les mots qui manquent
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_d’une langue l’autre
Articles
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Autre savoir | Des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
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Libres de traduire Hemingway | L’Adieu aux armes
18 février 2012, par arnaud maïsettiSoutien à publie.net
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Contre-Dictionnaire | cordée
20 octobre 2017, par arnaud maïsettiderniers de cordée
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William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience, le projet
9 juin 2013, par arnaud maïsettipourquoi, et pour quoi
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Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
James Joyce | Bloom’sday
16 juin 2021, par arnaud maïsetti« eh bien qui a été la première personne dans l’univers »
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William Blake | « Joie du nouveau-né »
31 janvier 2020, par arnaud maïsettita marque
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Autre Savoir | Dater la naissance du langage
28 janvier 2014, par arnaud maïsettile désir d’être ailleurs
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chute des corps en mouvement
15 novembre 2011, par arnaud maïsettitrain Paris Bordeaux, le 14 novembre, à hauteur d’Angoulême
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William Blake | « L’écho de la verdure »
28 juin 2013, par arnaud maïsettiLe soleil se lève,
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Court et slovaque
_Nicolas Ancion
1er avril 2011, par arnaud maïsettiHier on était samedi Et tout l’après-midi Dans ma chambre chauffée J’ai gratté le papier et mon nez En alternance Des sécrétions de l’un il ne reste presque rien En ce dimanche de pluie Deux trois machins séchés sous une chaise Et de l’autre pas plus Six sept feuillets bleuis dans un carnet Une lettre affligeante Que je ne posterai que demain De Liège Si j’y pense C’est déjà un exploit un samedi pareil Il y en a eu tant d’autres dont il ne reste rien Même sous les chaises Des samedis de sieste Des samedis (...)
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William Blake | « Un Rêve »
24 avril 2020, par arnaud maïsettiune fourmi perdue
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Contre-dictionnaire | cluster critique de taille réduite
11 novembre 2017, par arnaud maïsetticluster toi-même
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enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
Trente fois Kafka
9 juillet 2009, par arnaud maïsettiWenn man doch ein Indianer wäre...
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William Blake | « Le ramoneur » (2)
8 juin 2021, par arnaud maïsettiIls font un ciel de notre misère
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la poésie est-elle encore impossible ?
21 novembre 2012, par arnaud maïsettic’est au dix-huitième étage de la BNF — le Belverdère tout près du ciel, le #midi, juste avant l’enfoncée en sous-sol pour la lecture de l’après-midi — l’enfoncement dans moi-même aussi pour la parole brève mais violente, serrée contre moi comme un secret qu’on délivre (et devant, à bout portant, des visages plongés dans le noir, oh quelle autre image plus juste que cette plongée, et le noir, l’invisible des corps — même si pourtant ; il y avait les visages amis dans la lumière derrière qui soutenait tout ; et (...)
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Google Ngram | l’activité sismique des mots
3 janvier 2014, par arnaud maïsettimesurer la chair du temps
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Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb
4 mars 2011, par arnaud maïsettiJe traverse une ville sans nom .Je m’égare dans une rue sans visage .Une voix éclate. Je fuis. Je trouve un passage. Je reste là, un moment. « Sur l’écran de l’ordinateur, la surface verticale possède la rectitude lisse du trottoir de ma ville ». Je repars. Je marche vite le rouge sangle mes attentes. Dans le jour, dans le bruissement de la ville je découvre vos déplacements. Marcher traverser rentrer sortir regarder attraper des visages, coller des mots fantômes sur les murs sur les entrailles de la (...)