1er novembre
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_Arthur Rimbaud
Articles
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vision du corps de Baudouin IV le Lépreux
1er novembre 2019, par arnaud maïsetti -
Rimbaud, une vie | Délires. Suites et fin
10 novembre, par arnaud maïsettiChapitre I
Rêves et agonies -
Rimbaud | « Plus que tous les enfants du monde »
6 octobre 2013, par arnaud maïsettiCette fois, c’est la Femme que j’ai vue dans la ville
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Rimbaud, une vie | Le caveau. Dernières fureurs
1er décembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre [x]
Exhumation et miracles. -
silhouettes creusées à la surface de soi
6 novembre 2017, par arnaud maïsetti6 novembre 2017
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[ phrases ] #5 — rêves de départs
31 octobre 2011, par arnaud maïsettiLa hauteur des murs, le bruit du vent, le visage de quelques hommes, le corps de toutes les femmes, les reflets dans les tours, la musique partout à chaque coin de rues, des rues à chaque femme, des visages sur chaque affiche, des affiches au-dessus de chaque porte, et de la neige parfois, mais la chaleur suffocante, et du bruit toujours, et comme l’odeur de brûlé, et tant de beauté enfin qu’on s’y arrêterait pour la prendre et l’emporter loin, oui, mais loin, on y était, et c’était sans doute la (...)
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Arthur Rimbaud | « le Grand Cygne rêveur »
4 janvier 2013Et tout croît, et tout monte !
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romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
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la ville Narcisse (et, loin, les roseaux tremblés)
11 juin 2013, par arnaud maïsettiRegret des bras épais et jeunes d’herbe pure ! Or des lunes d’avril au cœur du saint lit ! Joie des chantiers riverains à l’abandon, en proie aux soirs d’août qui faisaient germer ces pourritures.
Qu’elle pleure à présent sous les remparts ! l’haleine des peupliers d’en haut est pour la seule brise. Puis, c’est la nappe, sans reflets, sans source, grise : un vieux, dragueur, dans sa barque immobile, peine. Je pense à Narcisse, et je crois qu’il y avait des roseaux à travers son visage déposé sur son (...) -
La Ville écrite | Sauvage
18 novembre 2017, par arnaud maïsettiparade
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Rimbaud, une vie | Enfances. Légendes d’Ardennes
10 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre III
Gespunsart, premières images oubliées -
Où les coeurs s’éprennent
15 octobre 2010, par arnaud maïsettiManifestations automne 10
— je lutte des classe -
Rimbaud | Des nouvelles de Londres
30 novembre 2018, par arnaud maïsettiL’Histoire splendide
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enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
le vingt-et-un décembre, d’hiver (son miracle demain)
21 décembre 2013, par arnaud maïsettiSur les routes, par des nuits d’hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une voix étreignait mon cœur gelé : "Faiblesse ou force : te voilà, c’est la force. Tu ne sais ni où tu vas ni pourquoi tu vas, entre partout, réponds à tout. On ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre." Au matin j’avais le regard si perdu et la contenance si morte, que ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu.
Vingt-et-un décembre ce soir perdu, ce jour rétracté sur lui-même : moins de neuf heures de jour et la nuit (...) -
Rimbaud, une vie | Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
21 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre V.
Apprendre à lire, à cracher. -
Rimbaud | Les vies posthumes
11 novembre 2011, par arnaud maïsetti120 ans après la mort de Rimbaud : aucun héritage
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Rues Verlaine
3 mars 2011, par arnaud maïsetti50 photographies — Quartier des Batignolles dans les pas de Verlaine
Hiver 11 -
le sabbat dans une rouge clairière
6 mars 2012, par arnaud maïsettiallonger le corps dans la flaque, jusqu’au réveil ou jusqu’au sommeil (est-ce différent : ce que je viens rejoindre est mon propre rêve où que j’arrive) ; inventer des voyelles aux couleurs, voire leur inventer des mots entiers, et des livres entiers pourvu que je puisse les porter sur mes épaules jusqu’à cet endroit de l’être où ils seront à l’abri, je ne sais pas
et je danse encore,
et dans le rouge, plonger mes mains pour les blesser encore, peut-être de n’être pas de cendre je suis, tailler aux (...) -
Rimbaud, une vie | Prologue. L’inavouable désir
4 août 2016, par arnaud maïsettiPrologue. L’inavouable désir
Et l’impossible tâche