à l’origine d’un rêve : un cauchemar
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_colère
Articles
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Théâtre | Les Filles perdues [Le projet]
29 mars 2015, par arnaud maïsetti -
détruire le monde
7 avril 2020, par arnaud maïsetti7 avril 2020
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d’être fécondée par toi
2 avril 2020, par arnaud maïsetti2 avril
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bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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qu’on en finisse avec l’année
28 décembre 2017, par arnaud maïsetti29 décembre
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nous vivons dans une fausse croyance
31 mars 2020, par arnaud maïsetti31 mars 2020
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
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La Ville écrite | pour une vie avant la mort
8 avril 2016, par arnaud maïsettila vie est plus vaste
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quelles forces reste-t-il à l’esprit qui divague
29 avril 2020, par arnaud maïsetti29 avril 2020
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l’air et le silence d’avant le monde d’après
3 avril 2020, par arnaud maïsetti3 avril 2020
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peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
2 mai 2020, par arnaud maïsetti2 mai 2020
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rêve des conjurations
5 avril 2020, par arnaud maïsetti5 avril 2020
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d’une saison l’autre, oubli, ravage
22 septembre 2016, par arnaud maïsetti22 septembre
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La Ville écrite | les seuls étrangers
2 octobre 2016, par arnaud maïsettirue Palestro
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le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
7 novembre 2013, par arnaud maïsettiQue le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de (…)
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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par ouï-dire
4 février 2019, par arnaud maïsettiNous connaissons par oui-dire l’existence de l’amour.
Assis sur un rocher ou sous un parasol rouge, allongés dans le pré bourdonnant d’insectes, les deux mains sous la nuque, agenouillés dans la fraîcheur et l’obscurité d’une église, ou tassés sur une chaise de paille entre les quatre murs de la chambre, tête basse, les yeux fixés sur un rectangle de papier blanc, nous rêvons à des estuaires, des tumultes, des resssacs, des embellies et des marées. Nous écoutons monter en nous le chant (…) -
je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
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faire brèche
11 décembre 2018, par arnaud maïsetti11 décembre 2018
