pas encore
Accueil > Mots-clés > _Auteurs > _Bob Dylan
_Bob Dylan
Articles
-
Bob Dylan | Not Dark Yet
10 janvier 2014, par arnaud maïsetti -
Autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours
-
Bob Dylan | 2016 Nobel Lecture in Literature
6 juin 2017, par arnaud maïsetti"for having created new poetic expressions within the great American song tradition".
-
Bob Dylan (& co) | « Boots of Spanish leather »
13 mai 2017, par arnaud maïsettipourquoi
-
confluences
16 septembre 2010, par arnaud maïsettiRiver Theme (Bob Dylan, ’Patt Garrett & Billy The Kid’, 1973) Et en même temps que ce sentiment de véracité désespérante où il te semble que tu vas mourir à nouveau, que tu vas mourir pour la seconde fois (Tu te le dis, tu le prononces que tu vas mourir. Tu vas mourir : Je vais mourir pour la seconde fois.), voici que l’on ne sait quelle humidité d’une eau de fer ou de pierre ou de vent te rafraîchit incroyablement et te soulage la pensée, et toi-même tu coules, tu te fais en coulant (…)
-
Bob Dylan | Discours du Nobel
2 avril 2017, par arnaud maïsettiimprononçable
-
ciels de traine, formes du monde
27 avril 2017, par arnaud maïsetti27 avril 2017
-
Bob Dylan | Visions of Johanna
13 octobre 2016, par arnaud maïsettitraduction et questions sur des visions échouées
-
d’Auckland à Nîmes, et retour
29 mars 2018, par arnaud maïsettiTous les matins on met les montres à l’heure Le train avance et le soleil retarde Rien n’y fait, j’entends les cloches sonores
Cendrars, La Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France Bob Dylan, On the Road Again
Il pleut lentement et le jour se lève, un peu, sur Nîmes. Il paraît que c’est Nîmes, ce pourrait être Auckland ; ce n’est pas Auckland : la preuve, c’est Nîmes, et il pleut.
Depuis un mois, de Marseille à Lyon, et de Lyon à Paris, de Paris à Auckland, via (…) -
la prise de la ville
4 mai 2018, par arnaud maïsettiLa pensée poétique [...] est l’ennemie de la patine et elle est perpétuellement en garde contre tout ce qui peut brûler de l’appréhender : c’est en cela qu’elle se distingue, par essence, de la pensée ordinaire. Pour rester ce qu’elle doit être, conductrice d’électricité mentale, il faut avant tout qu’elle se charge en milieu isolé. André Breton, Arcane 17, 1945 Bob Dylan, Visions Of Johanna (Belfast 6 May 66)
Dans les cafés et dans les bars, dans les rues et partout je vais toujours à la (…) -
la tentation de l’abandon
21 août 2018, par arnaud maïsetti21 août 2018
-
Bob Dylan | Comme le vent ou la pluie
13 août 2009, par arnaud maïsettiRock Me Mama | Bob Dylan
-
puisque le désespoir ne tient pas de journal
12 août 2018, par arnaud maïsettiToutes les couleurs disparaissent dans la nuit, et le désespoir ne tient pas de journal.
Annie Le Brun, Les châteaux de la subversion (1982) Bob Dylan, The Night We Called it a Day
La nuit tombait avant-hier sur toutes les choses mortes, et nous en faisions partie.
C’était peut-être l’époque qui voulait cela : que sur toutes choses elle allait proclamant la fin, moins pour qu’on les regrette que pour les voir, enfin : et on les voyait, enfin, ces choses mourantes qui se jetaient sur (…) -
Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence
-
Joel & Ethan Cohen | Inside Llewyn Davis
12 novembre 2013, par arnaud maïsettiRoutes & déroutes de la folk
-
vision du corps de Baudouin IV le Lépreux
1er novembre 2019, par arnaud maïsetti1er novembre
-
Bob Dylan | Political world (même en Chine)
11 avril 2011, par arnaud maïsettiSur un concert de Dylan en Chine
-
« Napoléon en haillons (et les mots qu’il disait) »
29 décembre 2011, par arnaud maïsetti[…] Princess on the steeple and all the pretty people They’re drinkin’, thinkin’ that they got it made Exchanging all kinds of precious gifts and things But you’d better lift your diamond ring, you’d better pawn it babe You used to be so amused At Napoleon in rags and the language that he used Go to him now, he calls you, you can’t refuse When you got nothing, you got nothing to lose You’re invisible now, you got no secrets to conceal. […] (no direction home)
-
Autoportrait à la brisure
3 mai 2013, par arnaud maïsettifêlure
-
à la nuit tombée (et au temps qu’elle met)
21 janvier 2014, par arnaud maïsettiJe ne le savais pas. La nuit ici tombait pendant des heures, lentement. Amsterdam est une ville comme un cercle. Quand j’approche du centre, c’est vide. Mais si je m’éloigne, d’autres canaux emportent d’autres souvenirs, et d’autres lenteurs. La nuit ici tombe si tôt. À midi, c’est déjà bientôt fini. Peut-être dès le matin, je ne sais pas, je ne sais vraiment pas, je ne sais rien.
Dans cette nuit qui ne cesse pas de tomber, je me tiens.
C’est sur cette place, que j’ai trouvé cette statue (…)
