14 photographies : fenêtre depuis la cour d’honneur du Palais des Papes, Avignon
Été 10
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_murs
Articles
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fenêtres (sur Cour d’Honneur)
17 août 2010, par arnaud maïsetti -
Amiens | « une impression confuse mais forte »
30 septembre 2013, par arnaud maïsettivues sur la cathédrale, portail ouest
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la figure de chimères
22 avril 2010, par arnaud maïsetti18 photographies de gargouilles
série en cours -
La Ville écrite | entrée des artistes
18 décembre 2018, par arnaud maïsettiaccès technique
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La Ville écrite | celles qui
5 août 2016, par arnaud maïsettià nos cauchemars
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La Ville écrite | les chats sont l’opium du peuple
21 février 2016, par arnaud maïsettitransaction réalisée par
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La Ville écrite | réponses
21 juin 2017, par arnaud maïsettifaire entendre
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dans les espaces vides de la ville
13 juillet 2014, par arnaud maïsettiles espaces vides de la ville — dans les arènes, les cris montent, les animaux hurlent à la mort la mort qu’ils veulent donner sans savoir qu’ils chantent déjà la mort qu’on va leur donner, pour la gratuité du don, la beauté du geste, le sang, le cri du sang quand il va tomber ici, le sable étranglé sous les pas des combattants, les types partout autour qui continuent de pousser les hurlements depuis deux mille ans dans cette arène vide où ce jour de juillet, de pluie, de brume d’automne, je traverse (...)
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façades
16 avril 2010, par arnaud maïsettiDe l’apparence de nos vies cachées derrière les murs : du signe manifeste extérieur qui voudrait cacher le contenu latent derrière les pierres — de la réalité, qui n’apparaît qu’à la surface : dans la volonté de ne rien dévoiler de ce qui se dit dans les discours intérieurs.
FAÇADE (fa-sa-d’) s. f.
A. 1. Mur extérieur d’un bâtiment. 2. Cour. [Sans déterm.] Mur extérieur d’un bâtiment où se trouve l’entrée principale, généralement le plus décoré.
B. P. anal. 1. Littér. Partie visible formant un mur. 2. Fam. (...) -
vue imprenable
19 août 2010, par arnaud maïsettiblocs restreints, lacunaires, épars dans l’étendue de la voix qui les incorpore — et, de vide en vide, attisant leur mobilité, leur ajournement — la lame de l’abîme qui l’authentique en la chassant…
J. Dupin The Turn (A Pagan Lament) (Fredo Viola — ’The Turn’ 2009) La ville, c’était Gordes, elle est posée en bascule sur la montagne, les gens s’y pressent en été pour voir le vide dessous ; s’il y a trop de monde, on peut la voir se pencher davantage, presque tomber (dans la chute, on sortirait les appareils (...) -
Marseille, de Noailles à La Plaine | et je regarde tomber la pluie
7 mars 2019, par arnaud maïsettiEffondrements
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regarder le mur faire le monde
27 août 2018, par arnaud maïsetti27 août 2018
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Saint-Thomas
5 avril 2010, par arnaud maïsettiDes murs, je traque les visages, les peaux mortes, les mouvements de sédimentation des villes — les expressions possibles d’une durée arrêtée ; et plus loin, emmenée.
Comme des entrailles, ces murs ouverts : j’ai le geste de Thomas — fouiller la plaie avec mes doigts, toucher la preuve de la vie après la mort : vérifier, de mes yeux vérifier : demeures saignantes des projets arrêtés.
Murs aux multiples épaisseurs : de la peau rongée jusqu’aux nerfs, grattée à l’os quand la douleur est trop forte pour (...) -
La Ville écrite | Sauvage
18 novembre 2017, par arnaud maïsettiparade
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Marseille est une ville impossible
8 janvier 2016, par arnaud maïsettiMarseille est une ville impossible. Ils lèvent cette ville comme du ciel. Par pelletées de nuages et en écrivant sur tous les murs des lettres dans le désordre. La mer touche un peu de la montagne, ou est-ce l’inverse ? Il y a des routes qui longent des routes, et plusieurs centres que rien ne relie. Il y a ce type près d’ici, tout près de l’endroit où je prendrai l’image de cette grue par-dessus l’arbre qui retient les dernières feuilles de l’automne, au cœur de l’hiver, ce type qui dort par terre et (...)
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La Ville écrite | à l’éducation
4 janvier 2016, par arnaud maïsettinon
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une vie, ou l’imminence
2 octobre 2016, par arnaud maïsetti[/Rien n’a d’importance, et je crois que bien des gens ont considéré la vie comme un enfant turbulent, en soupirant après le calme qu’ils allaient enfin connaître quand il irait se coucher.
Pessoa, Le Livre de l’intranquillité/]
Radiohead, « Life in a Glasshouse », Amnesiac (2001) Celui qui a écrit, rapidement, comme en fuyant, UNE VIE sur le rebord de muret face à l’université, est-ce qu’il voulait déposer sa vie, ou seulement en arracher une, une autre, une plus grande ou plus simple, une possible, une (...) -
La Ville écrite | feu Romain Rolland combustibles
18 mars 2019, par arnaud maïsettide forêt en forêt bondit
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Autoportrait au visage troué
6 septembre 2012, par arnaud maïsettimur
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La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux