le désir d’être ailleurs
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_d’une langue l’autre
Articles
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Autre Savoir | Dater la naissance du langage
28 janvier 2014, par arnaud maïsetti -
Koltès | « amour en dialectes inconnus de tous »
27 février 2012, par arnaud maïsettiNouvelle III, « personne ne se parle dans une langue définie »
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William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience, le projet
9 juin 2013, par arnaud maïsettipourquoi, et pour quoi
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Herrou & Paringaux | Bruxelles Plic Ploc
19 février 2010, par arnaud maïsettijournal, textes et photographies en regard de la ville et de ses jours
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VIDÉO | chute des corps en mouvement
15 novembre 2011, par arnaud maïsettitrain Paris Bordeaux, le 14 novembre, à hauteur d’Angoulême
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Ossip Mandelstam | « Acquérir une langue »
17 février 2014, par arnaud maïsettile bégaiement de la naissance
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l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiDogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de (…) -
Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
la poésie est-elle encore impossible ?
21 novembre 2012, par arnaud maïsettic’est au dix-huitième étage de la BNF — le Belverdère tout près du ciel, le #midi, juste avant l’enfoncée en sous-sol pour la lecture de l’après-midi — l’enfoncement dans moi-même aussi pour la parole brève mais violente, serrée contre moi comme un secret qu’on délivre (et devant, à bout portant, des visages plongés dans le noir, oh quelle autre image plus juste que cette plongée, et le noir, l’invisible des corps — même si pourtant ; il y avait les visages amis dans la lumière derrière qui (…)
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André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
