voix des arbres, et du vent
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_rêves et terreurs
Articles
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Autre Savoir | Le cri des arbres quand ils chantent
31 mai 2014, par arnaud maïsetti -
harmonies (des lignes brisées)
23 septembre 2011, par arnaud maïsettiTout serait histoire de lignes brisées dans cette vie : non pas de hasards, ni de rencontres, ni même de fatalités : seulement de brisures entre des lignes qui se croisent, donnent naissance à d’autres lignes, viendront briser encore et encore d’autres lignes qui fabriqueront peu à peu ces entrelacs de désirs et de confusions pour venir jusqu’à moi nommer cette vie, brisée.
D’une ville à l’autre, et d’une journée l’autre, je cherche les cohérences, je ne les vois pas, je ne fais face qu’à (…) -
Pecha Kucha | Saint-Just, Vingt fois la terreur (la vidéo)
20 mars 2013, par arnaud maïsettiparoles et sons
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Layla, à présent je suis au fond du monde | Un projet
28 novembre 2015, par arnaud maïsettiProjet de spectacle, pour une comédienne La Compagnie Le Projet Notes d’intention Écoutons, la confession d’un compagnon d’enfer : « Ô divin Époux, mon Seigneur, ne refusez pas la confession de la plus triste de vos servantes. Je suis perdue. Je suis soûle. Je suis impure. Quelle vie ! « Pardon, divin Seigneur, pardon ! Ah ! pardon ! Que de larmes ! Et que de larmes encor plus tard, j’espère ! « Plus tard, je connaîtrai le divin Époux ! Je suis née soumise à Lui. — L’autre (…)
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Pierre Michon, l’assomption d’un nom mémorable
24 janvier 2014, par arnaud maïsettiCommunication au colloque à l’Université d’Amsterdam sur « le retour à la narration », organisée par Sabine Van Wesemael et Suze Van der Poll, janvier 2014.
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Marseille | La Plaine à poings nus
20 février 2019, par arnaud maïsettiŒil pour Œil
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Le monde viendra s’offrir à toi pour que tu le démasques
9 mai 2016, par arnaud maïsetti9 mai
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La Femme | Sphynx
4 janvier 2017, par arnaud maïsettiJe perdure dans le temps je me sens Sphynx
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Un rêve | un projet, la tête dans le mauvais trou
11 décembre 2009, par arnaud maïsettiprésentation du projet : récits de rêve
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tendresse pour la sauvagerie
30 mars 2015, par arnaud maïsettiEt le printemps m’a apporté l’affreux rire de l’idiot. Rimb.
Le temps est à l’heure – c’est à cela qu’on le reconnaît. Une heure soudain retranchée au jour ou accrue d’un supplément d’âme ; le ciel partout maintenant, mais c’est à cause du vent – depuis quatre jours désormais. Sur le visage et dans le corps, au fond de soi comme aux terminaisons des branches, quelque chose qui renverse le cours des choses. C’est naître, mais c’est après. C’est une fois que tout est terminé (terminée la (…) -
imminente la décision entre folie et équilibre
7 mai 2020, par arnaud maïsetti07 mai 2020
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le besoin de complots contre l’ordre du temps
27 juillet 2016, par arnaud maïsetti[/« L’Enfer est vide, tous les démons sont ici » Shakespeare, La Tempête /]
Et d’abord en nous-mêmes. Quand l’Histoire s’écrit de nos jours, c’est avec le sang et des images en boucle qui font retour sur nos temps de massacre, les temps réels des informations continues répètent les mêmes phrases pour dire que quelque chose s’est passé et arrêtent le temps pour qu’on l’empêche de le produire. Au loin, des voitures de police arrêtées ; le nombre des morts en bandeaux défilants. Décidément, (…) -
adresse #3 | à l’insomnie
16 avril 2010, par arnaud maïsettiPour t’endormir, tu imagines des massacres et cela t’apaise
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vivre comme on y est obligé
3 mai 2020, par arnaud maïsetti3 mai 2020
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un rêve #545 | mouvements de foule
25 août 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : au milieu d’une foule compacte, marchant lentement au pas de la manifestation
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Pecha Kucha | Saint-Just, Vingt fois la terreur (le texte)
20 novembre 2012, par arnaud maïsettitexte et images
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La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
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anticipation #43 | stades où crier
18 octobre 2010, par arnaud maïsettiDes cris que la ville poussait plus haut qu’elle, et des endroits où elle se rassemblait pour cela, il ne restait que de la poussière entreposée au milieu des ruines, rien d’autre.
Lorsqu’on se retrouvait devant ces monuments, on ne savait pas s’il fallait entrer ou rester dehors. Au juste, où résider le monument, et où ce qui l’entourait : s’il fallait regarder les courbes, juger des hauteurs, ou pénétrer dans l’enceinte pour voir les gradins, ou la fosse — non, on ne savait pas au juste (…) -
soir à montorgueil
6 juillet 2010, par arnaud maïsettiMarion Barfs (Clint Mansell) Les mots de ceux qu’on frôle dans le noir alors qu’on marche sûr de soi et de sa direction, et en face, eux aussi ; alors on se croise comme on avancerait chacun dans un couloir différent, et les conversations qu’on saisit à la volée, au passage, quand on est à hauteur et qu’on entend : il n’est pas mort de ça
-- , ceux-là qu’on ne croisera plus jamais, c’est en bas de Montorgueil (le soir de la lecture), allée Breton dans les Halles, à l’ombre de (…) -
anticipations #37 | Passer de l’autre côté
8 janvier 2014, par arnaud maïsettiTexte de l’automne 2011.
Reprise hiver 2013 — pour ce mot d’ordalie.
Le recueil Anticipations, aux éditions publie.net Ils le faisaient en fermant les yeux désormais. Personne ne savait où cela avait commencé, ni comment — suite à quel pari stupide, au bout de quelle nuit plus triste et plus brûlée qu’une autre au désœuvrement de quel bar. Mais dans chaque ville, il y avait toujours un type pour dire, avec force détails, que c’était lui, lui le premier, et qu’il avait fait ça sans (…)