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_ville
Articles
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Les villes qui n’existent pas | Villages Potemkine
30 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
Allen Ginsberg | Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticri de guerre
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La Ville écrite | Sauvage
18 novembre 2017, par arnaud maïsettiparade
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légendes urbaines #2
6 novembre 2013, par arnaud maïsettisemaine du 28 octobre au 3 novembre
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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et frôler la lumière
28 janvier 2014, par arnaud maïsettidoucement
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Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
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c’était marcher
16 octobre 2016, par arnaud maïsettiLa crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route !
Rimb.
Bob Dylan, Ain’t talkin’ (Modern Times, 2006) Seulement marcher – c’était, dans le contre-jour en descendant la Canebière, le mouvement, l’allure, l’aveuglement aussi, et la pulsation : face au jour qui s’effondrait de si haut, brûler ces jours. En fins de semaine, se retourner sur les causes d’un dimanche est toujours décevant : lundi, mardi, mercredi et fatalement jusqu’à cette ombre-là jetée devant soi (…) -
La Ville écrite | rien d’autre à faire
13 juin 2017, par arnaud maïsettirien, vraiment
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Lieu | à chacun sa rue Vilin #3
28 décembre 2016, par arnaud maïsettiC’est le lieu de la ville : le lieu de la rencontre et de l’écoute des signes arbitrairement laissés par les autres.
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Parking | images sous la ville de ce monde
17 juin 2017, par arnaud maïsettiétages noirs de ciment sous la ville orgueilleuse
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en attendant, ne rien attendre
4 septembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, ’Can’t Wait’ (Time Out of Mind, 1997) Le langage n’est pas la vie, il donne des ordres à la vie ; la vie ne parle pas, elle écoute et attend.
Gilles Deleuze et Félix Guattari, Mille Plateaux, p. 95-96. À la recherche des signes, on perd souvent sa propre trace. J’aurai tant aimé la ville et je m’en éloigne, de plus en plus : pour mieux (me dis-je et me console) en retrouver la violence, la déchirure, la beauté terrible et nécessaire. La ville est comme sa terre : on ne peut (…) -
tout point de vue est le sommet d’une pyramide inversée
25 juillet 2014, par arnaud maïsettiUn bref coup d’œil sur la campagne, par-dessus un mur des environs de la ville, me libère plus complètement que ne le ferait un long voyage pour quelqu’un d’autre. Tout point de vue est le sommet d’une pyramide inversée, dont la base est indéfinissable.
Pessoa, Livre de l’Intranquillité Dans le bruit de l’été qui s’écroule comme des pays encerclés qui ne sont pas des pays, comme des avions dans les déserts, comme des foule qui s’éparpillent, respirer la poussière des arènes tous les (…) -
la prise de la ville
4 mai 2018, par arnaud maïsettiLa pensée poétique [...] est l’ennemie de la patine et elle est perpétuellement en garde contre tout ce qui peut brûler de l’appréhender : c’est en cela qu’elle se distingue, par essence, de la pensée ordinaire. Pour rester ce qu’elle doit être, conductrice d’électricité mentale, il faut avant tout qu’elle se charge en milieu isolé. André Breton, Arcane 17, 1945 Bob Dylan, Visions Of Johanna (Belfast 6 May 66)
Dans les cafés et dans les bars, dans les rues et partout je vais toujours à la (…) -
La Ville écrite | à l’éducation
4 janvier 2016, par arnaud maïsettinon
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comme si la clarté ne valait pas le vague
24 juin 2020, par arnaud maïsetti24 juin
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La Ville écrite | Laisse-moi
12 novembre 2015, par arnaud maïsettiton cœur est un temple
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laisser le monde derrière soi
11 décembre 2012, par arnaud maïsettide Cour-Saint-Émilion à Bercy… et de Bercy à Gare de Lyon
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Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
5 mars 2014, par arnaud maïsettineuvième chapitre
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Allen Ginsberg | Footnote to Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticomme un cri de ralliement
