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Articles
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Koltès | « ÉCRAN DE NUIT », cinq lectures de François Bon
3 février 2018, par arnaud maïsetti -
Les Filles Perdues | festival Texte En Cours
7 avril 2015, par arnaud maïsettiMise en voix le 15 avril à Montpellier
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Lecture | La nuit remue (4)
13 juin 2010, par arnaud maïsettiDevant toi (debout) | avec Claude Favre
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Le Client #3 | « Si toutefois je l’ai fait, sachez que j’aurais désiré ne pas vous avoir regardé »
19 juillet 2013, par arnaud maïsettiKoltès, Dans la Solitude des champs de coton
Deuxième réplique du client -
Politiques des cinéastes | dialogue
22 février 2011, par arnaud maïsettiSuite au texte de Jérémie Scheilder sur Bas-Fonds d’Isild Le Besco, je reproduis ici notre échange mail de ces derniers jours (qui se poursuit : j’augmenterai alors ce billet) : les questions qui nous animent — la possibilité d’un discours critique ; celle du cinéma aussi, aujourd’hui, dans un contexte marchand qui est la condition même de cet art ; celle du cinéaste enfin, en prise avec un objet traversé de formes qui lui ont préexisté et pour un peu défini (la littérature, le théâtre… on pourrait (...)
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à lire | brisements, site pour H. Michaux
14 mai 2011, par arnaud maïsettiSite Henri Michaux : labyrinthe, études, prolongements
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Devant toi (debout)
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiTexte écrit avec Claude Favre
« Et je me tiens debout » -
Saint-Just & des poussières | retour de lecture
29 mars 2014, par arnaud maïsettisauter dans le vide
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lecture | audio & vidéo, état des lieux du réel
18 mars 2010, par arnaud maïsettiAu centre Château-Landon | résidence de P. Ménard
Printemps 2010 -
étagères vides ou vidées
21 avril 2010, par arnaud maïsettiLa tête l’esprit comme une étagère vide — comme une étagère vidée et la poussière des livres déposée sur son sol : non pas trace mais empreinte plutôt de ce qui a été retiré et qui loin maintenant ne sont là que si loin, maintenant.
Les mains et les bras comme tout le corps dépossédé — comme après longue journée d’emménagement déménagement les bras qui tombent qui pèsent : les bras dans la douleur de ne plus rien porter ; et tous le corps plié des cartons qu’on a su déposer.
Et dans la fenêtre lumière traversante (...)