les mots qui manquent
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_d’une langue l’autre
Articles
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Autre savoir | Des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
William Blake | « L’écho de la verdure »
28 juin 2013, par arnaud maïsettiLe soleil se lève,
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Ossip Mandelstam | « Acquérir une langue »
17 février 2014, par arnaud maïsettile bégaiement de la naissance
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Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb
4 mars 2011, par arnaud maïsettiJe traverse une ville sans nom .Je m’égare dans une rue sans visage .Une voix éclate. Je fuis. Je trouve un passage. Je reste là, un moment. « Sur l’écran de l’ordinateur, la surface verticale possède la rectitude lisse du trottoir de ma ville ». Je repars. Je marche vite le rouge sangle mes attentes. Dans le jour, dans le bruissement de la ville je découvre vos déplacements. Marcher traverser rentrer sortir regarder attraper des visages, coller des mots fantômes sur les murs sur les (…)
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William Blake | « Joie du nouveau-né »
31 janvier 2020, par arnaud maïsettita marque
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William Blake | « Jeudi saint (2) »
9 mai 2020, par arnaud maïsettil’hiver éternel
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Trente fois Kafka
9 juillet 2009, par arnaud maïsettiWenn man doch ein Indianer wäre...
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Autre Savoir | Dater la naissance du langage
28 janvier 2014, par arnaud maïsettile désir d’être ailleurs
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Koltès | « amour en dialectes inconnus de tous »
27 février 2012, par arnaud maïsettiNouvelle III, « personne ne se parle dans une langue définie »
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Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
Koltès | Raconter un bout de notre monde
12 mars 2012, par arnaud maïsettiNotes pour une intervention à Monthey (Suisse) autour d’un workshop sur Dans la solitude des champs de coton mis en scène par Armand Deladoey – mars 2012
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la poésie est-elle encore impossible ?
21 novembre 2012, par arnaud maïsettic’est au dix-huitième étage de la BNF — le Belverdère tout près du ciel, le #midi, juste avant l’enfoncée en sous-sol pour la lecture de l’après-midi — l’enfoncement dans moi-même aussi pour la parole brève mais violente, serrée contre moi comme un secret qu’on délivre (et devant, à bout portant, des visages plongés dans le noir, oh quelle autre image plus juste que cette plongée, et le noir, l’invisible des corps — même si pourtant ; il y avait les visages amis dans la lumière derrière qui (…)
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Court et slovaque
_Nicolas Ancion
1er avril 2011, par arnaud maïsettiHier on était samedi Et tout l’après-midi Dans ma chambre chauffée J’ai gratté le papier et mon nez En alternance Des sécrétions de l’un il ne reste presque rien En ce dimanche de pluie Deux trois machins séchés sous une chaise Et de l’autre pas plus Six sept feuillets bleuis dans un carnet Une lettre affligeante Que je ne posterai que demain De Liège Si j’y pense C’est déjà un exploit un samedi pareil Il y en a eu tant d’autres dont il ne reste rien Même sous les chaises Des samedis de (…)
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William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
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VIDÉO | chute des corps en mouvement
15 novembre 2011, par arnaud maïsettitrain Paris Bordeaux, le 14 novembre, à hauteur d’Angoulême
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André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
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Contre-dictionnaire | cluster critique de taille réduite
11 novembre 2017, par arnaud maïsetticluster toi-même
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Images classées | agenda du passé
20 novembre 2010, par arnaud maïsettinotes sur l’usage de mes photos (numériques) et ses classements
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l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiDogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de (…) -
enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais (…)