Onzième, par le Théâtre du Radeau, mise en scène par François Tanguy [Le Mans, La Fonderie] – novembre 2011
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Articles
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Le Radeau | Présences communes
3 janvier 2012, par arnaud maïsetti -
Patrice Chéreau & Thierry Thieû-Niang | La nuit dans le Louvre désert
30 novembre 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts de B.-M. Koltès, par P. Chéreau & T. Thieû-Niang [Paris, Musée du Louvre] - Novembre 2010
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Bob Dylan | Visions of Johanna
13 octobre 2016, par arnaud maïsettitraduction et questions sur des visions échouées
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Frank A. Rinehart, regards indigènes
5 octobre 2013, par arnaud maïsetti80 portraits des Premières Nations
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Théâtre pauvre et confrontation du mythe
7 juin 2010, par arnaud maïsettiCommunication au colloque « Mythe(s) : construction, traduction, interprétation », à l’université Paris VII – Juin 2010
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Patrice Chéreau | Rêves, vents, et autres fantômes
19 juin 2011, par arnaud maïsettiRêve d’automne & I’m the Wind de Jon Fosse, mis en scène par Patrice Chéreau [Paris, Théâtre de la Ville] - juin 2011
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Aut viam inveniam aut faciam (un trajet)
14 février 2014, par arnaud maïsettiPour me souvenir de ce jour, je n’ai rien d’autre : quelques images prises à la volée du ciel, en passant vite entre deux portes, deux heures, deux moments où la ville s’ouvre et où je m’engouffre, je crois que c’est cela : une brèche.
Je suis la brèche elle-même, et le mouvement en elle, et la force d’en retenir quelques fragrances, quelques épars dans l’étoilement des choses, la lapidation des regrets, et sur tout cela pèse comme le sentiment de ce qui passe, et ne reviendra plus, et pour cette raison (...) -
Koltès | « On se parle ou on se tue » (entretien)
2 janvier 2011, par arnaud maïsettientretien (inédit) pour Le Monde, janvier 1987
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mille passus meare (désormais)
25 février 2014, par arnaud maïsettiMarcher, ce n’est que tomber, un pas après l’autre, une jambe après l’autre lancer pour interrompre le déséquilibre. Aller, ce n’est rien d’autre que retarder la chute qui n’aura pas lieu. Devant la fontaine s’arrêter et les deux pieds posés sur le sol, attendre que la terre tourne encore un peu, à sa vitesse qui nous emporte sans qu’on s’en rende compte, amoureusement, et sentir contre soi non pas l’instant qui s’échappe, mais celui qui va venir, c’est certain, qui est déjà là, bientôt.
La plénitude ne (...) -
à lire | Winckler offert, sur publie.net
6 janvier 2011, par arnaud maïsettioffre publie.net pour le 10 000ème titre téléchargé — lire le contemporain
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Valparaiso (& Dominique A) | Marais Hautes
16 juin 2017, par arnaud maïsettiMarées hautes interprété par Valparaiso et Dominique A, extrait de l’album Broken Homeland, à paraître le 22 septembre 2017 Extrait disponible sur toutes les plateformes Premier EP "Winter Sessions" disponible sur - Deezer ou Spotify
Et se perdre dansle site obscur et lumineux de Valparaiso ou sur leur page Facebook
Valparaiso. Le mot est une légende, une image : pour moi, souvenir de ces quelques jours d’adolescence, passage au Chili, un jour à Valparaiso – la couleur des maisons, la hauteur (...) -
Portraits défigurés de l’auteur sur la toile | Désœuvrer la ligne
25 mai 2016, par arnaud maïsettiaventures de lignes
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Blackface au théâtre de la Sorbonne | Tribune des 343 racisé•e•s
28 avril 2019, par arnaud maïsettil’art de l’oppression
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Des nouvelles de Baudelaire | en passant
9 avril 2021, par arnaud maïsettisilhouette furtive depuis la mort
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Saint-Just, une performance | retour de lecture
29 mars 2014, par arnaud maïsettisauter dans le vide
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James Joyce | Bloom’sday
16 juin 2021, par arnaud maïsetti« eh bien qui a été la première personne dans l’univers »
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entrées maritimes
6 octobre 2010, par arnaud maïsettiHaunted Ocean (Max Richter)
Un po’ di pace basta a rivelare dentro il cuore l’angoscia, limpida, come il fondo del mare in un giorno di sole. Ne riconosci, senza provarlo, il male lì, nel tuo letto, petto, cosce e piedi abbandonati, quale un crocifisso - o quale Noè ubriaco, che sogna,
Il suffit d’un instant de paix pour révéler, au fond du cœur, l’angoisse limpide, comme le fond de la mer
par un jour de soleil. Tu en reconnais, sans la ressentir, la souffrance, là, dans ton lit, poitrines, (...) -
corps noir
23 avril 2010, par arnaud maïsettiL’usure du temps va plus vite que le temps — on le voit dans les corps passés, on le voit aux visages, aux mains trop lourdes, aux jambes trop cassantes sous le poids des souvenirs qui se défont. On le voit aussi à l’importance qu’on cesse d’apporter aux mouvements du monde qui ne concernent plus et devant lesquels un haussement d’épaules suffit à dire : j’ai déjà vu ça, alors peu importe.
Aurais-je le temps du visage défoncé, du corps latent, traces plutôt que portes aux cernes condamnées ? Ai-je même (...) -
Les villes qui n’existent pas | Paris, rue Beauregard
28 décembre 2018, par arnaud maïsettisous la ville, la ville
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De la lecture comme flux
12 décembre 2009, par arnaud maïsettice qui passe dans la lecture, les énergies et les circulations que cela opère