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Articles
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Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
David Bowie | The Port of Amsterdam
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiThere’s a sailor who sings, Of the dreams that he brings
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à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple (…)
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Zola, les détentes fatales d’une vie réglée
21 avril 2010, par arnaud maïsettiSurface lisible et profondeur invisible : la Conquête de Plassans
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quel passeur – pour quelles rives ?
14 août 2011, par arnaud maïsettiApres Moi (Regina Spektor, ‘Begin To Hope Rock’)
Be afraid of the lame / They’ll inherit your legs / Be afraid of the old / They’ll inherit your soul
XLII And they are gone : ay, ages long ago These lovers fled away into the storm. That night the Baron dreamt of many a woe, And all his warrior-guests, with shade and form Of witch, and demon, and large coffin-worm, Were long be-nightmar’d. Angela the old Died palsy-twitch’d, with meagre face deform ; The Beadsman, after thousand aves (…) -
{Les Tombeaux…} | Prologue
18 novembre 2011, par arnaud maïsettile lieu ; le temps ; la lumière
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Autre Savoir | Le soleil s’est renversé
6 janvier 2014, par arnaud maïsettides champs magnétiques
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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le soleil ni la mort
15 septembre 2010, par arnaud maïsettiSunlight (Max Richter ’Songs From Before’, 2006) Les morts remontent, puissants d’os et d’écorce, de cuir et de sommeil, parleurs muets, mangeurs d’argile ; et le fruit tombe, et boucle par sa chute le cycle interminable. L. Edouard-Martin, Avènement des ponts
Devant les morts, on n’a pas les choix — on ne parle pas. Dans la chambre d’un mort, on se tait : non pas qu’on pourrait le réveiller, mais comme devant un muet on se met à agiter les bras, on adopte l’attitude de l’autre.
Alors, (…) -
Rosmonda d’Inghilterra
2 juin 2014, par arnaud maïsettiJohn William Waterhouse | Fair Rosamund
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Ronald Klapka | « en pays profonds »
2 avril 2013, par arnaud maïsettihommage à un poète de la pensée
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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Koltès | resting place
15 avril 2010, par arnaud maïsettivingt et un ans après
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aujourd’hui neuf avril (naître par le monde)
9 avril 2011, par arnaud maïsettiDeath to birth (Pagoda, ’Last Days (BO)’, 2005)
Quelques jours après les funérailles de ma mère, mon aïeul me prit à part et déclara :
-- Alexis, mon garçon, tu n’es pas une médaille que je puisse porter à mon cou, il est inadmissible que tu restes ainsi à vivre à mes crochets ; va-t’en plutôt par le monde…
Et je m’en allai par le monde.
Maxime Gorki, Enfance
De quoi naît-on — et combien de fois ? Autant de morts à chaque fois qu’on ne cessera pas de porter pour aller, par le monde, (…) -
adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
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anticipation #47 | langue morte
4 février 2011, par arnaud maïsetti« Nous marchions dans la langue hostile »
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entrailles des villes
23 juin 2010, par arnaud maïsettiAnywhere On This Road (Lhasa, ’The Living Road’, 2003)
Though your body is bending / Under the load There is nowhere to stop / Anywhere on this road On construit une route tout près de l’endroit où je vis. Ce n’est pas vraiment une route, et on ne la construit pas vraiment : entre deux artères de la ville, on aménage un accès. Opération banale, personne dans la ville ne jette un œil sur le cœur ouvert, les fils qui ressortent du sol, les profondeurs à nu.
C’est obscène, la ville qui (…) -
La Ville écrite | auteurs et anonymes
13 octobre 2011, par arnaud maïsettiOù classer des textes qui sont hors de tout classement –
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et les pavés sont tous sanglants (Clément Méric)
7 juin 2013, par arnaud maïsettimort, au nom de quel sang tombé
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Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsettiau moins