de l’opacité de mes textes
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Articles
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(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
les mémoires de l’arbre, Vertigo et la métempsycose
23 décembre 2013, par arnaud maïsettiHitchcock | Vertigo
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Deleuze | Quelque chose de trop grand
13 juillet 2013, par arnaud maïsettila fabulation créatrice
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Bob Dylan (& co) | « Boots of Spanish leather »
13 mai 2017, par arnaud maïsettipourquoi
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dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici (…) -
Avignon, journal de l’épuisement : et du ravage
21 juillet 2015, par arnaud maïsettiAvignon est partout, une ville comme on voudrait la fuir et comme à chaque pas on la rencontre et sait lui appartenir pour relever d’elle : à la butée de ses murailles, trouver son ombre qui glisse contre elles et dessine sur leur peau l’inappartenance qui la fonde. Alors participer malgré soi de son absurde vacuité, de sa vitalité impossible – et puis partout depuis deux semaines maintenant une chaleur qui écrase et ralentit, rend le sommeil introuvable et le matin épuisé. On cherche les (…)
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Récits de la création des Nouveaux Mondes #4
1er mai 2014, par arnaud maïsettique je marche
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où la brume vague
25 janvier 2017, par arnaud maïsettiOù la brume vague évoquait un grand Fantôme laiteux se désespérant Et pleurant avec la voix des sarcelles Qui se rappelaient en battant des ailes Parmi la saulaie où j’errais tout seul
P. Verlaine, Promenade Sentimental The National, You Were A Kindness Ce serait donc cela, l’image de l’année qui s’ouvre ; on l’espère neuve, on la désire vibrante, et on trouve le soir, sur son téléphone, des images prises à mon insu qui la désignent mieux qu’un horizon de ciel.
Il faut accepter les (…) -
Agenda
23 novembre 2019le temps passé à le faire
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La Ville écrite | contre les ennemis des cultures
11 juillet 2011, par arnaud maïsettitremble, fourmi d’Argentine
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Bob Dylan | Not Dark Yet
10 janvier 2014, par arnaud maïsettipas encore
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Rimbaud, une vie | Délires. Suites et fin
10 novembre, par arnaud maïsettiChapitre I
Rêves et agonies -
Lire et écrire numérique : journal d’un désœuvrement
5 juin 2013, par arnaud maïsetti4 juin 2013, journée d’études à Rennes
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Gottfried Wilhelm Leibniz | « Il n’y a rien de mort dans l’univers »
24 février 2012, par arnaud maïsetti« Chaque portion de la matière peut être conçue comme un jardin »
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une espèce d’œil double
13 avril 2010, par arnaud maïsettiDans le reflet de la vitre placée en face du comptoir des Caves Populaires, ce matin, beaucoup de passage : les mêmes silhouettes, les mêmes conversations au-dessus des cafés — rester en retrait m’abstrait totalement du lieu, et personne ne me voit au bout d’une heure. Une heure encore, et je suis vraiment invisible ; un véritable souvenir.
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix anciennes
Vers onze heures, une jeune femme, étrangère, se présente auprès du patron : (…) -
William Blake | « La Fleur »
10 juillet 2013, par arnaud maïsettitout près de mon cœur
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Bernard-Marie Koltès, une vie | le livre
1er février 2018, par arnaud maïsetti4ème de couverture
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Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsettija sagen
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de peur
13 octobre 2011, par arnaud maïsettise pencher de peur d’être comme je suis seulement, et pas autre, et d’être à la fois précisément comme les autres parce que mon désir les rejoint, voudrait les rejoindre, voudrait rejoindre en eux le désir d’être autre, c’est cela, de peur d’être ici, quand c’est ailleurs, bien sûr, que le désir se déporte ; de toute cette peur-là constitué que j’amasse comme dans le creux des mains un peu de sable qui se renversera sous les doigts le temps d’arriver jusqu’à la mer pour le répandre, de toute (…)
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une vie, ou l’imminence
2 octobre 2016, par arnaud maïsetti[/Rien n’a d’importance, et je crois que bien des gens ont considéré la vie comme un enfant turbulent, en soupirant après le calme qu’ils allaient enfin connaître quand il irait se coucher.
Pessoa, Le Livre de l’intranquillité/]
Radiohead, « Life in a Glasshouse », Amnesiac (2001) Celui qui a écrit, rapidement, comme en fuyant, UNE VIE sur le rebord de muret face à l’université, est-ce qu’il voulait déposer sa vie, ou seulement en arracher une, une autre, une plus grande ou plus simple, (…)
