Nicolas Vsévolodovitch se tut pendant trois minutes.
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_cheveux
Articles
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Fiodor Dostoïevski | « La vie existe et la mort n’existe pas »
9 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
Autoportrait à la fragilité de la phrase
24 octobre 2012, par arnaud maïsettitremblé
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Koltès | Hamlet monologues
29 janvier 2012, par arnaud maïsettiDeux monologues - réécritures Hamlet, le théâtre et la vie.
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Keren Ann | 101 floors (wake up slowly)
15 février 2012, par arnaud maïsettiKeren Ann, ouverture du concert du 13 février au Trianon, Paris
101 & Strange Weather -
Koltès | « personne ne saura jamais qui a aimé qui »
21 septembre 2011La Nuit juste avant les forêts : Mama, la fille sur le pont
« moi je ne peux parler que sur les ponts ou les berges, et je ne peux aimer que là, ailleurs je suis comme morte, » -
la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
Syd Matters | « something in the weather (coming) »
22 janvier 2012, par arnaud maïsettil’étrangeté
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Oracle #1 | Ghazal 403
11 janvier 2012, par arnaud maïsettile froc du mendiant d’amour
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Jean Giono | « Le geste de votre main vers mes cheveux »
26 décembre 2012Jean Giono, Que ma Joie demeure
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Oracle #2 | Ghazal 12
31 janvier 2012, par arnaud maïsettià la Beauté
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(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsettide l’opacité de mes textes
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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La Bible | Les chiffres de la sagesse
24 juin 2012, par arnaud maïsettiIl y a trois choses qui sont au-dessus de ma portée
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Koltès | Au nom de mama
14 juin 2014, par arnaud maïsettiArticle paru dans Bernard-Marie Koltès, les registres d’un style, paru aux Editions Universitaires de Dijon, sous la direction d’André Petitjean – juin 2014
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[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
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Hurlements en faveur de soi [# 3]
5 janvier 2012, par arnaud maïsettiTrente variations : pluie ; rat ; ville
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Klaus Nomi | « From beds of everlasting snow »
29 janvier 2013, par arnaud maïsetticomme la sirène
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arcane majeure
10 octobre 2011lire dans les cartes
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le sabbat dans une rouge clairière
6 mars 2012, par arnaud maïsettiallonger le corps dans la flaque, jusqu’au réveil ou jusqu’au sommeil (est-ce différent : ce que je viens rejoindre est mon propre rêve où que j’arrive) ; inventer des voyelles aux couleurs, voire leur inventer des mots entiers, et des livres entiers pourvu que je puisse les porter sur mes épaules jusqu’à cet endroit de l’être où ils seront à l’abri, je ne sais pas
et je danse encore,
et dans le rouge, plonger mes mains pour les blesser encore, peut-être de n’être pas de cendre je suis, tailler aux (...) -
dans les déchirures du ciel
31 août 2011, par arnaud maïsettiBlue Skies (Lady & Bird, ‘The Ballad of Lady & Bird’, 2003)
Blue skies are in the middle of a winter storm / While your blue eyes are looking at me like before
Et le bruit éternel des roues en folie dans les ornières du ciel
Blaise Cendrars (Prose du Transsibérien)
Parfois, la couleur passée des choses sur moi ; je pense : c’est ainsi que les choses meurent. Quand je ne me souviens plus d’un visage, je le remplace par un autre, que j’invente. Est-ce possible de faire cela avec sa (...)