui est précieux : tout ce que je possède est ce qui ne m’appartient pas, qui est loin maintenant — dans (…) -
Passage Mc Kay : Marseille, le poète, le migrant et l’oubli
18 juin 2015, par arnaud maïsettiIf we must die, let it not be like hogs Hunted and penned in an inglorious spot, While round us bark the mad and hungry dogs, Making their mock at our accurséd lot. If we must die, O let us nobly die, So that our precious blood may not be shed In vain ; then even the monsters we defy Shall be constrained to honor us though dead ! O, kinsmen ! we must meet the common foe ! Though far outnumbered let us show us brave, And for their thousand blows deal one death-blow ! What though before us (…)
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Marseille | prendre de la hauteur
4 août 2015, par arnaud maïsettiEt respirer, entre deux années, oh, acharné à les écrire, cette vie qui bat trop lentement la mesure de toute une vie, la ville d’ici ; et alors tant pis pour le ciel, tant pis pour la mer, et tant pis pour ce qui en bas passe et s’en va.
