Au pied de la ville, son ombre portée jusqu’à moi
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _désir demeuré désir
_désir demeuré désir
Articles
-
(au pied de la ville)
6 janvier 2012, par arnaud maïsetti -
morsures à l’appel du temps
12 avril 2011, par arnaud maïsettiSuck Young Blood (Your time is up) (Radiohead, ’Hail To The Theif’, 2003)
Ai-je le pouvoir de mourir ? Un Coup de dés jamais n’abolira le hasard est comme la réponse où demeure cette question. Et la « réponse » nous laisse pressentir que le mouvement qui, dans l’œuvre, est expérience, approche et usage de la mort, n’est pas celui de la possibilité — fût-ce la possibilité du néant —, mais l’approche du point où l’œuvre est à l’épreuve de l’impossibilité.
Maurice Blanchot, L’espace (…) -
La Ville écrite | détruisons
4 septembre 2016, par arnaud maïsettitout ce qui nous empêche de vivre
-
Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
15 juillet 2016, par arnaud maïsettiIl Trionfo del Tempo e del Distinganno, Pamphili, Musique de Georg Friedrich Haendel (1707), mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale Emmanuelle Haïm [Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence] - juillet 2016
-
Koltès | Lettre d’Afrique
1er novembre 2011Lettre d’Afrique, à Hubert Gignoux, le 11 février 1978
-
Charlotte Gainsbourg | Rest
19 novembre 2017, par arnaud maïsettireste avec moi
-
Marika Hackman | Cigarette
19 avril 2019, par arnaud maïsettiune dernière
-
de peur
13 octobre 2011, par arnaud maïsettise pencher de peur d’être comme je suis seulement, et pas autre, et d’être à la fois précisément comme les autres parce que mon désir les rejoint, voudrait les rejoindre, voudrait rejoindre en eux le désir d’être autre, c’est cela, de peur d’être ici, quand c’est ailleurs, bien sûr, que le désir se déporte ; de toute cette peur-là constitué que j’amasse comme dans le creux des mains un peu de sable qui se renversera sous les doigts le temps d’arriver jusqu’à la mer pour le répandre, de toute (…)
-
Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
-
Toujours recommencée | l’île aux larmes
22 avril 2013, par arnaud maïsetti12 images prises à l’île de ré, sans lui demander
déposées ici comme des larmes -
Le Client #2 | « Cependant je n’ai pas, pour vous plaire, de désirs illicites. »
16 juillet 2013, par arnaud maïsettiKoltès, Dans la Solitude des champs de coton
Deuxième réplique du client -
Hypothèse #3 | de quelqu’un
19 avril 2019, par arnaud maïsettiJe lis, sur le mur virtuel d’une amie, ceci
-
toute folie bue
16 décembre 2011, par arnaud maïsettiDans ma vaste ville – c’est la nuit. De ma maison en sommeil, je vais – loin Et l’on pense : c’est une femme, une fille – Mais je me rappelais seulement – la nuit.
Fenêtre ouverte dans le vide : ici, posée au plafond, trois mètres du sol, comment l’atteindre : sans doute pour empêcher cela précisément, de l’atteindre – interrompre le ciel en nous, le rendre impossible, et qu’on lève les yeux vers lui, toujours, sans espoir de le voir jamais : ainsi cette ville. Ainsi, cette nuit. Sous la (…) -
l’absence à l’histoire
23 février 2011, par arnaud maïsettiThe Greatest (Cat Power & Van Morrison [Live in Athens])
Comment se fait-il que, même dans l’immobilité la plus close, l’instant finisse par déboucher sur un autre instant et le temps, par passer, en sorte que l’absence à l’histoire soit elle-même toute une histoire ?
Claude- Louis-Combet (Blanc, 1980)
Rue étroite. Qui habiterait là ? Plus loin, il y a bien la rue de Bizerte : c’est un lieu possible où mourir. Et en haut, Nollet ; c’est un endroit où boire jusqu’à ne plus marcher. (…) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
-
Paul Éluard | « Je rêve que je ne dors pas »
16 avril 2019Paralysie du sommeil
-
solstice perdu et spectres nouveaux
23 juin 2017, par arnaud maïsetti23 juin 2017
-
Les lignes de désir_
Pierre Ménard
2 juillet 2010, par arnaud maïsettiUne carte est toujours une forme d’abstraction. Et quand y demeure seul, le tracé des rues qui se croisent, bifurquent et s’éloignent, ce tracé révèle la délicate beauté du motif sous-jacent de toutes villes. Voir une ville telle qu’elle est quand on n’est pas là. Un tel désir ne peut être que contrarié, mais un désir contrarié, loin de s’éteindre, en est au contraire avivé. Il y aurait plusieurs rues, un panneau qui décrit le chemin qui mène à un autre. Devant le panneau, on est invité à (…)
-
sagesse du mendiant
21 septembre 2011, par arnaud maïsettiDans cette ville comme en mon propre rêve : quand chaque lieu est un signe qui se retourne vers moi, une figure qui me peuple, et qui s’adresse à moi : tous ces fantômes de moi qui se portent sur ces murs comme pour dessiner à la craie sur un tableau quelques phrases que seul je saurai lire parce qu’ils sont de ma main, au geste illisible de mon poignet –
mais signes qui parlent en moi leur langue étrangère, je passe des Grands Moulins à Bercy, il y a cette moto renversée dans son sang (…) -
adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
