La Nuit… de Boutté / Fontana
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_joie & douleur
Articles
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Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsetti -
Fernando Pessoa | « Jamais je ne dors »
5 avril 2013, par arnaud maïsettije rêve dans la vie comme dans le sommeil
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Deleuze / Parnet | « S’affecter de joie »
5 juin 2019, par arnaud maïsettiDialogues, 1977
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Avignon #fin | s’armer de courage
24 juillet 2016, par arnaud maïsettiet celui qui a une fois flairé le sang au théâtre ne peut plus exister sans théâtre
Thomas Bernhard Place des héros Après trois semaines dans la fournaise d’Avignon, un dernier regard sur la ville : est-ce que je peux dire seulement que quelque chose a commencé ?
Des spectacles par dizaines et des foules qui entrent au hasard – après les fouilles (le mot est presque le même) par centaines pour s’assurer que –, des foules hurlantes et joyeuses venues ici pour s’applaudir elles-mêmes et se féliciter (...) -
Malte Schwind | La joie de traverser le chaos
8 avril 2016, par arnaud maïsettiTentatives de Fugue (Et la joie ?… Que faire ?), du collectif En Devenir, mise en scène de Malte Schwind [Aix, Théâtre Antoine-Vitez] –mars 2016
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Lost in the Trees | Excos
16 juin 2014, par arnaud maïsettidispersion des cendres
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dans les haies d’Ajloun
6 octobre 2019, par arnaud maïsetti6 octobre 2019
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Nijinski | « vers une étoile qui ne m’a pas dit bonsoir »
29 janvier 2014, par arnaud maïsettiparti un soir
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William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
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Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence
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Aubes | XIV. (Berlin)
16 mars 2014, par arnaud maïsettiquatorzième chapitre
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La ville écrite | levée de doute
19 décembre 2018, par arnaud maïsetticomme tu relèves la tête
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Max Richter | November
11 octobre 2013, par arnaud maïsettinovembre est éternel
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la tombe de Jean Genet
14 avril 2016, par arnaud maïsetti[/Mais si je ne sais rien de précis sur la Mort D’avoir tant parlé d’elle et sur le mode grave Elle doit vivre en moi pour surgir sans effort Au moindre de mes mots s’écouler de ma bave.
Jean Genet, Le Condamné à mort/]
Je marchais vers la tombe de Jean Genet : je la savais seule au milieu d’un champ, tout au bord de la mer et tournée vers la Mecque, c’est tout. Je marchais vers la tombe de Jean Genet sans raison et sans peine ; je voulais seulement arriver avant le soleil, je veux dire : avant la (...) -
faire continuer le monde (les cris psalmodiés dans les rires)
21 juillet 2013, par arnaud maïsettiAu fond, hors de l’image, à gauche (à jardin) : un type fait des tours, c’est une tradition depuis si longtemps – clown public, mime, amuseur de galerie –, il y a en cercle qui le regardent plus de trois cent personnes, peut-être plus — c’est qu’au pied du Palais des Papes, une heure avant le spectacle, il y a foule ici, oui, désœuvrée, qui attend, prête déjà pour le spectacle et puisqu’on lui en donne un (qu’elle n’attendait pas), et pour lequel elle n’a pas payé, elle est là, et comme le type fait le (...)
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enfermé dehors avec jésus christ des saints des derniers jours
16 juin 2014, par arnaud maïsettiEst-ce qu’à votre avis le monde va mal ?
J’attends depuis une heure maintenant, enfermé dehors, les clés de la chambre sont dans la boîte aux lettres, la boîte aux lettres de l’autre côté de la porte de l’immeuble dont je n’ai pas la clé (que l’ami m’a déposée dans la boîte aux lettres) — j’ai sonné à l’entrée à tous les voisinages, personne pour me répondre évidemment, alors depuis une heure, j’attends : soudain ils sont deux, chemise blanche, qui s’approchent ; sur eux, le badge que je reconnais pour l’avoir déjà (...) -
Csiki-Csiki | « que je meure »
1er mars 2013, par arnaud maïsettitransylvania, et au-delà
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The National | Light Years
15 mai 2019, par arnaud maïsettiaway from you
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Jonas Mekas | pour ça que tu vis
26 mars 2019, par arnaud maïsettin’es-tu jamais heureuse ?
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Avignon, journal du soir : tristes critiques
19 juillet 2015, par arnaud maïsettiUne semaine déjà à Avignon et c’est comme depuis des mois, un rythme immuable : le soir au théâtre, la nuit passée à l’écrire, le matin relire, et l’après-midi échapper à la chaleur avant le soir de nouveau les gradins, et le spectacle qui ouvre à la nuit toute une nuit à écrire : entre le soir et la nuit, les échanges avec les camarades critiques de l’Insensé – et tout cela dans le tourbillon, la ville dévastée par toute une ville à l’intérieur d’elle-même, hystérisée, « épileptique » ; et les hurlements des (...)