21 avril
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_arbre
Articles
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ce qui fait brèche dans le cours réglé du désastre
21 avril 2017, par arnaud maïsetti -
Lost in the Trees | Excos
16 juin 2014, par arnaud maïsettidispersion des cendres
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Nerval | « Si vous savez interpréter l’hymne à la Nuit, d’Orphée »
30 août 2013, par arnaud maïsettile propre de l’être vivant est de se dresser
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à voir | projection arbres de vie, expérimentations cinématographiques
2 mars 2013, par arnaud maïsettiCe lundi, au Collège des Bernardins, projection de plusieurs films de jeunes cinéastes — et notamment de Jérémie Scheidler, qui présentera les premières images de son projet sur le Liban, tournées ces derniers mois, et que j’ai hâte de voir.
Occasion aussi de voir cinq autres films, aux frontières des expérimentations plastiques et cinématographiques, échos aux arbres de vie que les Bernardins exposent tout ce printemps (c’est de saison).
Manière de soutenir des démarches fortes et précieuses, mais (...) -
la levée (où le soleil s’est pendu)
16 avril 2013, par arnaud maïsettiLes yeux quand on les plonge dehors, la première fois de la journée. On ne pleure pas, c’est seulement la lumière. Comment on réapprend à marcher, aussi. Il n’y a personne encore. Il est tôt. C’est la rue lavée des matins dans nos villes, l’eau sale qui emporte tout dans les rayures minuscules des trottoirs, sans bruit. Les journaux, partout, déjà. Tout le ciel blanc qui prend place au-dessus de la ville ; la terre que je piétine peut-être, comment savoir, c’est trop de route. La route, elle, ne conduit (...)
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gloire au Sophora (solitude des villes plantées ailleurs)
21 août 2013, par arnaud maïsettiC’est de Chine que vient le Sophora du Japon — toutes les terres qu’on atteignait après deux jours de marche, j’imagine qu’on devait les appeler Japon, c’était plus simple, et plus juste : est-ce qu’il y a des terres plus à l’est que le Japon ? De Chine pourtant, et non pas de Japon : quelques graines envoyées en France par un savant, naturaliste, ou aventurier, tout ce qu’on ne sera plus jamais : un de ces types qui posaient les pieds sur des collines inconnues (sauf de ceux qui les habitaient depuis (...)
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The Cinematic Orchestra | To Build a Home
2 juin 2014, par arnaud maïsettij’aurais voulu nous bâtir une maison
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La ville écrite | un arb
16 décembre 2018, par arnaud maïsettià la racine
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la flamme brûle sans savoir qu’elle existe
22 août 2018, par arnaud maïsetti22 août 2018
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les arbres nous regardent (le geste de toute une vie)
2 janvier 2014, par arnaud maïsettiHeures, couleur mai, fraîches. Ce qui n’est plus à nommer, brûlant, audible dans la bouche.
Voix de personne, à nouveau.
Profondeur douloureuse de la prunelle : la paupière ne barre pas la route, le cil ne compte pas ce qui entre.
Une larme, à demi, lentille plus aiguë, mobile, capte pour toi les images.
Paul Celan, Un oeil, ouvert
On m’avait dit enfant qu’il ne fallait pas toucher à l’arbre (cela date peut-être de ce jour où j’avais coupé du bois vert, massacré le jeune arbre) : dès lors enfant, (...) -
la mort, mais pas celle-ci
4 avril 2020, par arnaud maïsetti4 avril 2020
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017
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Georges Bataille | « et même un arbre foudroyé »
29 août 2017, par arnaud maïsettidans l’obscurité de ma chambre
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Autre savoir | Le soleil enfermé dans la cerne des arbres
9 mai 2021, par arnaud maïsettile temps qu’il faisait dans les entrailles des arbres
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Automne, résistances au ciel
11 novembre 2012, par arnaud maïsettiderniers jours avant extinction des feux et début de la nuit d’hiver : c’est aujourd’hui que cela a commencé et dimanche, ce sera fini — il n’y aura plus une feuille aux arbres ; ce jour, les couleurs terminent (on dit qu’elles passent, je crois), et demain, au moindre souffle de jeune fille, tout s’éparpillera ; ce qui passe devant moi, c’est un peu d’une blessure plus large encore — il faut l’accepter.
ces lignes fines dans le ciel qui ne portent qu’une ou deux (ou trois) lettres par arbre, ces (...) -
La Ville écrite | le capitalisme
18 juin 2016, par arnaud maïsettiest en train de dévorer
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Respiration #1 | au pied de
17 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Massif de Marseilleveyre
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous ces mots (...) -
racines mouvantes
16 août 2011, par arnaud maïsettiFuneral Canticle (John Tavener - repris dans The Tree Of Life )
Toute théorie est grise, mais vert florissant est l’arbre de la vie.
Johann Wolfgang von Goethe
Racines mouvantes – indémaillables.
C’est une vision d’origine et pourtant : rien qui ne soit passé, achevé, impossible à rejoindre. Une radicalité immobile devant laquelle aucun signe, aucun mot, seulement tenir face, et baisser la garde. Seulement tenir, seulement : et demeurer ainsi, désarmé.
Un je ne sois quoi d’ailleurs, sur lequel (...) -
La Ville écrite | le dialogue de l’arbre
15 mai 2017, par arnaud maïsettiCornouiller discute