pas seulement pour l’orgueil
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_Fiction
Articles
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Les villes qui n’existent pas | Babel
26 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
anticipation #44 | Babels intérieures
1er janvier 2011, par arnaud maïsetti« C’était atteindre un point intérieur qu’on avait cru impensable jusqu’alors et où tout serait révélé »
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anticipation #33 | les prisons
22 avril 2010, par arnaud maïsettiLu (et plutôt vu) ce matin, terrifié, cette vidéo sur la Prison Valley, à Canon City, Colorado..
Si je remonte ce texte écrit à l’automne, c’est une manière d’y répondre : répondre aussi de ce mouvement qui m’a fait écrire ces textes — moins pour inventer des histoires que pour essayer de les rejoindre.
La fin du monde, en avançant, disait-il — oui mais en avançant, on ferait le tour du mur avant de se retrouver devant le même mur ; et pourtant nous-mêmes, oui, on s’en serait sans doute (…) -
Autoportrait à la brisure
3 mai 2013, par arnaud maïsettifêlure
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La Ville écrite | [bruit de feuille qu’on arrache]
5 octobre 2018, par arnaud maïsettiles yeux crevés
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La Ville écrite | heureux qui comme
1er août 2017, par arnaud maïsettià chaque pas
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Autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours
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Les villes qui n’existent pas | Jéricho
20 juillet 2020, par arnaud maïsettiun lac qui monte
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Lieu | Bergounioux lieu public #4
15 janvier 2017, par arnaud maïsettiC’est un texte de coulisses. Un texte sur le sas que représente chacun de ces lieux, et le très bref chemin, avec ses stations, qu’on accomplit dans l’intérieur de ce sas.
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adresse #6 | au visage
20 juillet 2010, par arnaud maïsetti« Rien qu’à ton visage, je pourrais dire ton âge… »
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[ phrases ] #5 — rêves de départs
31 octobre 2011, par arnaud maïsettiLa hauteur des murs, le bruit du vent, le visage de quelques hommes, le corps de toutes les femmes, les reflets dans les tours, la musique partout à chaque coin de rues, des rues à chaque femme, des visages sur chaque affiche, des affiches au-dessus de chaque porte, et de la neige parfois, mais la chaleur suffocante, et du bruit toujours, et comme l’odeur de brûlé, et tant de beauté enfin qu’on s’y arrêterait pour la prendre et l’emporter loin, oui, mais loin, on y était, et c’était sans (…)
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Autoportrait à la fragilité de la phrase
24 octobre 2012, par arnaud maïsettitremblé
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La Ville écrite | Une certaine idée de la France
26 mars 2017, par arnaud maïsettipas la nôtre
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Récits de la création des Nouveaux Mondes #1
21 avril 2014, par arnaud maïsettileurs naissances
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adresse #10 | à la fin
7 novembre 2010, par arnaud maïsetti« Qu’importe que j’aie les yeux fermés… »
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Les villes qui n’existent pas | Atlantide
20 août 2017, par arnaud maïsettisous l’étrave
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adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
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anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
2 mai 2015, par arnaud maïsettile diable autour du feu
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Bruissements | texte intégral
29 juillet 2013, par arnaud maïsettile texte, entier
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anticipations #37 | Passer de l’autre côté
8 janvier 2014, par arnaud maïsettiTexte de l’automne 2011.
Reprise hiver 2013 — pour ce mot d’ordalie.
Le recueil Anticipations, aux éditions publie.net Ils le faisaient en fermant les yeux désormais. Personne ne savait où cela avait commencé, ni comment — suite à quel pari stupide, au bout de quelle nuit plus triste et plus brûlée qu’une autre au désœuvrement de quel bar. Mais dans chaque ville, il y avait toujours un type pour dire, avec force détails, que c’était lui, lui le premier, et qu’il avait fait ça sans (…)