Être seul comme l’enfant est seul
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Articles
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Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012 -
William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
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Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsettiMarier réalisme et utopie
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti« Yes because he never did a thing »
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Que ma joie demeure | « Mais le désir est le désir »
14 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture linéaire d’un livre de grand chemin (« pour que demeure la joie au-delà de la joie toujours ») Il tournait le dos à la forêt.
Et puis la vie, la vie et la vie. Pas malheureux, pas heureux, la vie. Des fois il se disait… Mais tout de suite, au même moment, il voyait le plateau, et le ciel couché sur tout et loi, là-bas loin à travers les arbres, la respiration bleue des vallées profondes, et loin autour il imaginait le monde rouant comme un paon, avec ses mers, ses rivières, ses fleuves et ses (...) -
ruissellements, soleils (sommeil aux cris de la foule)
3 juin 2012, par arnaud maïsettiDans le lit tard Nous sommes là Nous recommençons Tout
J’ai du mal À y croire Je vois des bras De mer
Y. T.
Les premières gouttes de ciel tombent sur moi ce soir quand je rentre du soleil frappé si fort sur le visage et les yeux, que le sommeil en plein jour (cela ne m’arrive jamais) — comme si j’avais dû passer par le rêve pour continuer.
Mais je n’ai pas rêvé — juste déposer ma tête comme on se confie tout entier et sa peine et sa force à qui pourrait les consoler, et les accepter : s’y livrer tout (...) -
« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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William Blake | « Chanson pour rire »
2 août 2013, par arnaud maïsetti« Ah, ah, hi »
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sur les parois de mon ombre
8 décembre 2011, par arnaud maïsettiUne grande jetée de lumière sur toute la route d’Opéra jusqu’au Batignolles recommence à écrire en moi la possibilité de la lumière, de la route et de l’écriture – oui, la route quand elle n’obéit à aucune direction que moi-même marchant, traversant la profondeur des choses, l’intuition vive de la vitesse, l’angle de rue pris soudain dans sa violence peut-être, mais sans aucun reniement, l’évidence surtout imposée comme avant de tomber le saut, celui qui renoue, à quoi, à quelle origine posée devant moi ; la (...)
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Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
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André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsettiÀ la folie du jour
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Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
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le monde loin derrière nous | prologue
2 mai 2012, par arnaud maïsettic’est né de la route
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Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
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XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
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J. Böhme | « au premier jour, la vie se sépara de la mort »
27 mars 2012, par arnaud maïsettiJacob Böhme, L’Aurore Naissante
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Ronsard | « j’ai l’esprit tout ennuyé »
19 juin 2013, par arnaud maïsettiD’avoir trop étudié
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quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...)