_colère

Articles

• je ne puis triompher qu’en rêve
  4 mai 2020, par arnaud maïsetti

  04 mai 2020

• les présages du possible
  30 août 2018, par arnaud maïsetti

  30 août 2018

• La Ville écrite | ses prisons
  3 avril 2014, par arnaud maïsetti

  nous échapper

• La Ville écrite | rage
  29 janvier 2015, par arnaud maïsetti

  pour le dire

• Miossec | Pentecôte
  10 juin 2014, par arnaud maïsetti

  un lendemain de

• peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
  2 mai 2020, par arnaud maïsetti

  2 mai 2020

• qu’on en finisse avec l’année
  28 décembre 2017, par arnaud maïsetti

  29 décembre

• les voltigeurs et puis quoi
  1er mai 2019, par arnaud maïsetti

  Au reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui  : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
  Rabelais, Garg. I, 23.
  On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups (…)

• sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
  2 août 2016, par arnaud maïsetti

  2 août 2016

• le sommeil d’amour dure encore
  21 juin 2020, par arnaud maïsetti

  21 juin

• rien plutôt que quelque chose
  15 janvier 2020, par arnaud maïsetti

  15 janvier 2020

• où sommes nous
  17 janvier 2019, par arnaud maïsetti

  17 janvier 2019

• l’air et le silence d’avant le monde d’après
  3 avril 2020, par arnaud maïsetti

  3 avril 2020

• le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
  7 novembre 2013, par arnaud maïsetti

  Que le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de (…)

• mémoire des jours à venir
  16 avril 2018, par arnaud maïsetti

  16 avril 2018

• mais on y rêve
  16 juin 2020, par arnaud maïsetti

  16 juin 2020

• La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
  7 juillet 2011, par arnaud maïsetti

  À une lettre près, peut-être

• Aubes | XI. (Alors voilà)
  7 mars 2014, par arnaud maïsetti

  onzième chapitre

• La Ville écrite | un mur propre
  20 septembre 2017, par arnaud maïsetti

  tiens

• La Ville écrite | beau, puisque c’est écrit
  5 juillet 2011, par arnaud maïsetti

  Jouis (puisque c’est écrit), la légende de ces villes

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