que resterait-il d’autre
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_Marseille, La Pointe Rouge
Articles
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La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsetti -
VIDÉO | Lentement le soleil de l’autre côté
23 février 2017, par arnaud maïsettipointe rouge
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Respiration #2 | au bord
21 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Pointe Rouge
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La Ville écrite | un très très bon retour des choses
15 mars 2019, par arnaud maïsettitrès très
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Prado | le ciel vu de la mer (et le vent)
5 février 2017, par arnaud maïsettitreize fois le vent
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La Pointe Rouge | la course furieuse des chevaux
18 avril 2019, par arnaud maïsettinu dans la mer
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La Ville écrite | parade de clowns (libre expression)
23 octobre 2016, par arnaud maïsettiaffichage
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afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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Respiration #0 | à présent
7 mai 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Bain des Dames
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Montredon | au Bain des Dames
10 mars 2017, par arnaud maïsettice qui s’achève et ce qui recommence
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le feulement des coyotes dans Châtelet - Les Halles
13 juin 2017, par arnaud maïsetti13 juin 2017
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Respiration #7 | là-bas
19 avril 2020, par arnaud maïsettiMarseille, Grand-Large
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je ne jetterai pas l’ancre ici
28 mars 2020, par arnaud maïsetti28 mars 2020
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous ces mots (...) -
derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
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puisque le désespoir ne tient pas de journal
12 août 2018, par arnaud maïsettiToutes les couleurs disparaissent dans la nuit, et le désespoir ne tient pas de journal.
Annie Le Brun, Les châteaux de la subversion (1982) Bob Dylan, The Night We Called it a Day
La nuit tombait avant-hier sur toutes les choses mortes, et nous en faisions partie.
C’était peut-être l’époque qui voulait cela : que sur toutes choses elle allait proclamant la fin, moins pour qu’on les regrette que pour les voir, enfin : et on les voyait, enfin, ces choses mourantes qui se jetaient sur nous sans (...) -
qu’on en finisse avec l’année
28 décembre 2017, par arnaud maïsetti29 décembre
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tendre visage
19 janvier 2019, par arnaud maïsetti19 janvier 2019
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habiter dans la conquête du vide
3 septembre 2016, par arnaud maïsetti3 septembre
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à l’inespéré
6 septembre 2017, par arnaud maïsetti6 septembre 2017