Apres Moi (Regina Spektor, ‘Begin To Hope Rock’)
Be afraid of the lame / They’ll inherit your legs / Be afraid of the old / They’ll inherit your soul
XLII And they are gone : ay, ages long ago These lovers fled away into the storm. That night the Baron dreamt of many a woe, And all his warrior-guests, with shade and form Of witch, and demon, and large coffin-worm, Were long be-nightmar’d. Angela the old Died palsy-twitch’d, with meagre face deform ; The Beadsman, after thousand aves told, (...)
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_corps
Articles
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quel passeur – pour quelles rives ?
14 août 2011, par arnaud maïsetti -
Rimbaud | Corps noir
25 août 2013, par arnaud maïsettiJe suis une bête, un nègre
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Deleuze | l’autre manière de lire
21 novembre 2007Comment ça fonctionne pour vous ?
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Portraits défigurés de l’auteur sur la toile | Désœuvrer la ligne
25 mai 2016, par arnaud maïsettiaventures de lignes
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Valparaiso (& Dominique A) | Marais Hautes
16 juin 2017, par arnaud maïsettiLe mot est une légende, une image
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Patrice Chéreau & Thierry Thieû-Niang | La nuit dans le Louvre désert
30 novembre 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts de B.-M. Koltès, par P. Chéreau & T. Thieû-Niang [Paris, Musée du Louvre] - Novembre 2010
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la faculté d’admirer (tremblé des perspectives)
28 février 2013, par arnaud maïsettiFanfare atroce où je ne trébuche point ! chevalet féerique ! Hourra pour l’œuvre inouïe et pour le corps merveilleux, pour la première fois ! Cela commença sous les rires des enfants, cela finira par eux.
En perspective perdue, on voit la ville. Le chemin y conduit, il est vide. Tout au fond, dans la confusion du ciel ; ce n’est pas le ciel, seulement ce qui le recouvre, ce qui partout porte trace de ce qui n’arrive pas, pas encore, pas assez. Tout au fond, c’est une manière d’imminence qui brûle et (...) -
Bob Dylan | ain’t talkin’ (concert)
9 avril 2009, par arnaud maïsettiPoser la voix | Dylan en concert à Paris, avril 09
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corps délié
20 février 2019, par arnaud maïsettiIl existe en nous plusieurs mémoires : le corps, l’esprit, ont chacun la leur, et la nostalgie est une maladie de la mémoire physique.
Balzac
C’est trembler : et dans le tremblement, ce qui reste immobile bouge encore, tremble sur place. C’est trembler, ce bougé des choses par quoi on est traversé. La lune est une image – mais de quoi ? Pas d’elle, évidemment. De mon regard sur elle. Toi tu le sais.
Du corps tremblé, ses mouvements nés de l’intérieur du ventre – vers le corps déplié, vers le corps (...) -
de peupler les dehors
3 janvier 2011, par arnaud maïsettiFalling down (Scarlett Johansson, ’Anywhere I Lay My Head’, 2008) Le continent de l’insatiable, tu y es. De cela au moins on ne te privera pas, même indigent. H. Michaux (Poteaux d’angle, 1981)
Murs éclairés, c’est qu’il y a quelqu’un, là, au-dedans des murs pour les habiter et pour dire "chez moi", ici c’est chez eux ; alors tout le reste, au-dehors, ce qui n’est pas chez eux pour qu’on puisse à notre tour l’habiter et dire : c’est donc ici aller, tout autour, et croiser les types comme moi, et les (...) -
à lire | Winckler offert, sur publie.net
6 janvier 2011, par arnaud maïsettioffre publie.net pour le 10 000ème titre téléchargé — lire le contemporain
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entrées maritimes
6 octobre 2010, par arnaud maïsettiHaunted Ocean (Max Richter)
Un po’ di pace basta a rivelare dentro il cuore l’angoscia, limpida, come il fondo del mare in un giorno di sole. Ne riconosci, senza provarlo, il male lì, nel tuo letto, petto, cosce e piedi abbandonati, quale un crocifisso - o quale Noè ubriaco, che sogna,
Il suffit d’un instant de paix pour révéler, au fond du cœur, l’angoisse limpide, comme le fond de la mer
par un jour de soleil. Tu en reconnais, sans la ressentir, la souffrance, là, dans ton lit, poitrines, (...) -
La Chute des corps #3
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiChacun sa seconde à soi en propre attribuée à soi rien qu’à soi / Tous pareils dans cette solitude unique
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Koltès | « On se parle ou on se tue » (entretien)
2 janvier 2011, par arnaud maïsettientretien (inédit) pour Le Monde, janvier 1987
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Paris 5e | fuir les murs
6 août 2014, par arnaud maïsettirue Tournefort
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corps dévisagés
13 septembre 2010, par arnaud maïsetti14 photographies de statues (Collégiale Saint-Martin-de-Candes)
sept. 10 -
Arles, corps et âmes en secret
12 juillet 2016, par arnaud maïsetti[/Je n’ai pas pu percer le mur de mon miroir Il m’a fallu apprendre mot par mot la vie Comme on oublie
Paul Éluard /]
Ici on est cerné par l’image : et là aussi. Arles. On est suivi comme son ombre par des ombres de visages immobiles et lointains, ou proches, gros plan, grand angle, panoramiques – et d’une rue à l’autre, dans la ville brûlante, sur les murs sont les images qui tiennent les murs levés et la ville haute et droite.
Dans Arles, les arènes font le tour de la ville : et les affiches (...) -
Publie.net | ThTr — une collection théâtrale
24 mars 2015, par arnaud maïsettile projet
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plongée (contre-plongée)
12 mai 2010, par arnaud maïsettiLe ciel en contre-plongé est toujours plus profond, et moins net, épars en gouttes de lumière mal diluées par le décor de la ville : et l’ombre sous moi se déverse pour combler le manque entre mes pieds sur le sol et tout le sol étendu devant.
PLONGÉE.1 (plon-jée) s. f. Augmentation de profondeur dans la mer. D’après quelques indications fournies par les sondages de M. Smyth, la même plongée abrupte s’observerait en dehors du détroit de Gibraltar, BABINET, Revue des Deux-Mondes, 1er déc. 1854, t. VIII, (...) -
Aurélia Guillet | Par dessus l’abîme qu’est devenue notre histoire
6 février 2012, par arnaud maïsettiDéjà Là d’Arnaud Michniak, mis en scène par Aurélia Guillet [Paris, Théâtre de La Colline] - février 2012