À la folie du jour
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_joie
Articles
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André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsetti -
Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti« Yes because he never did a thing »
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La Ville écrite | interdictions (les lois de l’enjambement)
13 novembre 2011, par arnaud maïsettiInterdictions de la ville : énoncées pour le seul plaisir de les contourner,
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William Blake | « La Fleur »
10 juillet 2013, par arnaud maïsettitout près de mon cœur
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Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, l’autre
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du bout du monde
8 février 2016, par arnaud maïsettiCe pourrait être là. on tournerait le dos à la mer qui plonge au nord. On ferait quelques pas vers le sud, la ville devient soudain des chemins de terre qui monte vers la pierre, là où la mer de l’autre côté vient battre – la mer bat de tous les côtés.
Ce serait là, quelque chose de plus loin que la ville et des capitales, et c’est encore dans la ville pourtant où le ciel tombe aussi.
La rue descend, ou monte – s’il fallait rejoindre la mer ou le ciel, il faudrait descendre ou monter. (…) -
Rimbaud | Ici je rêve de
12 février 2012, par arnaud maïsettiSur le mot rêve dans Illuminations
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
2 mai 2015, par arnaud maïsettile diable autour du feu
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la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me (…) -
« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière (…)
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Oracle #4 | Ghazal 125
10 mars 2012, par arnaud maïsettiIl faut, Nathanaël, que tu brûles en toi tous les livres.
A. Gide. Les Nourritures terrestres HÂFEZ DE CHIRAZ | LE DIVÂN
interroger l’oracle – voir texte de présentation du projet.
Ghazal 125 1.
Le nuage du mois d’âzâr s’est levé, le vent du Jour Nouveau a soufflé. Je réclame de l’argent pour vin et ménestrel. Qui me dira : « il est là » ?
Au mois d’hasard correspond celui de la nécessité : je naîtrai (d’un geste, ouvrir les rideaux rouges pour laisser le jour neuf me transpercer (…) -
[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
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Que ma joie demeure | « Il y avait eu du vent »
11 mars 2013, par arnaud maïsettilecture de l’impersonnel
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William Blake | « Printemps »
19 août 2013, par arnaud maïsettides cris d’enfance
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Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12 -
Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
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William Blake | « Chanson pour rire »
2 août 2013, par arnaud maïsetti« Ah, ah, hi »
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être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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comme du passé en action
3 février 2015, par arnaud maïsettiToute la journée en attendant des nouvelles de la neige ; ici, quelques flocons suffisent à désorganiser le monde. C’est rassurant. Que quelques gouttes de glaces grippent la machine ; que l’ordre des choses défaillent quand du vent gelé surgit. Ici, c’est deux jours dans l’année, parfois un, parfois aucun. Quand cela arrive, les routes sont bloquées, les bâtiments publics évacués, le temps s’arrête le temps que dehors le temps passe et recouvre tout, quelques millimètres d’épaisseur et (…)