ton cœur est un temple
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_ville
Articles
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La Ville écrite | Laisse-moi
12 novembre 2015, par arnaud maïsetti -
Marseille appartient à celui qui vient du large
29 juin 2020, par arnaud maïsettion votait hier
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règne des contraires
24 août 2020, par arnaud maïsetti24 août 2020
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La Ville écrite | [bruit de feuille qu’on arrache]
5 octobre 2018, par arnaud maïsettiles yeux crevés
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Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
23 septembre 2017, par arnaud maïsettila terre, l’or, la boue et la cendre
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en attendant, ne rien attendre
4 septembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, ’Can’t Wait’ (Time Out of Mind, 1997) Le langage n’est pas la vie, il donne des ordres à la vie ; la vie ne parle pas, elle écoute et attend.
Gilles Deleuze et Félix Guattari, Mille Plateaux, p. 95-96. À la recherche des signes, on perd souvent sa propre trace. J’aurai tant aimé la ville et je m’en éloigne, de plus en plus : pour mieux (me dis-je et me console) en retrouver la violence, la déchirure, la beauté terrible et nécessaire. La ville est comme sa terre : on ne peut l’éprouver qu’en (...) -
La Ville écrite | perpétuellement ici
22 janvier 2017, par arnaud maïsettije voyage
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[Tondi] | ensuite, une grande ville
16 avril 2013, par arnaud maïsettidont le nom est Méroé
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[ La ville écrite, un projet ]
29 octobre 2013, par arnaud maïsettile projet, pourquoi & comment
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Allen Ginsberg | Footnote to Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticomme un cri de ralliement
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Najaf | ville mausolée
12 août 2014, par arnaud maïsettile cimetière de Najaf : vues aériennes
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comment porter le deuil de l’hiver
16 mars 2014, par arnaud maïsettiTant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront pas.
Genèse, 8.22 Il faudrait un mot qui dise le contraire du deuil. Et peut-être est-ce un deuil encore — et comment dire le deuil d’un deuil ? Comment le porter sur le bras, de quelle couleur l’étoffe, les jours qui se lèvent et agrandissent le ciel et le temps.
Dans le jardin des plantes, cette pensée que l’hiver s’était arrêté là, net, à nos pieds, dans l’odeur de (...) -
Hypothèse #3 | de quelqu’un
19 avril 2019, par arnaud maïsettiJe lis, sur le mur virtuel d’une amie, ceci
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le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
7 novembre 2013, par arnaud maïsettiQue le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de la frontière ont (...)
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et dépêchez, chevaux de leur âme (déjà voici que la nuit tombe)
13 décembre 2012, par arnaud maïsetticomme fjord le tournemoiement le carnaval la couleur des heures je ne ressasserais que cela
Kateri Lemmens, Quelques éclats Le froid plus vif, qui rend la marche plus rapide, comme avancer dans une épaisseur invisible, mouvante : partout. Du manège comme image de ces jours : oui — n’avoir le temps à rien, sauter d’une heure à l’autre, toujours penser à l’heure suivante et au passage du temps ne rien garder que la fatigue ; et pourtant dormir si tard (se lever si tard) : le jour est court, mais sa (...) -
La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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Aubes | VIII. (La gamine avait tout vu)
4 mars 2014, par arnaud maïsettihuitième chapitre
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cherche, appelle,
26 janvier 2015, par arnaud maïsettije ne le sais
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Aubes | XIV. (Berlin)
16 mars 2014, par arnaud maïsettiquatorzième chapitre
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Aubes | IV. (Chaque chose à sa place)
28 février 2014, par arnaud maïsettiquatrième chapitre