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Articles
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André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
3 février 2019, par arnaud maïsetti -
la roue du temps (shalom shabbat)
5 octobre 2012, par arnaud maïsettiUne chance de naître
LA CHEVELURE
La chance du jour de la nuit tient à un cheveu Ah Combien d’épreuves cycles confondus pour une chevelure éprise
Edmond Jabès
il fait encore nuit, dehors comme toujours, la nuit répandue en désordre, et moi debout, à peine, moi marchant, à peine, moi avec mes mains minuscules frappant tous les mots, comme s’ils devaient ouvrir des portes (et la clé, où est-elle), je me retourne et tout autour la ville est restée là, et pourtant, oh ; le carrousel du manège est vide, (...) -
Gaston Miron | La marche à l’amour
25 juillet 2018, par arnaud maïsettiSur la route vers Marseille, depuis Avignon, par hasard la radio ouverte : la voix de Marie Richeux. On y parle d’amour, mais pas comme l’époque en parle, et qui désole. Là, on prend au sérieux la Carte du Tendre, et on avance sur les territoires du sentiment : c’est plein de violence aussi, de rage douce. Outre les merveilles que je découvre, j’entends pour la première fois le poème de Gaston Miron – et c’est un bouleversement. Dans la voix de Babx, il prend des accents de l’ « Union libre » d’André (...)
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Hypothèse #1 | du soleil
25 janvier 2019, par arnaud maïsettiSi et seulement si tout était à refaire
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André Breton | Nadja, « il faut que ce soit un peu le nom du feu »
8 mars 2019, par arnaud maïsettila pensée sur le bain dans la pièce sans glaces
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Raymond Radiguet | « la certitude me dévoila mon amour avec tout ce qu’il avait de monstrueux »
11 novembre 2017, par arnaud maïsettiun onze novembre
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Télémaque, à peine
24 mars 2014, par arnaud maïsettiDavid | Les Aventures de Télémaque
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Naissances des fleuves
1er février 2013, par arnaud maïsettisept images où prennent racine les courants, les larmes
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Oracle #1 | Ghazal 403
11 janvier 2012, par arnaud maïsettile froc du mendiant d’amour
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Aubes | VI. (La lumière frappait le sol)
2 mars 2014, par arnaud maïsettisixième chapitre
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Csiki-Csiki | « que je meure »
1er mars 2013, par arnaud maïsettitransylvania, et au-delà
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le marchand de masques mortuaires
30 mai 2014, par arnaud maïsettiStatue devant laquelle peut-être je suis passé cent fois, et cent fois sans la voir — quel signe ? Le vendeur de masques — je recherche le nom du sculpteur et ne le trouve pas d’abord : c’est que je cherche mal : non, ce n’est pas, comme je l’ai cru, un marchand de masques mortuaires, mais un simple vendeur de masques, d’hommes vivants et bien vivants pour celui qui veut ainsi les saluer (et remercier ses bienfaiteurs : les sculpteurs ont les faiblesses des marchands). À distance maintenant, de (...)
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Le secret gardé des Petites amoureuses
4 mars 2013, par arnaud maïsettiJean Eustache | Mes petites amoureuses
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l’autel (rue Ponscarme)
5 juin 2013, par arnaud maïsettiComme au pied d’un autel il a dû déposer cette feuille, je ne sais pas, je n’ai rien vu, pas son ombre s’enfuir loin et c’était peut-être des heures après, mais quand je passe elle est là, déposée là à cause peut-être du mot mal griffé sur la planche, rue Ponscarme ou parce que c’était là qu’il le voulait, ou bien il l’aurait déposée plus loin et le vent jusqu’ici l’aurait poussée pour moi, ou bien, ou bien, mais cela ne m’appartient pas, j’ai lu les mots sur la feuille et je suis parti, j’ai tendu l’appareil, une (...)
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rien plutôt que quelque chose
15 janvier 2020, par arnaud maïsetti15 janvier 2020
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Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
5 mars 2014, par arnaud maïsettineuvième chapitre
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comme la vie est lente
16 juin 2017, par arnaud maïsetti16 juin 2017
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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si je tenais un journal (habiter le mot encore)
12 décembre 2013, par arnaud maïsettiDehors, le jour avait cette lumière : celle qui appelait à le rejoindre vite. Oui, comme un ciel qui va se lever, qui se lève déjà — et l’évidence du soir (le miracle devant une couleur qui se teinte depuis le tissu même : elle était déjà là.)
Aucun mot, dans l’éblouissement d’un ciel, quand on sait le jour ; alors s’en tenir à ce seuil de la phrase même, et s’y confier entièrement.
Si je me suis perdu dans les couloirs, je sais maintenant, plus que tout, que c’était pour entendre le Kyrie — qu’au fond c’est (...)