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_silence
Articles
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La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | auteurs et anonymes
13 octobre 2011, par arnaud maïsettiOù classer des textes qui sont hors de tout classement –
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
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le sommeil d’amour dure encore
21 juin 2020, par arnaud maïsetti21 juin
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les jours perdus
29 juin 2018, par arnaud maïsettic’est pour dire que ce n’est rien, la vie voilà donc les Saisons Rimb. (rature dans le brouillon de Ô saisons, ô châteaux…) Elliott Smith, In the lost and found
Passés sur moi d’un souffle la journée de Bloom et le vingt-et-un juin, passés sur moi tous ces jours ensemble, la bascule du printemps et les premières chaleurs, ce moment où tout surgit et s’écroule bientôt, les saisons qui emportent, les insultes des pouvoirs, les émeutes qui s’effondrent, la possibilité de l’histoire encore écartée et les (...) -
La Ville écrite | j’existe
7 septembre 2016, par arnaud maïsettiles voies sont impénétrables (et inouïes)
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axiomes
2 juillet 2014, par arnaud maïsettiDevenir des sphinx, même faux, au point de ne plus savoir qui nous sommes. Car, en fait, nous ne sommes rien d’autre que de faux sphinx, et nous ignorons ce que nous sommes réellement. La seule façon de nous trouver en accord avec la vie, c’est d’être en désaccord avec nous-mêmes.
Passer l’après-midi comme au travers d’un brouillard et qu’à chaque pas qui voudrait faire reculer la brume y pénétrer davantage et davantage le ciel autour se ferme et les routes se perdent et les villes s’éloignent ; ouvrir Le (...) -
alors il faut bien regarder devant soi
16 mai 2019, par arnaud maïsetti16 mai 2019
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ces jours présents
4 mars 2020, par arnaud maïsetti4 mars
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La Ville écrite | religion est une foli (Aristote, Alexandre et la caresse)
2 avril 2012, par arnaud maïsettiqui absurdum
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Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
et la splendeur, soudain (Kyrie)
12 décembre 2013, par arnaud maïsettis’élèvent dans le vide des couloirs, les voix
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La Ville écrite | mots des chiens
29 août 2011, par arnaud maïsettiville qui roule sur l’aboi des dogues
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recommencer, rétablir le contact entre nos devenirs
9 septembre 2019, par arnaud maïsetti9 septembre 2019
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morsure du jour, et cette douceur d’ancêtres vivants
25 juin 2014, par arnaud maïsettiDans la vaste clarté du jour, le calme des sons lui aussi est d’or. On sent de la douceur dans tout ce qui arrive. Si l’on me disait qu’il y a la guerre, je répondrais que non, qu’il n’y a pas de guerre. Par une telle journée, rien ne peut venir peser sur l’absence de toute réalité, hormis cette douceur.
Pessoa
Car c’est sans doute la guerre, ici, plus loin, partout où il fait jour et nuit dans cet ordre ou non, et la lumière ce soir-là en portait trace, je le crois. Et ici pourtant, ce soir-là rien (...) -
après l’épuisement
21 septembre 2015, par arnaud maïsettiJe m’enfoncerai dans la brume, comme un homme étranger à tout, îlot humain détaché du rêve de la mer, navire doté de trop d’être, à fleur d’eau de tout.
Pessoa, Livre de l’Intranquillité, Fragments 86 Au-delà de l’épuisement, quand dormir est impossible, ce ne peut-être que le sentiment du monde, entier, trouble, précis, insaisissable. Et se tenir comme au pied d’une falaise et avoir peur de tomber.
Devant la brume, toujours éprouvé la sensation d’une allégorie scellée. Quelque chose va se lever, mais on (...) -
la mort, mais pas celle-ci
4 avril 2020, par arnaud maïsetti4 avril 2020
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des restes de silence dont on ne sait que faire
11 août 2011, par arnaud maïsettiLike Home (Syd Matters, La question humaine (BO), 2007)
back home / like houses / like homes / like leaving / like shoes / like running
« Dans le bas de la mémoire, le ciel. Des restes. Des restes de lumière dont on ne sait que faire. »
Henri Michaux (Chemins cherchés, chemins perdus, transgressions)
Garder le silence (comme le berger son troupeau, dit la Bible, quelque part, où je l’invente) – longtemps en soi, garder pour soi le silence, et même ne rien en dire, garder contre soi le silence (...) -
les espérances
2 juin 2014, par arnaud maïsettiCombien, ô voyageur, ce paysage blême Te mira blême toi-même, Et que tristes pleuraient dans les hautes feuillées Tes espérances noyées !
Vrln Ni les pages d’Artaud sur Van Gogh, ni la fatigue, ni aucun vent d’aucun ailleurs, comme quelques notes d’Alice Lewis, et le mot blême, dans le rêve, le mot paysage blême si précis qu’il se détachait du récit comme l’advenu d’un poème qui aurait été écrit pour que je le lise, le mot fantôme, la frappe du mot fantôme quand il s’agit de l’imaginer frapper à la porte, (...) -
Georges Bataille | Une vie, une œuvre, de Roland Auguet et Christiane Mallarmé, 1985
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiémission de France Culture
21 février 1985