et nous nous sommes tous levés dans le noir
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _enfant intérieur
_enfant intérieur
Articles
-
William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsetti -
anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
2 mai 2015, par arnaud maïsettile diable autour du feu
-
Danse Butō | les gestes de la naissance
28 février 2013, par arnaud maïsettiLe Paysage lunaire
-
pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
-
William Blake | « Le Petit Garçon Noir »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiet alors il m’aimera
-
prendre le temps (mesure du monde)
26 octobre 2013, par arnaud maïsettiAh ! la poudre des saules qu’une aile secoue ! Les roses des roseaux dès longtemps dévorées !
rimb.
le temps, c’est ce qu’on perd — on le sait bien ; ce qu’on donne aussi, parfois, à ce qui est plus précieux que nous, comme sur des cartes postales, on prend ces minutes qu’on ne possède pas pour écrire : je suis là : alors parfois, dans ces minutes, on le confie, comme notre ombre, on s’éloigne plus sûr d’être désormais quelque part, auprès de qui on tient plus que nous.
mais le temps, c’est avant tout (...) -
quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...) -
Le secret gardé des Petites amoureuses
4 mars 2013, par arnaud maïsettiJean Eustache | Mes petites amoureuses
-
enjamber le pont, la nuit
26 février 2013, par arnaud maïsettiarcueil est un couloir noir
-
Antonin Artaud | « et que ma Vie puisse ressusciter »
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiLettre d’Antonin Artaud à André Breton, juillet 1937.
Cher Ami
Votre fille cet après-midi m’a donné l’impression d’une Apparition. Je l’ai vue venir comme un soleil vrai enfin, non imaginé, une incarnation du soleil sur la mer. je sais que vous êtes du Soleil, et que votre femme est de la Mer, mais je n’y ai pensé qu’après. c’est l’intensité de la vision qui m’a frappé. Au milieu de toute cette boue et de tout cette saleté, j’ai eu une impression torrentielle de fraîcheur solaire, de vent éclairé qui (...)
0 | 10