Le Radeau de la Méduse, de Georg Kaizer, mis en scène par Thomas Jolly [Avignon In, Lycée Saint-Joseph] – juillet 2016
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Articles
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Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
21 juillet 2016, par arnaud maïsetti -
et les pavés sont tous sanglants (Clément Méric)
7 juin 2013, par arnaud maïsettimort, au nom de quel sang tombé
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le rêve comme un visage ; un livre
14 avril 2011, par arnaud maïsettiWhere Dreams Go To Die (John Grant, ’Queen Of Denmark’, 2010)
Puisant je ne sais quoi ; au fond de ses yeux jetant le panier tressé de mon désir, je n’ai pas obtenu le jappement de l’eau pure et profonde.
Main sur main, pesant la corde écailleuse, me déchirant les paumes, je n’ai levé pas même une goutte de l’eau pure et profonde :
Ou que le panier fut lâchement tressé, ou la corde brève ; ou s’il n’y avait rien au fond.
Victor Ségalen, Stèles, ’Visage dans les yeux’
ces images qui (…) -
l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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de peur
13 octobre 2011, par arnaud maïsettise pencher de peur d’être comme je suis seulement, et pas autre, et d’être à la fois précisément comme les autres parce que mon désir les rejoint, voudrait les rejoindre, voudrait rejoindre en eux le désir d’être autre, c’est cela, de peur d’être ici, quand c’est ailleurs, bien sûr, que le désir se déporte ; de toute cette peur-là constitué que j’amasse comme dans le creux des mains un peu de sable qui se renversera sous les doigts le temps d’arriver jusqu’à la mer pour le répandre, de toute (…)
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orgueil du silence
25 août 2011, par arnaud maïsettiMary of Silence (Mazzy Star, ’So Tonight That I Might See’, 1993)
Help me walk with you, / To the sky that we see / Shuddering in myself, in-my-self
Il n’y a pas de solitude orgueilleuse parce qu’il n’y a pas d’orgueil solitaire. L’orgueil ne peut vivre que s’il gît sous la présence (ou l’absence, qui est encore une présence tant que quelqu’un est là pour la constater, la nommer) de regards, même imaginaires ; ce sont les visages qui rendent orgueilleux et qui soulèvent le pauvre orgueil (…) -
Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
31 janvier 2011, par arnaud maïsettiI Swam out to Sea - Return (Max Richter, ’Waltz With Bashir (BO), 2008) Alors les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons, la perte, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas.
De ce qui vient et revient à même hauteur, du jour, cette lumière qui passe la fenêtre pour me montrer mes mains tapant à la surface des touches ce qui saurait dire la (…) -
A. Chilton | Survivre à la fin
20 mars 2010, par arnaud maïsettiHolocaust | Big Star
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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Chanson de la consolation (mille ans plus tard)
30 avril 2016, par arnaud maïsettimélodies inouïes
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La Ville écrite | l a r é v o l u t i o n v a i n c r a
16 octobre 2016, par arnaud maïsettil’histoire ne s’arrête pas
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De Tree of Life à Melancholia : origines et fins
18 août 2011, par arnaud maïsettiTree of Life, de Terrence Malick, & Melancholia, de Lars van Trier
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Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
David Bowie | The Port of Amsterdam
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiThere’s a sailor who sings, Of the dreams that he brings
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Patrice Chéreau | « parce qu’un homme meurt d’abord, puis cherche sa mort et la rencontre finalement »
7 octobre 2013, par arnaud maïsettidisparition de Patrice Chéreau
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Georges Bataille, entretien 1951 | L’intensité #4
27 avril 2015, par arnaud maïsettile pire des gribouilles
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le soleil ni la mort
15 septembre 2010, par arnaud maïsettiSunlight (Max Richter ’Songs From Before’, 2006) Les morts remontent, puissants d’os et d’écorce, de cuir et de sommeil, parleurs muets, mangeurs d’argile ; et le fruit tombe, et boucle par sa chute le cycle interminable. L. Edouard-Martin, Avènement des ponts
Devant les morts, on n’a pas les choix — on ne parle pas. Dans la chambre d’un mort, on se tait : non pas qu’on pourrait le réveiller, mais comme devant un muet on se met à agiter les bras, on adopte l’attitude de l’autre.
Alors, (…) -
Alexandre Desplat | Light & Darkness
24 avril 2013, par arnaud maïsettioh
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tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps
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Marie-Laure Hurault & Frédéric Khodja | Au canal
8 septembre 2014, par arnaud maïsettiinverser les paysages