Manifestation dans Paris contre le projet de loi dit du Mariage pour tous
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_amour
Articles
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Alors que ces enfants dans les rues s’aiment et s’aimeront
13 janvier 2013, par arnaud maïsetti -
André Breton | « À cette question que je ne vous pose pas »
5 octobre 2012C’est bientôt juin
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Arthur Rimbaud | « le Grand Cygne rêveur »
4 janvier 2013Et tout croît, et tout monte !
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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« Ils volent le présent » | J-L. Nancy
26 février 2013, par arnaud maïsettimaintenant — valeurs et temps de la politique
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Shannon Wright | Ways to make you see
23 février 2014, par arnaud maïsettile dépouillement
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Aragon | « arbre qui domine / Son ombre, et qui voit en avant »
11 octobre 2013, par arnaud maïsettipage cornée
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de la veille
22 août 2014, par arnaud maïsettiLe jour qui précède celui dont il est question (ainsi dit probablement, parce que la veille des fêtes, dans l’ancienne Église, était employée en veilles et prières).
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dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
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Oracle #1 | Ghazal 403
11 janvier 2012, par arnaud maïsettile froc du mendiant d’amour
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La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsettique resterait-il d’autre
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La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux
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André Breton | « tout le secret de la vie »
22 février 2012Je n’ai jamais cessé de croire que l’amour
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Autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours
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comme la vie est lente
16 juin 2017, par arnaud maïsetti16 juin 2017
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des portes sans battants
5 janvier 2019, par arnaud maïsettiDimension qui distend, qui augmente, qui en largeur s’étend, m’étend. Qu’est-ce qui arrive, qui dérive, musique qui me bague, qui me baigne. La tête pleine d’aubes, j’avance poussant des portes sans battants.
Plus de lassitude. Arc-en-ciel de merveilles. C’es si beau le renouveau : le matin pense de partout. Est-ce possible ? Est-ce vrai ? Le mal, l’inquiétant, l’interminable mal, une nappe, une invisible nappe l’a fait disparaître.
Félicité ! Je n’ai plus à descendre. Arrivée, une (…) -
Aix | entre les toits, les draps défaits de la ville
24 août 2016, par arnaud maïsetti[/Ce toit tranquille, où marchent des colombes, entre les pins palpite, entre les tombes Paul Valéry, Le cimetière marin /]
D’où vient l’appel quand, de la fenêtre, on a vue sur les toits ? Cette chance qu’on éprouve quand on vit auprès de cette vue : d’où vient qu’on l’éprouve comme un privilège secret, un peu comme un sacrilège arraché aux foules ?
On surprend cette chance parfois chez d’autres : depuis Aix par exemple, cette chambre avec vue sur les collines, le ciel : et sur la (…) -
l’ombre de moi-même
21 mars 2012, par arnaud maïsettivoir, partout où le refus de vivre est inutile, où commencer à marcher, et marcher ; considérer la ville comme ma seconde nature à l’herbe coupée haute dans la gorge où crier ; oh n’être que l’ombre de moi-même, allongée au soleil découpée à la hache par les immeubles là-haut, et sauter par-dessus elle comme à colin-maillard, ou saute moutons je ne sais plus, épervier, tous ces jeux d’enfants cruels et sublimes, je les suis,
oh n’être que l’ombre de moi-même pour dresser sur ma vie ce (…) -
les mots inconnus
19 mai 2014, par arnaud maïsettipasser la main dans ses cheveux. rater sa correspondance. fermer les yeux d’un mort. relire un livre pour la seconde fois. pour la troisième fois. quitter la séance de cinéma au milieu. rester pendant le générique de fin. les rêves volontaires avant de s’endormir. les rituels de conjuration. attendre celle qui ne vient pas ; atteindre cette minute où le retard commence. la première parole du matin. le deuil de son fils (le deuil de son père). la page du milieu. l’agacement que produisent les (…)
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
