les mots qui manquent
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _d’une langue l’autre
_d’une langue l’autre
Articles
-
Autre savoir | Des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
William Blake | « Joie du nouveau-né »
31 janvier 2020, par arnaud maïsettita marque
-
William Blake | « L’écho de la verdure »
28 juin 2013, par arnaud maïsettiLe soleil se lève,
-
William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
-
enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
William Blake | « Un Rêve »
24 avril 2020, par arnaud maïsettiune fourmi perdue
-
James Joyce | Bloom’sday
16 juin 2021, par arnaud maïsetti« Eh bien qui a été la première personne dans l’univers »
-
William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
-
William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience, le projet
9 juin 2013, par arnaud maïsettipourquoi, et pour quoi
-
Koltès | Raconter un bout de notre monde
12 mars 2012, par arnaud maïsettiNotes pour une intervention à Monthey (Suisse) autour d’un workshop sur Dans la solitude des champs de coton mis en scène par Armand Deladoey – mars 2012
-
la poésie est-elle encore impossible ?
21 novembre 2012, par arnaud maïsettic’est au dix-huitième étage de la BNF — le Belverdère tout près du ciel, le #midi, juste avant l’enfoncée en sous-sol pour la lecture de l’après-midi — l’enfoncement dans moi-même aussi pour la parole brève mais violente, serrée contre moi comme un secret qu’on délivre (et devant, à bout portant, des visages plongés dans le noir, oh quelle autre image plus juste que cette plongée, et le noir, l’invisible des corps — même si pourtant ; il y avait les visages amis dans la lumière derrière qui soutenait tout ; et (...)
-
William Blake | « Le ramoneur » (2)
8 juin 2021, par arnaud maïsettiIls font un ciel de notre misère
-
Trente fois Kafka
9 juillet 2009, par arnaud maïsettiWenn man doch ein Indianer wäre...
-
Autre Savoir | Dater la naissance du langage
28 janvier 2014, par arnaud maïsettile désir d’être ailleurs
-
Contre-Dictionnaire | cordée
20 octobre 2017, par arnaud maïsettiderniers de cordée
-
Libres de traduire Hemingway | L’Adieu aux armes
18 février 2012, par arnaud maïsettiSoutien à publie.net
-
André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
-
Images classées | agenda du passé
20 novembre 2010, par arnaud maïsettinotes sur l’usage de mes photos (numériques) et ses classements
-
l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiDogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de sang : tout (...)