notes sur l’inouï
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _joie
_joie
Articles
-
Bertrand Cantat | révélation de l’oracle
14 mars 2012, par arnaud maïsetti -
Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
-
être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
-
VIDÉO | pulsations du pont
13 mars 2012, par arnaud maïsettiDiastole / systole
-
comme du passé en action
3 février 2015, par arnaud maïsettiToute la journée en attendant des nouvelles de la neige ; ici, quelques flocons suffisent à désorganiser le monde. C’est rassurant. Que quelques gouttes de glaces grippent la machine ; que l’ordre des choses défaillent quand du vent gelé surgit. Ici, c’est deux jours dans l’année, parfois un, parfois aucun. Quand cela arrive, les routes sont bloquées, les bâtiments publics évacués, le temps s’arrête le temps que dehors le temps passe et recouvre tout, quelques millimètres d’épaisseur et (…)
-
William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
-
ruissellements, soleils (sommeil aux cris de la foule)
3 juin 2012, par arnaud maïsettiDans le lit tard Nous sommes là Nous recommençons Tout
J’ai du mal À y croire Je vois des bras De mer
Y. T.
Les premières gouttes de ciel tombent sur moi ce soir quand je rentre du soleil frappé si fort sur le visage et les yeux, que le sommeil en plein jour (cela ne m’arrive jamais) — comme si j’avais dû passer par le rêve pour continuer.
Mais je n’ai pas rêvé — juste déposer ma tête comme on se confie tout entier et sa peine et sa force à qui pourrait les consoler, et les accepter (…) -
XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
-
À l’heure dite, soleils couchés
3 novembre 2011, par arnaud maïsettià la minute où le soleil se couche, image fixe
-
Ronsard | « j’ai l’esprit tout ennuyé »
19 juin 2013, par arnaud maïsettiD’avoir trop étudié
-
Louis Aragon | « Voilà ma vie »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiIl ne pleut pas Le vent s’est tu La nuit profonde
-
La Ville écrite | interdictions (les lois de l’enjambement)
13 novembre 2011, par arnaud maïsettiInterdictions de la ville : énoncées pour le seul plaisir de les contourner,
-
l’ombre de moi-même
21 mars 2012, par arnaud maïsettivoir, partout où le refus de vivre est inutile, où commencer à marcher, et marcher ; considérer la ville comme ma seconde nature à l’herbe coupée haute dans la gorge où crier ; oh n’être que l’ombre de moi-même, allongée au soleil découpée à la hache par les immeubles là-haut, et sauter par-dessus elle comme à colin-maillard, ou saute moutons je ne sais plus, épervier, tous ces jeux d’enfants cruels et sublimes, je les suis,
oh n’être que l’ombre de moi-même pour dresser sur ma vie ce (…) -
Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, l’autre
-
Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
-
Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
-
Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsettiEn una noche oscura
-
sur les parois de mon ombre
8 décembre 2011, par arnaud maïsettiUne grande jetée de lumière sur toute la route d’Opéra jusqu’au Batignolles recommence à écrire en moi la possibilité de la lumière, de la route et de l’écriture – oui, la route quand elle n’obéit à aucune direction que moi-même marchant, traversant la profondeur des choses, l’intuition vive de la vitesse, l’angle de rue pris soudain dans sa violence peut-être, mais sans aucun reniement, l’évidence surtout imposée comme avant de tomber le saut, celui qui renoue, à quoi, à quelle origine (…)
-
[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
-
d’en finir avec ces rues (et quelles ombres maintenant)
8 février 2013, par arnaud maïsettila soif de partir, la colère de n’être pas ailleurs, la faim des routes avalées pour en finir avec elles
Se dire : ce n’est qu’une manière comme une autre d’en finir avec les rues près de Saint-Lazare par exemple, ou des quais de Rivoli, et plus loin de la Meuse aussi — peut-être que certaines voix intérieures se taisent soudain quand on les entend, lâchées par d’autres. Se dire, ce n’est pas grave, c’est moins qu’une vie, si ce n’est pas la mienne tant pis, ce n’est rien — je dirai (…)
