l’art de l’oppression
Accueil > Mots-clés > _Villes & Mondes > _Paris
_Paris
Articles
-
Blackface au théâtre de la Sorbonne | Tribune des 343 racisé•e•s
28 avril 2019, par arnaud maïsetti -
l’éclair sans tonnerre (ou l’attente sous la Mosquée)
3 août 2013, par arnaud maïsettiSilence sur soi, silence aux autres – ces jours passent sans rien dire, il faudrait alors leur parler, ou parler en eux, je ne sais pas. Après-midi à la Mosquée dans les conversations vaines des touristes, et le courant d’air – le soir je lève les yeux, c’est le soir. Intérieurement, j’aurais été un peu plus loin que ma propre vie, moins loin que Playa Larga, c’est ainsi.
Est-ce qu’il a plu dans la Drôme la poussière rouge d’Afrique ? et sur les Caraïbes, la forme des éclairs ?
Hier, l’orage une fois ou (...) -
Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsettiLa Nuit… de Boutté / Fontana
-
Layla, à présent je suis au fond du monde | Lecture à Théâtre-Ouvert
30 avril 2016, par arnaud maïsettiEtape de travail | le 24 mai à 19h
Théâtre-Ouvert -
La Ville écrite | heureux qui comme
1er août 2017, par arnaud maïsettià chaque pas
-
Colloque | Entre monologue et dialogue
1er mai 2016, par arnaud maïsetticolloque à Paris VII et Paris 3 – 2 au 4 mai 2016
-
la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps
-
Lieu | Bergounioux lieu public #4
15 janvier 2017, par arnaud maïsettiC’est un texte de coulisses. Un texte sur le sas que représente chacun de ces lieux, et le très bref chemin, avec ses stations, qu’on accomplit dans l’intérieur de ce sas.
-
La Ville écrite | peut-être fous
3 février 2017, par arnaud maïsetticela seul sauverait
-
Paris 5e | fuir les murs
6 août 2014, par arnaud maïsettirue Tournefort
-
Les villes qui n’existent pas | Paris, rue Beauregard
28 décembre 2018, par arnaud maïsettisous la ville, la ville
-
l’or du soir (dernier regard sur la ville)
30 août 2013, par arnaud maïsettiAvec l’or du soir qui tombe, laisser retomber en soi la ville elle-même, et toute la poussière de ville qui se soulève une dernière fois pour se poser sur chaque chose dans le plus grand des silences au milieu des sirènes que la nuit fait tourner, sur elle-même – dernière heure du jour, comme si la ville une dernière fois cherchait à se voir, chant du cygne, de la lumière éclaboussée dans un dernier jet pour s’y chercher davantage, les secousses avant le repos – ; de tout cela, il n’y aura bientôt plus (...)
-
De Mai 68 à Mai 18 | la déprise de l’Odéon
9 mai 2018, par arnaud maïsettiOù est l’esprit de 68 ?
-
Hurlements en faveur de soi [# 3]
5 janvier 2012, par arnaud maïsettiTrente variations : pluie ; rat ; ville
-
Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
-
La Ville écrite | désastres de Monet
16 mai 2011, par arnaud maïsettiIl n’y aurait alors plus de place ni sur les livres ni sur les murs
-
Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
-
entr’ouvert
11 février 2011, par arnaud maïsettiA Wolf At The Door (Radiohead, ’Hail To The Theif’, 2003) Je dévie. Le bon chemin passe par un fil qui n’est cependant pas tendu en hauteur mais ras du sol. ll semble plus destiné à faire trébucher qu’à être emprunté.
Franz Kafka (Journal, Cahier G., 19 octobre 1917)
Longtemps qu’au proverbe vieilli et de bon sens, celui qui veut qu’une porte soit ouverte ou fermée, j’oppose les aberrations intimes qui le démente : tout ce mouvement des choses autour de moi cette semaine (sans doute la suivante aussi) (...) -
Nuit & Jour, ZeitGeist | La Prise de la Place (de la République)
9 mai 2016, par arnaud maïsettiTout autour, ils ont rasé les théâtres pour bâtir la Place.