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_amour
Articles
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Bob Dylan (& co) | « Boots of Spanish leather »
13 mai 2017, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux
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André Breton | « À cette question que je ne vous pose pas »
5 octobre 2012C’est bientôt juin
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Aubes | VI. (La lumière frappait le sol)
2 mars 2014, par arnaud maïsettisixième chapitre
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Musset | « Alors il s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse »
30 novembre 2013, par arnaud maïsettiD’un enfant du siècle
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Rosmonda d’Inghilterra
2 juin 2014, par arnaud maïsettiJohn William Waterhouse | Fair Rosamund
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René Char | « Une échelle de plus en plus nue »
29 juillet 2012À l’âge d’homme
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Charlotte Gainsbourg | Rest
19 novembre 2017, par arnaud maïsettireste avec moi
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Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
8 septembre 2014, par arnaud maïsettisommes-nous si loin
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Autoportrait aux chaises
18 juillet 2012, par arnaud maïsettibijou
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Le secret gardé des Petites amoureuses
4 mars 2013, par arnaud maïsettiJean Eustache | Mes petites amoureuses
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Rimbaud | « Plus que tous les enfants du monde »
6 octobre 2013, par arnaud maïsettiCette fois, c’est la Femme que j’ai vue dans la ville
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la roue du temps (shalom shabbat)
5 octobre 2012, par arnaud maïsettiUne chance de naître
LA CHEVELURE
La chance du jour de la nuit tient à un cheveu Ah Combien d’épreuves cycles confondus pour une chevelure éprise
Edmond Jabès
il fait encore nuit, dehors comme toujours, la nuit répandue en désordre, et moi debout, à peine, moi marchant, à peine, moi avec mes mains minuscules frappant tous les mots, comme s’ils devaient ouvrir des portes (et la clé, où est-elle), je me retourne et tout autour la ville est restée là, et pourtant, oh ; le carrousel du (…) -
André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
3 février 2019, par arnaud maïsettifollement
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William Blake | « L’Image Divine »
11 août 2013, par arnaud maïsettiTous prient dans leur désarroi
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par où les déchirures du ciel
2 avril 2014, par arnaud maïsettiLe monde s’étire s’allonge et se retire comme un accordéon qu’une main sadique tourmente Dans les déchirures du ciel, les locomotives en furie S’enfuient Et dans les trous, Les roues vertigineuses les bouches les voix Et les chiens du malheur qui aboient à nos trousses
Cendrars, proses
Il n’y aurait rien à écrire de ces jours.
Dans les déchirures du ciel seulement, les déchirures de soi — je voudrais me confier, entièrement me confier à la déchirure (pour de l’autre côté des lambeaux (…) -
In absentia (de quelque chose noir)
18 février 2014, par arnaud maïsettiCinq heures du matin en sursaut, quelqu’un rentre dans la chambre (c’est personne, c’est le rêve, c’est l’absence de personne, c’est quelque chose dans le rêve qui appelle et réveille et ensuite empêche à la fois de se lever et de s’endormir). Une peur d’enfant. Et tout ce noir autour ; je tends la main et prends la photo. L’image est bleue. Évidemment ce n’était pas un cadeau ordinaire. celui de me livrer, à cinq heures du matin, un vendredi, l’image de ta mort.
Pas une photographie. (…) -
Hurlements en faveur de soi [# 1]
24 novembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-huit variations : cris ; récits ; rêves
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puisque le désespoir ne tient pas de journal
12 août 2018, par arnaud maïsettiToutes les couleurs disparaissent dans la nuit, et le désespoir ne tient pas de journal.
Annie Le Brun, Les châteaux de la subversion (1982) Bob Dylan, The Night We Called it a Day
La nuit tombait avant-hier sur toutes les choses mortes, et nous en faisions partie.
C’était peut-être l’époque qui voulait cela : que sur toutes choses elle allait proclamant la fin, moins pour qu’on les regrette que pour les voir, enfin : et on les voyait, enfin, ces choses mourantes qui se jetaient sur (…) -
George Bataille | « Le monde des amants »
6 août 2013ce que la politique ne peut pas faire.
