Samedi 4 mars 2023
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_Marseille
Articles
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Jrnl | Le premier instant dure toujours
4 mars 2023, par arnaud maïsetti -
infusez davantage
22 avril 2019, par arnaud maïsetti25 avril 2019
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La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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La Ville écrite | jours & nuit
29 août 2017, par arnaud maïsettimille et un, et une seule
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à distance, écrire à l’ombre de soi-même
28 janvier 2018, par arnaud maïsettiDonne lui un homme et du temps, il en fait un cadavre, puis il le rejette sur ses bords. Il le gonfle puis il le rejette. Lui demeure
H. Michaux, « L’étang », À distance, date inconnue Yann Tiersen, « Porz Goret » (Eusa, 2016)
À distance, mais de quel siècle, et vers quel siècle s’avancer pour que ce jour revienne où ce serait possible, enfin, que le jour soit à sa place. Jour où rien ne passe que du vent et de tout son long ne fait rejoindre que de la terre, jour où il n’y a rien que des villes et (...) -
alors il faut bien regarder devant soi
16 mai 2019, par arnaud maïsetti16 mai 2019
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au-delà des fondations, la terre nue
9 avril 2020, par arnaud maïsetti9 avril 2020
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La Ville écrite | feu Romain Rolland combustibles
18 mars 2019, par arnaud maïsettide forêt en forêt bondit
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Instincts primaires | Jour d’élections, disent-ils
27 novembre 2016, par arnaud maïsettipiège à
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l’état de la France, juste avant la peau
11 avril 2017, par arnaud maïsetti11 avril
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ces jours présents
4 mars 2020, par arnaud maïsetti4 mars
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La Ville écrite | tièdasse
29 août 2016, par arnaud maïsettirentrée
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La Ville écrite | la nuit
19 décembre 2016, par arnaud maïsettirépandue sur le sol
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ne faire que passer
25 mars 2020, par arnaud maïsetti25 mars 2020
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corps délié
20 février 2019, par arnaud maïsettiIl existe en nous plusieurs mémoires : le corps, l’esprit, ont chacun la leur, et la nostalgie est une maladie de la mémoire physique.
Balzac
C’est trembler : et dans le tremblement, ce qui reste immobile bouge encore, tremble sur place. C’est trembler, ce bougé des choses par quoi on est traversé. La lune est une image – mais de quoi ? Pas d’elle, évidemment. De mon regard sur elle. Toi tu le sais.
Du corps tremblé, ses mouvements nés de l’intérieur du ventre – vers le corps déplié, vers le corps (...) -
La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux
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Les Tables de la Plaine | Commune indienne de Marseille
24 décembre 2015, par arnaud maïsettidevenir indien
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l’existence du terrible dans chaque parcelle de l’air
29 janvier 2017, par arnaud maïsetti29 janvier 2017
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à travers les laideurs, belle la nuit qui demeure
8 décembre 2014, par arnaud maïsettiCe qu’il faut, […] c’est sentir comme on regarde, penser comme l’on marche, et, à l’article de la mort, se souvenir que le jour meurt, que le couchant est beau, et belle la nuit qui demeure... Pessoa, Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes, trad. Armand Guibert, p.71, NRF — Poésie/Gallimard Descendre jusqu’au soir — la journée comme cette pente, en haut de Saint-Charles, qui laisse voir toute la ville coulée à nos pieds ; mais ce qu’on voit d’abord, c’est la colline où domine Notre-Dame, là-haut, et le (...)
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et ce n’est que de là qu’il peut être condamné et détruit.
10 avril 2020, par arnaud maïsetti10 avril 2020