D’un enfant du siècle
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_amour
Articles
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Musset | « Alors il s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse »
30 novembre 2013, par arnaud maïsetti -
La ville écrite | tu m’aimes ?
13 décembre 2018, par arnaud maïsettinon (enfin…)
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Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
5 mars 2014, par arnaud maïsettineuvième chapitre
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l’acquiescement (pourquoi pas toujours)
8 mars 2013, par arnaud maïsettiLa famille respectait sa solitude ; le démon pas. Bien que Bernard eût mis bas sa veste, il étouffait. Par la fenêtre ouverte sur la rue n’entrait rien que de la chaleur. Son front ruisselait. Une goutte de sueur coula le long de son nez, et s’en alla tomber sur une lettre qu’il tenait en main…
Gide, Les Faux Monneyeurs
De l’autre côté maintenant, passé d’une semaine sur l’autre mais ici, qu’est-ce qui a changé (tout, comme chaque jour). Je regarde lentement les métros passer sous le corps, ne compte (...) -
merveille du dehors (des jardins dans le mirage)
21 janvier 2013, par arnaud maïsettic’est la ville entière qu’ils nous avaient laissée, vide, et nous, au contraire : tout ce blanc qui emplit : de l’avoir espéré si différente ; et alors, quoi ? marcher un peu.
Devant la demeure, arrête-toi, pleure les ruines Interroge les vestiges « Où sont les bien-aimés ? par où partirent les chameaux ? Combien et combien de déserts parcourus ? »
Le froid quand il tombe ainsi, qu’il ne prévient pas (c’est faux, déjà vendredi soir : mais très vite samedi avait tout effacé, que de la boue partout, de la (...) -
La Ville écrite | mon nom, sous le pont
29 avril 2013, par arnaud maïsettidreemeur
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et exister et mourir
20 janvier 2019, par arnaud maïsetti20 janvier 2019
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quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...) -
Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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plus que tout
30 décembre 2014, par arnaud maïsettimais
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Autoportrait à la transparence des corps
3 mai 2013, par arnaud maïsetticontours
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l’état de la France, juste avant la peau
11 avril 2017, par arnaud maïsetti11 avril
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La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux
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comme la vie est lente
16 juin 2017, par arnaud maïsetti16 juin 2017
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020
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Csiki-Csiki | « que je meure »
1er mars 2013, par arnaud maïsettitransylvania, et au-delà
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Oracle #1 | Ghazal 403
11 janvier 2012, par arnaud maïsettile froc du mendiant d’amour
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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La ville écrite | d’amour
13 avril 2017, par arnaud maïsettique resterait-il d’autre
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fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019