je ne vivrai pas sans souffrir un jour
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_Marseille, La Pointe Rouge
Articles
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsetti -
la tentation de l’abandon
21 août 2018, par arnaud maïsetti21 août 2018
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Montredon | au Bain des Dames
10 mars 2017, par arnaud maïsettice qui s’achève et ce qui recommence
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La Ville écrite | parade de clowns (libre expression)
23 octobre 2016, par arnaud maïsettiaffichage
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le temps qu’on pense la mort vivante
24 mars 2020, par arnaud maïsetti23 mars 2020
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la nuit est une illusion des étoiles
11 février 2019, par arnaud maïsetti11 février 2019
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Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible
5 juillet 2018, par arnaud maïsettiMarcher sur les deux rives d’une rivière.
Marcher sur les deux rives d’une rivière est un exercice pénible. Assez souvent l’on voit ainsi un homme (étudiant en magie) remonter un fleuve, marchant sur l’une et l’autre rive à la fois : fort préoccupé, il ne nous voit pas. Car ce qu’il réalise est délicat et ne souffre aucune distraction. Il se retrouverait bien vite, seul, sur une rive, et quelle honte alors !
Michaux, Au pays de la magie Maude Audet, Galloway Road
Toute cette vie (…) -
la musique creuse le ciel
30 mai 2018, par arnaud maïsetti30 mai 2018
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d’hiver, lumière et deuil
15 décembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, WInterlude On voit ces choses en passant (même si la main tremble un peu, si le cœur boite), et d’autres sous le même ciel : les courges rutilantes au jardin, qui sont comme les œufs du soleil, les fleurs couleur de vieillesse, violette. Cette lumière de fin d’été, si elle n’était que l’ombre d’une autre, éblouissante, j’en serais presque moins surpris.
Philippe Jaccottet, À la lumière d’hiver Oui, plus douce, plus diffuse : la lumière d’hiver ralentit dans l’air le temps qui (…) -
l’imminence, peut-être
8 avril 2018, par arnaud maïsetti8 avril 2018
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aux printemps redoutables
11 février 2017, par arnaud maïsetti11 février 2017
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Prado | le ciel vu de la mer (et le vent)
5 février 2017, par arnaud maïsettitreize fois le vent
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Défense de déposer les ordures
13 avril 2017, par arnaud maïsettiUne croyance comme une guillotine
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comme une forme inachevée du présent
30 août 2017, par arnaud maïsetti30 août 2017
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La Pointe Rouge | la course furieuse des chevaux
18 avril 2019, par arnaud maïsettinu dans la mer
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous (…) -
afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsettique resterait-il d’autre
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Marseille | ouest sud-ouest
[Mise à jour infinie]
17 mai 2018, par arnaud maïsettidepuis le promontoire de la ville
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comme une danse de cosaque entre deux maisons
19 novembre 2016, par arnaud maïsettiThe Cinematic Orchestra, To Build a Home La création littéraire se refuse à moi. D’où mon plan d’enquêtes autobiographiques. Non biographie, mais recherche et découverte d’éléments aussi réduits que possible. C’est là-dessus que je m’édifierai ensuite, tout comme un homme dont la maison est branlante veut en construire une solide à côté, si possible en se servant des matériaux de la première. Ce qui est toutefois fâcheux, c’est que les forces lui manquent au beau milieu de la construction et (…)