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_Fiction
Articles
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Autoportrait au crâne rouge
25 juin 2012, par arnaud maïsetti -
un rêve | les onglets
19 juin 2019, par arnaud maïsettiUn rêve : face à l’ordinateur
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un rêve #545 | mouvements de foule
25 août 2010, par arnaud maïsettiUn rêve : au milieu d’une foule compacte, marchant lentement au pas de la manifestation
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anticipation #44 | Babels intérieures
1er janvier 2011, par arnaud maïsetti« C’était atteindre un point intérieur qu’on avait cru impensable jusqu’alors et où tout serait révélé »
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Autoportrait aux yeux fermés
26 juin 2012, par arnaud maïsettidouleur
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La Ville écrite | Une certaine idée de la France
26 mars 2017, par arnaud maïsettipas la nôtre
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Rimbaud, une vie | Naissances. Au nom du père, et du fils
6 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre II
La dette et la fuite -
Bruissements | jour#14, le quatorzième lendemain
5 juillet 2013, par arnaud maïsettil’adjectif possessif
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La Ville écrite | interdie
21 août 2017, par arnaud maïsettià l’insurrection de la langue
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Vers le fantastique | Peur #1
5 juillet 2015, par arnaud maïsettiatelier d’été 2015
Bloc Gare de l’Est -
Georges Bataille | La vérité de la nuit
28 mars 2015, par arnaud maïsettiEmission de radio sur France Culture : Une vie une œuvre
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Bruissements | jour#6, le sixième s’appelait Sérapion
27 juin 2013, par arnaud maïsettile songe
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Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
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La Ville écrite | Les Gentils
1er novembre 2017, par arnaud maïsettivive les méchants
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Récits de la création des Nouveaux Mondes #1
21 avril 2014, par arnaud maïsettileurs naissances
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Rimbaud, une vie | Izambard. La classe du soir
26 novembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre VI
Devenir crapules -
Quand la nuit vient | Les larmes #11
28 mai 2019, par arnaud maïsettic’était souvent
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Autoportrait à la flaque
29 juillet 2012, par arnaud maïsettinarcisse
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Quand la nuit vient | La chambre #3
20 mai 2019, par arnaud maïsettiil dormait nu
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anticipation #30 | le train
3 juillet 2009, par arnaud maïsettiLe paysage était traîné sur des heures — derrière lui, il tirait le monde entier en ligne droite, horizontale, parallèle à l’avancée du train. Le front aux vitres comme les veilleurs de chagrin : mais ce qu’on veillait, c’était la longue plainte de cette ligne-là : l’horizon qu’on ne rejoignait jamais puisqu’on ne ferait que le longer à l’infini.
C’était le long défilé des terres et les bâtiments qu’on croisait l’espace d’une seconde ; espace qui finissait par les avaler la seconde (…)
