Quiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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_Franz Kafka
Articles
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Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
mais le chemin mène aussi à ce lointain
12 avril 2020, par arnaud maïsetti12 avril 2020
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2010 | Séance 5_Récits de rêves
2 mars 2010, par arnaud maïsettirécits et lignes échappées : le rêve comme possible
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(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsettide l’opacité de mes textes
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se regarder comme quelque chose d’étranger
20 avril 2020, par arnaud maïsetti20 avril 2020
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2010 | Séance 2_Formes brèves
4 février 2010, par arnaud maïsettirécits brefs et précipité de la fiction - esthétique concertée de la forme courte
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Avignon #fin | s’armer de courage
24 juillet 2016, par arnaud maïsettiet celui qui a une fois flairé le sang au théâtre ne peut plus exister sans théâtre
Thomas Bernhard Place des héros Après trois semaines dans la fournaise d’Avignon, un dernier regard sur la ville : est-ce que je peux dire seulement que quelque chose a commencé ?
Des spectacles par dizaines et des foules qui entrent au hasard – après les fouilles (le mot est presque le même) par centaines pour s’assurer que –, des foules hurlantes et joyeuses venues ici pour s’applaudir elles-mêmes et se féliciter (...) -
Kafka | La Nuit (variation autours de)
29 octobre 2010, par arnaud maïsettinuit nf (nui ; le t se lie : travailler nui-t et jour, une nui-t obscure ; au pluriel, l’s se lie : des nui-z obscures) Images prises au pied du Panthéon — cet automne, après la pluie. Et lire ce soir, prenant une page au hasard des Récits posthumes et fragments de Kafka réunis, publiés et traduits par Catherine Billmann pour Actes Sud/Babel, ce court récit appelé ’La Nuit’.
Texte entrelacé ici de la simple définition donnée par Littré : entre, donc, j’y glisse les images de cette nuit précise qui (...) -
le temps qu’on pense la mort vivante
24 mars 2020, par arnaud maïsetti23 mars 2020
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Franz Kafka | « La hache pour la mer gelée en nous »
5 avril 2014, par arnaud maïsettiLettre à Oskar Pollak
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dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti23 avril 2020
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017
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entr’ouvert
11 février 2011, par arnaud maïsettiA Wolf At The Door (Radiohead, ’Hail To The Theif’, 2003) Je dévie. Le bon chemin passe par un fil qui n’est cependant pas tendu en hauteur mais ras du sol. ll semble plus destiné à faire trébucher qu’à être emprunté.
Franz Kafka (Journal, Cahier G., 19 octobre 1917)
Longtemps qu’au proverbe vieilli et de bon sens, celui qui veut qu’une porte soit ouverte ou fermée, j’oppose les aberrations intimes qui le démente : tout ce mouvement des choses autour de moi cette semaine (sans doute la suivante aussi) (...) -
il y était presque
1er mai 2017, par arnaud maïsetti1er mai
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être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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la possibilité de faire un commencement
26 avril 2020, par arnaud maïsetti26 avril 2020
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la campagne battait son plein
4 mai 2017, par arnaud maïsettiUne cage allait à la recherche d’un oiseau.
Kafka, Aphorisme Dominique A, Revenir au monde (« Tout sera comme avant », 2009) Sale époque, vraiment. Des insultes qui tiennent lieu d’échanges, et sur l’écran de ce réel, rien qui fasse horizon, seulement crachats sur eux, sur nous, sur tout ce qui préside à l’organisation des choses. On est au milieu, on est entre les choses et l’organisation, on est peut-être ce qui tient lieu d’horizon, et cela ne suffit pas : ni à nous consoler ni à nous rendre (...) -
l’air et le silence d’avant le monde d’après
3 avril 2020, par arnaud maïsetti3 avril 2020
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Entretien [2] | L’usage d’un site — effractions de la beauté
23 décembre 2012, par arnaud maïsettiEntretien avec Adèle Ponticelli pour Le Monde [2]
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la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti13 avril 2020