« Yes because he never did a thing »
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _joie
_joie
Articles
-
Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti -
Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012Être seul comme l’enfant est seul
-
Oracle #4 | Ghazal 125
10 mars 2012, par arnaud maïsettiIl faut, Nathanaël, que tu brûles en toi tous les livres.
A. Gide. Les Nourritures terrestres HÂFEZ DE CHIRAZ | LE DIVÂN
interroger l’oracle – voir texte de présentation du projet.
Ghazal 125 1.
Le nuage du mois d’âzâr s’est levé, le vent du Jour Nouveau a soufflé. Je réclame de l’argent pour vin et ménestrel. Qui me dira : « il est là » ?
Au mois d’hasard correspond celui de la nécessité : je naîtrai (d’un geste, ouvrir les rideaux rouges pour laisser le jour neuf me transpercer les yeux pour la (...) -
Que ma joie demeure | « Il y avait eu du vent »
11 mars 2013, par arnaud maïsettilecture de l’impersonnel
-
du bout du monde
8 février 2016, par arnaud maïsettiCe pourrait être là. on tournerait le dos à la mer qui plonge au nord. On ferait quelques pas vers le sud, la ville devient soudain des chemins de terre qui monte vers la pierre, là où la mer de l’autre côté vient battre – la mer bat de tous les côtés.
Ce serait là, quelque chose de plus loin que la ville et des capitales, et c’est encore dans la ville pourtant où le ciel tombe aussi.
La rue descend, ou monte – s’il fallait rejoindre la mer ou le ciel, il faudrait descendre ou monter. Cet hiver, on (...) -
Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, l’autre
-
La Ville écrite | [enc•re.]
22 juin 2012, par arnaud maïsettimur yiddish
-
La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
-
anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
2 mai 2015, par arnaud maïsettile diable autour du feu
-
William Blake | « Printemps »
19 août 2013, par arnaud maïsettides cris d’enfance
-
la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
-
« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
-
William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
-
Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
-
[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
-
d’en finir avec ces rues (et quelles ombres maintenant)
8 février 2013, par arnaud maïsettila soif de partir, la colère de n’être pas ailleurs, la faim des routes avalées pour en finir avec elles
Se dire : ce n’est qu’une manière comme une autre d’en finir avec les rues près de Saint-Lazare par exemple, ou des quais de Rivoli, et plus loin de la Meuse aussi — peut-être que certaines voix intérieures se taisent soudain quand on les entend, lâchées par d’autres. Se dire, ce n’est pas grave, c’est moins qu’une vie, si ce n’est pas la mienne tant pis, ce n’est rien — je dirai seulement : c’est la (...) -
Jean Giono | « Le geste de votre main vers mes cheveux »
26 décembre 2012Jean Giono, Que ma Joie demeure
-
Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsettiEn una noche oscura
-
Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12