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Articles

Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsetti

En una noche oscura

Trotsky | « Céline écrit comme s’il était le premier à se colleter avec le langage »
2 février 2011, par arnaud maïsetti

Comme d’autres pénètrent dans leur propre maison

Antonio Machado | « le chemin se fait en marchant »
23 mars 2012

Jamais je n’ai cherché la gloire

André Breton | Plutôt la vie
23 avril 2017, par arnaud maïsetti

ses draps conjuratoires

André Breton | « C’est l’heure des meetings politiques »
14 avril 2017, par arnaud maïsetti

en lettres grasses l’inscription « Rien ne va plus »

Nadia Tueni | « Crois-tu que la terre s’habitue à tourner ? »
3 décembre 2013, par arnaud maïsetti

c’est le bruit du jour sur le pavé

Koltès | « Et puis toujours la pluie »
28 août 2010, par arnaud maïsetti

La Nuit juste avant les forêts : le raz-de-marée final
« il y a toujours dans ma tête, qui me reviennent tout d’un coup, des histoires de forêt »

Henri Michaux | « Un homme perdu »
27 février 2019, par arnaud maïsetti

Je me trouvais au milieu d’une plaine

Semprún | « Une espèce de fatigue de mort »
9 juillet 2011, par arnaud maïsetti

Au lieu même du partage des eaux

Chris Marker | « Aux deux pôles extrêmes de la survie »
30 juillet 2012

29 juillet 1921 - 29 juillet 2012

DADA | « et doré de corps d’archanges, de son âme »
5 novembre 2013, par arnaud maïsetti

dégoût dadaïste

Franz Kafka | « La hache pour la mer gelée en nous »
5 avril 2014, par arnaud maïsetti

Lettre à Oskar Pollak

Henri Michaux | Et la vie est précieuse à qui a déjà perdu 26 ans
6 janvier 2015, par arnaud maïsetti

L’époque des illuminés

Céline | « Tout, qu’on en parle plus »
2 février 2011, par arnaud maïsetti

Le zinc du canal ouvrait juste avant le petit jour à cause des bateliers

Robert Desnos | « De la splendeur du jour »
11 novembre 2011

neuf est le matin, neuf est le soir

Paul Claudel | « La forêt où chante le vent qui chasse »
21 juillet 2013, par arnaud maïsetti

Il n’y a personne que moi ici

Thomas Bernhard | « claquer la porte derrière soi »
10 mars 2017, par arnaud maïsetti

Thomas Bernhard, Obernathal 1981
(extrait de Une vie, une œuvre (émission de Martin Quenehen), Juillet 2015) C’est toujours le dialogue avec mon frère qui n’existe pas, le dialogue avec ma mère qui n’existe pas ; c’est le dialogue avec mon père qui n’existe pas non plus ; et le dialogue avec le passé qui n’existe pas, qui n’existe plus, qui n’a jamais existé ; c’est le dialogue avec les grandes phrases qui n’existent pas ; c’est la conversation avec la nature qui n’existe pas ; le contact (…)