le propre de l’être vivant est de se dresser
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _lumière
_lumière
Articles
-
Nerval | « Si vous savez interpréter l’hymne à la Nuit, d’Orphée »
30 août 2013, par arnaud maïsetti -
vers Montpellier (et sa lumière nette)
29 novembre 2013, par arnaud maïsettiLong ciel de traîne, de Paris jusqu’à la neige : quand la neige apparaît sur la vitre du train, le ciel se lève, évidemment ; et c’est immense, on ne le mesure pas, c’est là. S’isoler des conversations vulgaires dans la rame de la voiture, cette personnalité qui tient salon au milieu de nous autres, bas peuple, qui nous fait tant sentir qu’on n’est pas du même monde. J’augmente la musique dans mes oreilles, doucement, ferme les yeux. Puis, c’est sur le quai, dehors, un froid plus vif de n’être protégé par (...)
-
adresse #7 | à ton ombre
23 juillet 2010, par arnaud maïsetti« Ton ombre devant moi s’est étalée toute »
-
Autre Savoir | L’univers miscroscopique
3 janvier 2018, par arnaud maïsettiminuscules
-
Montpellier | cinquante-neuf fois le matin vide
30 novembre 2013, par arnaud maïsettiChemin vers
automne 13 -
Autre savoir | Le soleil enfermé dans la cerne des arbres
9 mai 2021, par arnaud maïsettile temps qu’il faisait dans les entrailles des arbres
-
et demain sera jour (bien tôt)
3 juillet 2013, par arnaud maïsettiles routes qu’on prend pour la première fois en se disant je la prendrai mille fois peut-être, et des yeux, ainsi, comme cela, on dépose en pensée les cailloux blancs qui serviront à rentrer, chaque jour, le lendemain, et plus tard, sous la pluie, la nuit, la neige, tout cela, mais pour l’instant je ferme les yeux à cause de la lumière, et grâce à elle (je me répète grâce à elle en la désirant grâce, en me sachant de nature accordé à cette puissance là : grâce et nature ensemble liées comme l’inquiétude au (...)
-
Aix | ces feux à la pluie du vent (les filles perdues)
4 février 2014, par arnaud maïsettiCe soir une dernière fois (cette fois la dernière) je relis et corrige et annote les dernières pages de cette pièce que j’aurais donc mis six mois à écrire — ai laissé le temps et l’espace entre moi et elle pour qu’elle devienne suffisamment étrangère, et je m’en dépossède maintenant ; je sais où en moi elle est allée, et où je ne l’ai pas suffisamment conduite aussi, je le sais.
Ce soir, quand je descends le cour Sextius en y pensant vaguement, je pense surtout à la phrase de Rimb. qui avait conduit tout ce (...) -
quelles forces reste-t-il à l’esprit qui divague
29 avril 2020, par arnaud maïsetti29 avril 2020
-
qu’ai-je fait de la lumière (comme d’un voile)
5 novembre 2013, par arnaud maïsettiLa perception ne transmet à mon ouïe qu’une impression d’une douceur à fondre les nerfs et la pensée ; un assoupissement ineffable enveloppe de ses pavots magiques, comme d’un voile qui tamise la lumière du jour, la puissance active de mes sens et les forces vivaces de mon imagination.
Lautréamont
Seulement la place de laisser passer la lumière. Comme dans le corps. Le matin, c’est un cri dehors, je me réveille, est-ce à cause du cri ou parce qu’il n’existe plus – quelque chose passe, la rue est (...) -
Respiration #1 | au pied de
17 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Massif de Marseilleveyre
-
Marseille | Et les feux éclipsés du grand astre du monde
19 février 2014, par arnaud maïsettiMarseille, et Virgile
-
à l’envers du ciel
12 novembre 2014, par arnaud maïsettila mer de pointe rouge
-
VIDÉO | pulsations du pont
13 mars 2012, par arnaud maïsettiDiastole / systole
-
Contre-jour aux calvaires
15 août 2011, par arnaud maïsetti12 images de Calvaires, contre le jour
été 2011 -
Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous ces mots (...) -
VIDÉO | Marche
2 juillet 2017, par arnaud maïsettidans la folie de la lumière
-
entre deux éclats
4 octobre 2013, par arnaud maïsettiimages du ciel d’orage
-
et frôler la lumière
28 janvier 2014, par arnaud maïsettidoucement
-
recommencer, rétablir le contact entre nos devenirs
9 septembre 2019, par arnaud maïsetti9 septembre 2019